lundi 5 décembre 2011

Déjà les larmes... A quand le sang...?

Winston Churchill, l'emblématique Premier ministre britannique avait promis à son peuple "du sang et des larmes" comme programme politique durant la Seconde guerre mondiale. Soixante dix ans plus tard, c'est au tour de cette femme de tomber en sanglots à l'annonce d'un train de mesures gouvernementales. Son nom : Elsa Fornero. Comme l'indique sa biographie Wikipedia, il s'agit de la toute nouvelle ministre italienne du Travail. Il est vrai que les temps changent en Italie depuis que Papounet a été obligé de démissionner sur les injonctions du couple Merkel et Sarkozy. Pourquoi nous parlons de cette femme ? Parce qu'elle a eu le redoutable "privilège" d'annoncer ce week end le nouveau plan d'austérité imposé aux Italiens par le sinistre Mario Monti (cet ancien Vampire de la Goldman Sachs...!) comme le rapporte cet article publié par le site belge le Soir. Après les 60 milliards d'euros économisés en juillet, voici vingt milliards d'euros supplémentaires qui viennent de tomber sur "la cafetière" de nos amis transalpins. Au programme des réjouissances : un allongement de la durée de cotisations pour les retraites, un report de l'âge légal, des taxes supplémentaires en tout genre et peut-être une augmentation de la TVA... Sacrifices suffisants pour la ministre qui fonda en larmes en annonçant que son pays était victime de "très sévères contraintes financières internationales"... Elle aurait pu rajouter "imposées par les anciens patrons de mon patron"... De toutes les façons, il n'y a rien d'autres à attendre de ce suppôt des Bilderberg (et autres sociétés opaques...!). Très rapidement, il va falloir mettre à la porte tous ces illusionnistes, adeptes de l'esclavage, sinon on risque de le payer très cher. N'oublions pas ce que disait le pharaon Akhenaton (le vrai, pas le chanteur de IAM...!), "la paresse des foules s'accommode à merveille des appétits et des ambitions d'une minorité. Ainsi, le mécanisme fonctionne t-il sur lui-même. Il n'y aurait pas de Maîtres sans la complicité morale des esclaves"... Pour notre part, nous souhaitons être ni l'un, ni l'autre... et nous nous battrons pour la liberté...

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