Cela ne vous a certainement pas échappé, les langues commencent à se délier depuis que Dominique Strauss-Kahn est "hors d'état de nuire". On apprend ainsi tant par la bouche de l'un de ses poulains, Manuel Valls que par celle du journaliste Nicolas Domenach, que DSK avait décidé de se porter candidat à la présidentielle de 2012. Il paraît même qu'il attendait à se faire attaquer sur trois sujets principaux : les femmes, l'argent et la judaïté. En attendant, les témoignages tombent comme à Gravelotte. Comme le révèle le député Bernard Debré dans les colonnes de l'Express, il apparaît que DSK avait déjà eu maille à partie avec le personnel du même hôtel pour les mêmes faits. Au point qu'il s'indigne de l'hypocrisie ambiante de la part de nos médias. Autant préciser que d'après ces derniers développements, il semble opportun que DSK ait fait appel à des ténors du barreau pour assurer sa défense. Comme nous le révèle ce papier publié par France Info, Benjamin Brafman, l'avocat de DSK, se considère lui même comme l'avocat des causes désespérées. Il fut d'ailleurs l'avocat de Michael Jackson quand il fut accusé de pédophilie. Bref, cette affaire et ses derniers développements n'a pas fini de nous apporter son lot de surprises...
Manuel Valls, député-maire socialiste d'Evry... par rtl-fr
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