Tel est l'adjectif qui convient aux toutes premières démarches réalisées par Dilma Rousseff en tant que nouvelle présidente de la République du Brésil. Bien qu'estampillée de gauche, la protégée de Lula da Silva a tenu à rassurer les milieux financiers et économiques comme le souligne ce papier publié par le quotidien suisse le Temps. Son adversaire n'avait pas hésité à exacerber les peurs. Elle hérite d'une économie solide, avec une prévision de croissance de 7% en 2010. "Les investisseurs parient sur la continuité de la politique économique de son prédécesseur et mentor Luiz Inacio Lula da Silva. Au cours de ses deux mandats, entre 2003 et 2010, celui-ci a assuré une croissance annuelle moyenne de 5% durant une décennie, sorti 21 millions de personnes de la pauvreté, augmenté le revenu des ménages de 32% et créé 15 millions de nouveaux emplois". Bref qu'on soit de gauche ou de droite au Brésil, les financiers pourront donc continuer de faire de la forêt amazonienne un grand champs d'OGM et y liquider les derniers hommes libres que l'alcool, la drogue, le mercure et les assassinats n'auront pas encore achevés...
Dilma Rousseff , une femme à la tête du Brésil
envoyé par BFMTV. - L'info internationale vidéo.
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