La Belgique vit peut-être ses derniers moments de souveraineté. Tout le monde tente de faire bonne figure mais on s'agite en coulisses. Début octobre, l'Europe toute entière, s'est transformée en un véritable champ de bataille. Deux exercices militaires se sont en effet déroulés sur le territoire européen, avec dans leurs rangs des soldats belges et français d'un côté, et de l'autre des militaires venus de plusieurs pays membres. Des manoeuvres prouvant, selon ce papier tiré du blog la Nouvelle Bastille République et repris par Marianne, les velléités idéologiques de l'Union Européenne. "Le scénario, précisent les militaires, concerne : 'un pays avec une économie faible, gouverné par un régime national strict. Un parti libéral opposant au pouvoir a vu le jour. (...) Afin que soit organisé un scrutin démocratique, la communauté internationale met le gouvernement de Blueland sous pression. Avec succès, car le 1er décembre auront lieu des élections mettant face à face deux partis antagonistes. Les nationalistes se sentent frustrés de cette forme d'ingérence internationale, et les différences entre les deux partis provoquent des tensions et des manifestations qui s'amplifient à l'approche de l'échéance électorale. De petits mouvements de révolte et des grèves nationales ont lieu de plus en plus fréquemment'". Bref en résumé : la Belgique ! Du coup l'Europe militaire poursuit ses objectifs géopolitiques tout en ne s'interdisant plus de maintenir l'ordre au sein même de ses pays membres. Sous couvert de démocratie, de défense des minorités, nous assistons à la mise en place d'un système dictatorial qui non content de s'imposer aux nations par la voie de la loi se dote désormais d'une "force de coercition rapide" destinée à "tuer dans l'oeuf" toutes velléités émancipatrices d'un Etat qui déciderait de reprendre en mains sa destinée. De plus, selon les principes de la démocratie, l'armée d'un pays est faite pour combattre les puissances ennemies étrangères. Revenir sur ce principe suffit à faire passer le régime d'une démocratie à une dictature. Quand une armée commence à faire des rondes dans son propre pays, c'est qu'elle est commandée par une puissance étrangère...
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