vendredi 2 septembre 2011

Pays de m...

Garibaldi et tous les patriotes italiens qui ont bâti l'Italie moderne doivent se retourner dans leurs tombes ce matin. La raison ? La dernière sortie de Papounet... Comme le révèle cet article publié par le Nouvel Obs, Silvio Berlusconi a fait une déclaration fracassante qui en dit long sur l'attachement des mondialistes à leur pays. Au cours d'une discussion téléphonique datée du 13 juillet dernier avec un correspondant mis sur écoute par la justice, Il Cavaliere a montré son attachement à sa patrie. Dans les grandes largeurs. "Je suis transparent, tellement propre dans mes affaires qu'il n'y a rien qui puisse me gêner. Je ne fais rien qui puisse être considéré comme un délit. On peut dire de moi que je baise, c'est la seule chose qu'on puisse dire. Dans quelques mois, je m'en vais pour m'occuper de mes oignons, ailleurs, je m'en vais de ce pays de merde qui me donne envie de vomir". Finalement, le seul point commun entre tous ces mondialistes (à la petite semaine), c'est de mépriser leur Histoire, détester leur propre peuple et vomir leur propre pays. D'ailleurs, on imagine aisément Nicolas Sarkozy quittant l'Elysée, éructer de la même façon de telles insanités. N'est-ce pas ce qu'ont fait bien des européistes avant lui ? A l'image de l'ex-Premier ministre britannique John Major (celui qui a fait adopter le traité de Maastricht par le Royaume Uni malgré l'opposition de 80% des Anglais), aujourd'hui installé en Californie où il travaille pour la multinationale américaine Carlyle. A l'image de Thierry Breton (l'ancien ministre français de l'Economie) qui vit aux Etats-Unis. A l'image de Gerhard Schröder (l'ancien chancelier allemand) qui travaille pour le russe Gazprom. Ou encore à l'image de Joseph Fischer (ancien ministre des Affaires étrangères allemand) qui travaille pour l'université de Princeton aux Etats-Unis... Bref, tous ces gens ont quitté cette m... qu'est l'Europe dès qu'ils ont pu malgré les "déclarations d'amour" enflammées pour leur nation au commencement de leur "règne". Cette haine des élites pour leur pays montre à quel point nous sommes dans un monde finissant : celui qui avait porté au pouvoir des enfants gâtés issus de la génération des années 60, qui une fois parvenus au sommet, se sont mis à détester tout et tout le monde sauf leur petite personne...

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