mardi 3 janvier 2012

Le courage de ses convictions...

Première semaine de l'année et première chronique de notre financier préféré... Comme en 2011, nous suivons pour vous les avertissements et conseils financiers de Olivier Delamarche qui tout comme nous sait bien que notre situation économique est désespérée et que les dettes au niveau mondial ne seront jamais remboursées. Alors que les deux journalistes de BFM tentent toujours de lui soutirer une dose d'optimisme pour cette année, le patron du hedge-fund Platinium Gestion ne s'en laisse pas conter et réitère ses sombres prévisions qui tranchent avec la vision des économistes du système... Et ce n'est pas l'adage "Dieu a inventé les économistes pour que les météorologistes se sentent moins seuls" qui nous fera changer d'avis sur les bonimenteurs aux ordres... Bonne année malgré tout...

Olivier Delamarche présente ses vœeux sur BFM... par FranceDomTomBlogger

2 commentaires:

  1. J'ai visionné ce matin l'intervention d'Olivier Delamarche. Il faut dire que tous les mardi j'attends avec impatience le super Bear. Son langage est simple et compréhensible pour tout le monde.
    Quand bien même, les joutes verbales qui l’opposent aux journaliste de BFM Business sont intenses et récurrentes, il faut reconnaître qu'il a toujours été invité dans cette émission. son franc-parler jusqu’à présent n'est pas rédhibitoire quant à sa liberté de parole. Je précise ceci, parce qu’il avait abordé le sujet, dans l'émission de Pierre Jovanovic le mercredi de 14h00 à 16h00 sur les ondes de la radio ici et maintenant. L'excellent Pierre Jovanovic le félicitait sur ses interventions sur BFM Business mais vilipendait les deux journalistes de ladite émission.

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  2. Olivier Delamarche est une personne qui tranche dans le paysage audiovisuel.

    Comme vous le remarquez justement, sa liberté de parole est entière (pour le moment...). Mais pourrait-il encore en être ainsi si la situation se dégradait ?

    Quant aux deux "zozos" qui tiennent le rôle de journalistes, ils me font penser aux clowns dans les cirques. Ils sont toujours au nombre de deux. Il y a le "gentil" et le plus "cabot" mais les deux font partie intégrante du même spectacle. Avec la bénédiction des patrons de la chaîne...

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