Vous avez aimé la faillite grecque et irlandaise ? Vous vous attendez à la banqueroute prochaine du Portugal et de l'Espagne ? Vous allez adorer la prochaine étape de la crise. C'est au tour de l'Italie d'être touchée par les spéculateurs. Comme le montre ce graphique relatif aux emprunts italiens à 10 ans, le taux d'intérêt n'en finit plus de grimper et de grimper encore. Bref, plus les jours passent, plus les taux d'intérêt italiens augmentent, plus le pays s'endette, plus le jour du jugement dernier se rapproche. C'est d'ailleurs ce qu'explique Ambrose Evans-Pritchard dans un papier publié par le Telegraph de Londres indiquant que la zone rouge est désormais atteinte par la péninsule. "Italy's borrowing costs have jumped to the highest level since the financial crisis over two years ago, raising concerns that Europe's biggest debtor may slip from the eurozone's stable core into the high-risk group on the periphery". Autant préciser que si l'Italie venait à être en difficulté comme "ses petits frères" des PIIGS, cela pourrait coûter aux contribuables européens que nous sommes tous la somme astronomique de 2.000 milliards d'euros. Allô tonton pourquoi tu tousses ? Bref, une somme qui ne sera jamais payée tant elle est disproportionnée. Il n'empêche que la situation italienne a fait renaître tous les réseaux d'extrême gauche et anarchistes, au point de se croire revenu au temps des Brigades Rouges. Chaud, chaud, chaud, le printemps sera chaud...
Les attentats de Rome ont été revendiqués
envoyé par BFMTV. - L'info video en direct.
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