Toute la presse fait ses choux gras de ce qui se passe au Maghreb (d'abord l'Algérie puis maintenant la Tunisie) et oublie de rapporter ce qui se passe de l'autre côté de la planète. Comme nous en informe ce papier de Zerohedge, la situation est en tout point similaire au Chili. Augmentation déraisonnée des matières premières (dans le cas chilien, c'est le gaz qui est en cause), colère de la population, manifestations, émeutes, répressions policières et décès. La suite logique de toute révolte. Circonstance aggravante : la promesse électorale du futur président Pinera qui certifiait que les prix du gaz n'augmenteraient pas. Raté ! Ils se sont envolés de 17%... Bref, au Chili comme partout ailleurs, c'est la façon dont le peuple est considéré par les élites qui le pousse à se rebeller et à renverser ce système qui les opprime depuis toujours...
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