Encore une information qui montre comment le libéralisme à outrance pratiqué de l'autre côté de l'Atlantique entraîne presque toute la population dans les tourments de la pauvreté. Comme nous le révèle cet article publié par le New York Times, les fonds de retraite de la petite ville de Prichard en Alabama sont secs comme un coup de trique. Plus un rond pour payer les pensions des 150 retraités de la municipalité (plus particulièrement des policiers et des pompiers). Du coup, les petits vieux, sans aucun revenu, ont été obligés pour les plus modestes d'entre-eux de reprendre une activité salariée. Il ne faut pas croire que la situation de Prichard est une situation isolée, elle préfigure ce qui pourrait se passer dans des villes nettement plus importantes comme Philadelphie voire à des états comme l'Illinois. Bref, d'après le quotidien, c'est la quasi totalité des villes du pays qui sont dans le même état de délabrement financier. Pathétique comme la retraite par capitalisation en vigueur aux Etats-Unis...
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