Revoilà la "poissonnière" de Toul ! Cela faisait longtemps et cela nous manquait. Qu'a t-elle fait cette fois ? Une virée shopping qui s'est mal terminée pour une des vendeuses qui a eu le malheur de croiser son chemin. Il est vrai qu'on la connait susceptible sur son auguste personne et ne tolérant aucune critique. Que dire alors de ce qui s'est passé au mois d'avril au "Printemps" de Nancy ? Comme nous le révèle ce papier publié par le site Rue 89, Nadine Morano, mécontente d'une remarque entendue lors de sa présence à titre privée dans ce grand magasin, a tout simplement provoqué le licenciement pour faute grave de son auteure malgré les excuses de celle-ci. Evidemment ses propos ont été à la mesure de sa réaction : hautains et dédaigneux. "J'en ai rien à foutre Mademoiselle ! Vous n'aviez qu'à mesurer vos propos. Si j'avais été votre employeur, vous auriez été licenciée sur le champ". On ne se refait pas... En attendant il y a une jeune femme qui vient de perdre son job pour avoir osé exprimer son opinion à une de ses collègues sur une ministre du gouvernement comme le reconnait sa lettre de licenciement. Il est vrai que la liberté d'expression au pays des droits de l'Homme n'est plus qu'un lointain souvenir surtout quand on croise Nadine Morano. Et dire qu'elle affirmait il y a encore quelques jours sur les ondes de BFM : "Quand vous êtes victime du chômage, Monsieur Bourdin, vous croyez que ce n'est pas une source d'angoisse...". La ministre s'était déjà illustrée au début du mois de mai. Alors qu'elle voulait visiter le Louvre, elle avait exigé de pouvoir avoir dans l'heure une "visite privée". Bref, une visite VIP à 500 euros comme nous en faisait part le Canard Enchaîné dans son édition du 18 mai. Pendant ce temps là, les indignés continuent de se rassembler pour changer le monde. Bon courage...
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