Comme toutes les semaines, Olivier Delamarche met les points sur les i. Au sommaire cette semaine : le gag des test de stress bancaires. Accrochez-vous ! Pour le patron du hedge-fund Platinium Gestion, c'est chaud ! Coup de soleil garanti... "Les banques espagnoles ne sont pas chères car elles sont en faillite. Les marchés boursiers ne s'occupent que des entreprises. A un moment il va falloir prendre en compte l'endettement des Etats, car au-dessus de 90% d'endettement, on perd 1% de croissance. En 2010, les Etats-Unis ont mis 2.000 milliards de dollars en "Quantitative Easing", ça n'a rien changé sur le chômage. On nous refait le coup cette année avec 600 milliards : ça ne changera rien du tout". Le pire c'est que l'actualité donne raison à Olivier Delamarche comme nous le montre cette dépêche AFP. Les banques espagnoles ont plus de 105 milliards d'euros d'actifs pourris dans leurs comptes, soit un plus haut depuis 15 ans. Autant d'argent perdu ou presque qu'il va falloir compenser pour éviter l'effondrement du château de cartes...
jeudi 20 janvier 2011
Château de cartes...
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