Alors que l'effondrement de la Zone euro est devenu bien plus qu'une éventualité, tous les européistes patentés de notre beau pays se sont "donnés le mot" pour nous prévoir le pire. Notamment si la France avait la mauvaise idée d'élire Marine le Pen au sommet de l'Etat à l'occasion des élections présidentielles de 2012. Et pour bien enfoncer le clou, ils ont fait appel à tous leurs organes de propagande pour bien nous faire culpabiliser. A l'image de cette étude réalisée par le think thank ultralibéral de l'Institut Montaigne et reprise dans la plupart des quotidiens économiques dont les Echos. "Revendiquée par le Front National, la sortie volontaire de l'euro provoquerait la destruction de 6 à 19 points de la richesse nationale à un horizon de dix ans et la destruction de plus d'un million d'emplois, estime l'Institut Montaigne sur la base des modèles économétriques de Bercy". Au programme donc : chômage, austérité, inflation et tensions sociales... Bigre ! Voilà des conséquences ayant de quoi apeurer tous ceux qui espèrent que notre situation économique va s'améliorer. Sauf qu'il s'agit une fois encore d'une pure désinformation orchestrée par cette caste mondialiste prête à tout pour nous asservir... Qui est donc derrière cet Institut Montaigne qui semble si prompt à nous prédire le chaos ? C'est le site Wikipedia qui nous apporte un commencement de réponse : un véritable "Who's who" des principaux Vampires de notre pays. Ils y sont tous ! A commencer par son fondateur : le sinistre Claude Bébéar, l'ancien patron d'Axa. De plus, il semble évident qu'un think thank financé par 80 des plus importantes multinationales du pays ne risque pas de soutenir une autre politique... Mais le plus amusant nous vient une fois encore de notre "placard à archives". Propulsé au second tour des présidentielles en 2002, Jean-Marie le Pen fut lui aussi en son temps pris à parti par les mêmes ou presque et dans des termes quasiment identiques... Bref, vous l'avez compris ! Les européistes à tendance mondialistes ont tout à perdre d'un retour de notre souveraineté. Même si nous ne soutenons pas les idées du FN, nous ne pouvons que constater qu'ils font tout pour l'austraciser depuis plus de dix ans. C'est aussi ce qui les pousse à refuser d'entendre la parole de François Asselineau et à taire les idées de son parti de l'UPR, pourtant le premier à nous rassurer sur notre sortie des institutions européennes... En fin de compte, on s'interroge encore sur le décalage immense existant entre l'avis du peuple et les médias qui cherchent à défendre un système oligarchique indéfendable. Agiter la perspective d'une catastrophe économique alors que nous y sommes déjà n'est pas plus sérieux que toutes les promesses faites jusqu'alors...
lundi 19 décembre 2011
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