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mardi 8 novembre 2011

Chaude après-midi...

Mais qu'est-ce qui est donc arrivé à Harry Potter ? Alors que notre sous ministre à l'Economie répondait à une question socialiste à l'Assemblée Nationale, il est d'un seul coup parti en live comme le rapporte cet article publié par le Figaro. Au point de faire retentir une gigantesque bronca à l'intérieur de l'hémicycle et de faire suspendre définitivement la séance après trente minutes de travail. "François Baroin a accusé les socialistes d'avoir pris le pouvoir par effraction en 1997, déclenchant la colère des députés de l'opposition. Fait rarissime : la séance des questions au gouvernement a été levée". Il oublie un peu vite que si les socialistes sont arrivés au pouvoir en 1997, ce n'est pas suite à un coup d'état mais bien suite à des élections législatives organisées après la dissolution ratée de son mentor Jacques Chirac... En prenant cette posture, c'est tout simplement la démocratie que ce tout petit monsieur est en train d'insulter. Mais il est vrai qu'en Sarkozye, ce mot a été vidé de tout son sens tant cette législature restera dans les annales pour ses petits mots, ses coups bas et autres joyeusetés venant des amis de Baroin. Mais doit-on s'attendre à autre chose de la part d'un homme qui pense que internet et les réseaux sociaux représentent "la France des corbeaux qui se déverse dans un venin permanent" ? On peut en douter...


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lundi 24 octobre 2011

Poli mais pas polyglotte...

Et dire qu'ils nous annonçaient cette échéance comme étant celle de la dernière chance pour sauver l'euro... Force est de constater qu'une fois encore, le sommet européen qui s'est tenu durant tout ce week end à Bruxelles, a accouché d'une souris. Il faut dire que les antagonismes sont au plus haut entre les Français et les Allemands. Sur la seule question qui vaille : qui va payer l'addition de la faillite grecque et éventuellement celle d'autres pays ? D'un côté Sarkozy souhaite une mutualisation des dettes des pays de la Zone euro et un accroissement considérable du Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF) tandis que la chancelière allemande y est profondément hostile (en ce sens, elle défend ardemment le portefeuille de ses compatriotes...). De plus, notre "omniprésident sauveur du monde" souhaite limiter les pertes sur la dette grecque à hauteur de 20% du capital engagé alors que Angela Merkel veut lui imposer une décote de plus de 50%. Entraînant par là-même de réelles difficultés pour les banques françaises fortement exposées aux dettes souveraines grecques. Ce qui imposerait une recapitalisation d'autant plus importante et en filigrane la perte de la fameuse note AAA si chère à nos politiciens. Bref, vous l'avez compris : l'avenir politique de Merkel comme celui de Sarkozy se joue dans ce duel à fleurets mouchetés. Au point que la médisance s'est invitée dans les couloirs du sommet comme le souligne cet article publié par le Telegraph de Londres. Et l'un des plus volontiers montré du doigt n'est autre que notre ministre de l'Economie et des Finances, François Baroin. Souvenons-nous de l'attitude de ce dernier lors du dernier remaniement suite à la nomination de Christine Lagarde au FMI : il avait exigé ce portefeuille et l'avait revendiqué haut et fort sinon il menaçait tout son petit monde de démission comme s'en souvient cet article publié çà l'époque par le site Rue 89. Un ego surdimensionné pour une incompétence notoirement révélée à la lecture du papier de Bruno Waterfield... Interpellé par le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, le pauvre Baroin s'est fait remettre à sa place par Christine Lagarde herself. Jugé jeune et inexpérimenté, il n'a pas eu la carrure nécessaire pour répondre aux critiques allemandes, lassant à la patronne du FMI le soin de prendre la parole à sa place. Il faut préciser que notre sous-ministre ne parle pas l'anglais ! Incroyable mais vrai... Alors que toute la construction européenne est chapeautée depuis l'origine par la CIA, notre "omniprésident à la vue courte" a réussi à nommer à un poste aussi sensible un pantin qui ne comprend pas ce qui se passe car il ne parle pas la langue utilisée... Avec de tels baltringues, pas étonnant que nous courons à la catastrophe...


la Parisienne Libérée - les banques vont bien par Mediapart
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mardi 18 octobre 2011

Au pays des Bisounours...

Dans ce pays imaginaire, on en connaît deux qui auraient à n'en pas douter un destin présidentiel... Regardez comme ils sont beaux et studieux ! Avec l'air affirmé afin de nous faire "gober" n'importe quoi. A tout seigneur, tout honneur, commençons par la ministre du Budget, l'inénarrable Valérie Pécresse. Alors que l'élite de la finance mondiale était réunie à Paris en ce dimanche pour réfléchir à des solutions pour nous sortir de la m..., ils ont réussi la performance de nous dire que tout est sous contrôle sans pour autant décider de quoi que ce soit si ce n'est de remettre les décisions à plus tard comme le reconnaît humblement ce papier publié par les Echos. Bref, on se demande bien pourquoi ils se sont réunis alors ? Il n'empêche que le compte-rendu de ce sommet international dans la bouche de Madame Pécresse nous a replongé quelques mois en arrière quand Christine Lagarde nous jurait "ses grands dieux" que la crise était derrière nous. Invitée sur le plateau de Jean-Jacques Bourdin sur les ondes de RMC, elle a eu cette sortie qui restera dans les mémoires (à partir de 11 minutes 30). "Les banques françaises sont solides mais elles seront recapitalisées"... Fallait oser la sortir celle-ci ! Et devinez qui va mettre la main à la poche en dernier recours ? Dans le même genre de désinformations mal intentionnées, nous avons aussi noté la sortie de notre sous-ministre à l'Economie François Baroin ce matin sur l'antenne de France 2. Alors que la note AAA de la France est maintenant clairement remise en cause par certaines agences de notation comme le stipule ce papier publié par le site TF1 News, Monsieur Baroin nous a juré la main sur le coeur que la note de la France n'était absolument pas menacée. Tout en reconnaissant qu'il ne laisserait pas la note dégradée, quitte à nous faire les poches une fois encore... Vous l'avez certainement compris si vous suivez régulièrement notre blog. Ils nous prennent pour des c... (et ceci dans les grandes largeurs). Si vous aussi vous souhaitez vous informer sur cette crise qui risque de tout emporter sur son passage, nous vous conseillons ce live quotidien publié par le Telegraph. Un véritable tour d'horizon de cette crise en mouvement que nous conseillons aussi à nos ministres tant ils apparaissent bien légers pour circonscrire cet incendie. Au fait "Nicolas et Pimprenelle"... Puisqu'il n'y a pas de danger sur les banques, qu'il n'y a pas de danger sur la note des dettes souveraines françaises, qu'il n'y a pas de danger pour les banques françaises suite à la faillite de Dexia, qu'il y a aucun danger nul part... Pouvez-vous nous expliquer pourquoi il y a toute cette agitation puisqu'il n'y a rien à dire... On aimerait tous comprendre...


Bourdin 2012 : Valérie Pécresse par BFMTV
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jeudi 6 octobre 2011

De 1.000 euros à rien... ou presque...

"Les promesses n'engagent que ceux qui y croient" a t-on l'habitude d'entendre. Surtout quand il s'agit de promesses politiques. Parmi les pros qui s'adonnent à ce genre d'amusement, on peut aisément placer tout en haut du classement notre "omniprésident au nez de Pinocchio". Il faut dire qu'il ne ménage pas ses efforts pour faire gober n'importe quoi aux Français. Souvenez-vous de ses propos au mois d'avril dernier. Il allait tout entreprendre pour contraindre les entreprises faisant des profits à verser aux salariés une prime exceptionnelle. Il l'avait même chiffrée à 1.000 euros par travailleur (voir par ailleurs). Six mois plus tard, tous ceux qui y ont cru ne peuvent que déchanter et se montrer dégoûtés. Comme nous le révèle cet article publié par le site France Infos, on est bien loin du compte. Les mieux lotis : les salariés du chimiste Rhodia qui vont toucher chacun 600 euros bruts. Une exception parmi toutes les multinationales du CAC 40 tel que l'a souligné le cabinet d'audit Deloitte qui a mené son enquête. "Le niveau médian se situe plutôt autour de 300 euros et dans un quart des cas, c'est même moins que 150 euros". La palme revient même au mastodonte de la sécurité Securitas qui a proposé à ses salariés la somme faramineuse de... 3,50 euros ! Debout les gueux ! Réveillez-vous et boutez hors de son trône celui qui ne cesse de nous enfumer depuis qu'il y a mis son auguste séant...

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lundi 19 septembre 2011

Gouverner c'est prévoir...

Alors qu'une grande majorité des Français est désormais contre le fait de sauver la Grèce comme l'évoque ce sondage publié par le Figaro, nos gouvernants continuent envers et contre tous de travailler sur un redressement du pays. Comme en témoigne cette dépêche AFP, notre sous-ministre de l'Economie et des Finances rejette toute faillite de l'état grec. Pire que cela, François Baroin reconnaît ne rien pronostiquer. A la question de savoir ce que ferait la Zone euro si la troïka (l'UE, LA BCE et le FMI) décide de ne pas verser la dernière partie du prêt accordé l'année dernière, ce dernier affirme ne pas anticiper une telle hypothèse. Au pays des aveugles, les borgnes sont rois... Il serait bien inspiré de prendre quelques cours d'économie auprès de Nicolas Doze, l'éditorialiste de BFM. Pour lui, l'Europe a fait un grand pas en arrière ce week end. Comme d'habitude, le sommet des ministres des Finances de l'Union Européenne a accouché d'une souris tel que le note cet article publié par la RTBF. Bref, les politiciens sont totalement incompétents sur ce problème. Ils disent tout et son contraire. A l'image d'un DSK qui est à l'origine du plan de soutien grec et qui aujourd'hui vient nous dire que la Grèce doit restructurer. Plus que jamais, on voit que c'est la débandade chez les européistes. Qui croire ? Qui dit la vérité et qui ment dans ce paysage politique absolument incroyable ? Pour notre part, nous savons que le seul qui sera capable de nous éviter le désastre annoncé c'est François Asselineau, le leader de l'UPR. Cela fait maintenant plus de sept ans qu'il prévoit cet effondrement et n'a jamais été écouté par ceux qui viennent nous faire de grands cours d'économie aujourd'hui. Ecoutez le dans son intervention de ce jour sur les ondes de Tropiques FM. Entre un apprenti sorcier qui ne prévoit rien et un homme qui dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas depuis si longtemps, notre choix est vite fait. Et le vôtre...?


Nicolas Doze - La Grèce dans un climat... par MinuitMoinsUne

François Asselineau sur tropiques FM par StopEurope
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vendredi 19 août 2011

En pleine déconfiture...

Rien ne va plus à la Société Générale ! On avait déjà mis en garde nos lecteurs sur les risques encourus par cette banque (voir par ailleurs). La faillite était proche et nous n'allions pas à avoir longtemps à patienter pour s'en apercevoir. Et pourtant les pontes de la banque (les mêmes ou presque qui ont sacrifié Jérôme Kerviel) se sont relayés pour exprimer leur colère face à de "calomnieuses rumeurs". D'autant qu'ils ont le soutien de notre ministre de l'Economie, François Baroin. Autant pour nous... Mais comme le dit le proverbe : "il n'y a pas de fumée sans feu". Les marchés se sont à nouveau acharnés contre la banque hier en la faisant dévisser de plus de 12% entraînant dans son sillage et celui des autres banques tout le CAC 40 qui s'est effondré de plus de 5%. Encore une histoire de rumeurs très certainement ? Plus vraiment à en croire cette dépêche AFP reprise par le Point. On y apprend que la BCE a du voler au secours d'une banque en lui prêtant en urgence une somme de 500 millions de dollars. "Ce prêt important en dollars s'ajoute à une série d'annonces de la BCE révélant la fébrilité des banques, comme le montant toujours élevé des liquidités que ces dernières confient à l'institution de Francfort, quitte à être faiblement rémunérées, plutôt que de les prêter à leurs consoeurs. Ou le recours toujours massif de certains établissements aux prêts d'urgence en euros de la Banque Centrale". Evidemment le papier ne nous donne aucun nom. Mais dans la mesure où la banque a perdu plus de 80% de sa valeur depuis cinq ans comme le montre les graphiques Boursorama, son identité ne fait guère de doute. D'autant moins que ce sont les Américains qui révèlent le loup dans cette dépêche publiée par l'agence de presse Reuters. La Fed s'est ainsi renseignée "discrètement" sur la trésorerie des banques européennes travaillant aussi sur le territoire américain. Dans son oeil de mire, la Société Générale (comme on se retrouve...), la BNP Paribas et la Dexia Bank. Bref, on le voit : la situation semble encore s'empirer. A l'heure où nous écrivons ces lignes, les bourses européennes continuent de s'enfoncer. Les valeurs bancaires avec... Mais ce coup ci, il ne sera plus question de rumeurs orchestrées par des criminels de la finance mais juste d'un vol organisé par des Vampires associés à des politiciens qui ont décidé de nous faire tous sombrer...


Société Générale - rumeurs : enquête de l'AMF par BFMTV

François Baroin, ministre de l'Ecomonie s'est... par rtl-fr
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vendredi 12 août 2011

Les voyous de la mondialisation...

Encore une histoire de patrons voyous... Cela se passe à proximité de Troyes dans la société Sodimedical. Comme nous l'enseigne cet article publié par le quotidien le Figaro, les salariés de cette boîte n'en peuvent plus. Ils ne sont plus payés depuis des mois à cause d'une multinationale allemande. "Lohmann und Rauscher, propriétaire de Sodimedical, une entreprise de fabrication de matériel médical, refuse de payer les salaires depuis que le tribunal a invalidé son plan social . Les employés se retrouvent acculés". Voulant délocaliser la production de cette usine en Chine, les teutons n'ont pas accepté de se voir mettre des bâtons dans les roues par le petit personnel. Du coup, ils n'ont plus payé personne. "Les salariés se trouvent sans travail et sans revenus en toute illégalité explique leur avocat". Même la séquestration du directeur n'a pas permis de solutionner le conflit. Bref, le libéralisme mondialisé à la sauce anglo-saxonne n'est que la forme moderne de l'esclavagisme. Et au lieu de taper du poing sur la table pour faire respecter les décisions de la justice française, notre sous-ministre à l'économie (pourtant maire de Troyes) affirme qu'il ne peut rien faire et renvoie la balle au préfet. A l'évidence Monsieur Baroin ne sert à rien. Pour notre part nous ne pouvons que soutenir ces gens pour qu'ils recouvrent leurs droits et à nouveau dénoncer cette Europe (et cette bienheureuse mondialisation) incapable de faire respecter les plus élémentaires obligations à ces patrons voyous...


SODIMEDICAL: Les salariés mobilisent les troyens par canal32-wizdeo
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Un peu décevant...

Il va lui en falloir des pouvoirs magiques à notre "Harry Potter" du gouvernement pour atteindre les objectifs budgétaires. Il est vrai qu'avec le taux de croissance rendu public aujourd'hui, la France s'achemine tout droit vers la récession. Comme nous le révèle cet article publié par le site TF1 News, la France a annoncé un taux de croissance nul. 0% pour le deuxième trimestre. "Des chiffres un peu décevants pur François Baroin qui confirme que les objectifs fixés pour l'année seront maintenus". Allô François ? Sais-tu qu'au même moment la Chine a une croissance de 10%. Autant dire que ce n'est pas avec un tel chiffre que notre pays stoppera sa dégringolade dans l'échelle de la prospérité mondiale. Le plus confondant est que le ministre de l'Economie feint de ne pas reconnaître qu'un tel chiffre ne permet pas d'absorber les nouveaux entrants sur le marché du travail. Sachant que le mois de septembre est le plus "violent" sous cet aspect, parions que les chiffres du chômage n'ont pas fini de faire grimpette au cours des prochains mois... Juste un peu décevant ? Nous dirions plutôt fortement préoccupant...

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lundi 8 août 2011

Sous tutelle...

Le Quatrième Reich est en route ! Laissons de côté ce qui se passe de l'autre côté de l'Atlantique pour regarder la situation européenne. Force est de constater que le plus préoccupant à l'heure actuelle concerne l'économie italienne. Pourquoi ? Parce que l'Allemagne a prévenu que ses contribuables ne payeraient pas pour sauver la patrie de Berlusconi. Comme le révèle ce papier publié par le site Challenges, l'Allemagne a confirmé qu'elle n'était pas disposée à procéder à une rallonge budgétaire concernant le Fond Européen de Stabilité Financière (FESF) ou le Mécanisme Européen de Stabilité (MES). En d'autres termes, l'accord voté en juillet dernier ne sera pas changé d'une virgule. L'argent du fond est nécessaire pour sauver la Grèce ou le Portugal mais sera largement insuffisant pour venir en aide à l'Espagne ou à l'Italie (voir par ailleurs). N'en déplaise à Messieurs Sarkozy, Hollande, Fillon, Baroin, Barroso, Van Rompuy et consorts, Angela Merkel a la volonté de défendre les intérêts du peuple allemand et n'a aucune envie de remettre la main au portefeuille. N'est-ce pas Harry Potter qui déclarait encore ce matin être prêt à augmenter ce fond ? Cela bat aussi en brèche la légende véhiculée dans nos médias comme quoi l'Allemagne fera tout pour sauver l'euro. Elle se moque pas mal de la monnaie unique. Elle la maintient uniquement sur la pression de Washington qui en fut le réel instigateur. Bref, l'Italie doit résoudre ses problèmes par elle même. La BCE a bien décidé de racheter de la dette italienne et espagnole mais à quel prix ? Au prix d'une mise sous tutelle comme le révèle cet article publié par le Monde. La BCE tel un parti de gouvernement a formulé des exigences concrètes pour avancer de l'argent à l'Italie. Moins de rigidité sur les contrats à durée indéterminée, interventions sur l'emploi public, modification du modèle fondé sur l'extrême flexibilité des jeunes et des précaires, privatisation des régies municipales,... un magnifique programme à la sauce ultra-libérale. En d'autres termes, la BCE veut toujours plus de libéralisme, toujours plus de marché, toujours plus de politique de droite. Mais l'Italie a déjà Papounet qui applique cette politique. On a réellement l'impression que le monde tourne en rond et pas rond...



Baroin : "une tension des dettes"

par Europe1fr
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mercredi 20 juillet 2011

Cocorico...

Haut la main ! A écouter notre "Harry Potter" de Bercy, les banques françaises sont sûres. Au point d'avoir réussi haut la main les tests de stress organisés à travers la Zone euro la semaine dernière. François Baroin ne boude donc pas son plaisir en ayant déclaré "le système bancaire français, et c'est une confirmation est solide. Il faut y voir le fruit d'une gestion rigoureuse des risques de la part des banques françaises et cela vient aussi confirmer la solidité du modèle des banques universelles largement diversifiées". Cocorico amis investisseurs ! Vous ne craignez rien puisqu'on vous le dit... Sauf que cet optimisme est loin d'être partagé par tout le monde à l'image de ce papier publié par le Wall Street Journal. Après les banques espagnoles et italiennes, ce sont les banques françaises qui sont le plus exposées à un défaut de paiement de la part de l'un des PIIGS. "It's four largest banks - BNP Paribas, Crédit Agricole, groupe BPCE et Société Générale - were holding a total of nearly 300 billion euros or about 425 billion dollars, in loans and other debt issued to institutions and individuals in Portugal, Ireland, Italy, Greece and Spain, the countries that are among Europe's most troubled". Autant dire que si la situation ne s'améliore pas dans l'un de ces cinq pays, la résistance louée par notre ministre sera balayée comme un fétu de paille. Et pour enfoncer le clou, les tests menés ne tiennent pas compte de tous les actifs exprimés hors bilan du type CDS... En d'autres termes, l'exposition des banques françaises est nettement plus importante sur les prêts accordés dans ces pays que sur le montant des dettes souveraines détenues. On comprend mieux pourquoi Sarkozy fait tout pour mutualiser les pertes éventuelles sur l'ensemble des banques européennes. Comme dans la chanson, plus on est de fous...


Les banques françaises résisteraient à la crise par BFMTV
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mercredi 13 juillet 2011

Paris vaut bien un MES...

Merci François ! Amis contribuables, nous pouvons dire un grand merci à notre nouveau ministre de l'Economie et des Finances pour avoir autorisé notre endettement futur. En effet, comme le révèle cet article publié par le site Euractiv, François Baroin a apposé sa signature sur le traité lié au Mécanisme Européen de Stabilité (MES). C'est quoi le MES ? Il s'agit de "l'instrument d'aide aux états les plus endettés après 2013". En résumé, il s'agit d'un fonds européen d'un montant de 700 milliards d'euros permettant de remettre à flot des pays comme la Grèce ou l'Irlande. Autant dire de la dette supplémentaire à rajouter à un amas de dettes déjà existantes... Par cette signature, la France accepte donc sa future part de contribution. N'oublions pas qu'au moment où nous écrivons ces mots, chacun d'entre nous doit déjà 24.000 euros. Un MES de requiem pour nos finances sans aucun doute...


Crise : l’UE renforce le Fonds de secours par BFMTV
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jeudi 16 juin 2011

Sourd et aveugle...

La catastrophe de Fukushima est désormais bien loin dans la tête de ceux qui nous gouvernent. Terminée l'émotion ressentie quand on a vu la centrale exploser, finie la compassion avec les milliers de victimes et les centaines de milliers de "déracinés". Sachez le : le nucléaire français a encore de beaux jours devant lui à en croire les différents partis politiques qui vont briguer nos suffrages en 2012. Le porte-parole du gouvernement l'a d'ailleurs confirmé dans une dépêche AFP dans laquelle il reconnaît que le non au référendum italien ne changera pas la donne quant à la poursuite du nucléaire. "'Rien ne saurait nous détourner ce qu'il est aujourd'hui une des forces de la puissance française, dans la mesure où, par ailleurs, nous mettons beaucoup d'argent et nous garantissons la sécurité de nos installations' a t-il ajouté". Bravo Monsieur Baroin... Au fait, connaissez-vous Alex ? Alex est présent dans la périphérie de Fukushima depuis le début de cette catastrophe et nous relate jour après jour la tendance vécue là-bas sur sa chaîne Youtube. Vous seriez bien inspiré de l'écouter plus attentivement. Pour se faire, nous vous postons sa toute dernière contribution. Elle peut certainement vous apprendre plein de choses. Profitez-en... elle est français ! Des vérités... rien que des vérités ! Et que dire de cette autre catastrophe nucléaire en cours et dont personne n'a entendu parler. Cela se passe aux Etats-Unis dans le Nebraska. Comme le révèle cet article publié par le site Business Insider, cette centrale nucléaire présente elle aussi un état inquiétant. Complètement inondée suite aux crues du fleuve Missouri, elle est actuellement dans un tel état que l'administration a pris un décret interdisant son survol par n'importe quel avion. Dans ce monde ultralibéral, nous ne valons finalement guère plus que le dromadaire australien. Merci de nous en avoir fait prendre conscience...


FUKUSHIMA Alex EN FRANCAIS a Tokyo 15 juin 2011 par psartekonish


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jeudi 21 avril 2011

Mamie qui rit, les autres qui pleurent...

Mamie Zinzin a de quoi retrouver le sourire. Après une année pleine de révélations quant à sa fortune, on dit qu'elle a remis de l'ordre tant dans sa vie que dans ses finances. Il faut dire qu'elle vient d'être bien aidée par notre président qui ne supporte pas qu'un riche le soit moins. Comme le révèle ce papier publié par le Canard Enchaîné et repris par le site du Parisien, Lilliane Bettencourt, l'héritière du groupe L'Oréal, va être imposée comme une "vulgaire" smicarde. "Grâce à la fin du bouclier fiscal cumulé à la réforme sur l'ISF, pendant un an ou deux, la femme la plus riche de France verra 'sa ponction fiscale divisée par quatre, passant - pour l'impôt sur le revenu et l'ISF - de 40 millions d'euros en 2010 à 10 millions cette année. A comparer avec des revenus proches de 250 millions' d'euros. Soit un 'taux d'imposition direct global d'environ 4% de ses revenus effectifs, soit le taux appliqué à un contribuable touchant 1.300 euros net par mois' assure le journal". Mais rassurons-nous gueux que nous sommes ! Notre président du pouvoir d'achat a pensé aussi à nous en imposant aux "entreprises de plus de cinquante personnes qui distribuent des dividendes en augmentation à négocier le versement d'une prime à ses salariés" comme le rapporte cet article publié par le Figaro. Disons voir que pour être tout à fait honnête, il n'a pensé ni aux fonctionnaires, ni aux retraités, ni aux chômeurs, ni aux rmistes, ni aux auto-entrepreneurs, ni aux salariés des TPE, ni aux salariés d'une grosse PME qui ne verse pas de dividendes, ni à nous tenanciers de ce blog... Il est vrai que nous ne subissons aucune perte de pouvoir d'achat. Bref, il a surtout pensé aux cadres et employés des multinationales tout en se gardant bien d'indiquer un chiffre ou une sanction en cas de non respect de cette "volonté seigneuriale". Comme quoi on est bien loin des 1.000 euros par mois pour tous les salariés envisagés il y a peu. Bref, il nous a une nouvelle fois mis la main au panier en serrant bien fort... Comme d'habitude...

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lundi 31 janvier 2011

Révision à la baisse...

Le gouvernement va enfin adapter ses prévisions de croissance pour l'année 2012. Alors que nous voyons sur ce blog que la plupart des états européens flirtent désormais avec la récession ou y sont encore (Angleterre, Grèce, Irlande, Espagne, Portugal), notre gouvernement affichait un optimisme "démesuré" quant à notre création de richesses. Comme nous le révèle ce papier publié sur le blog Bercy hébergé par le quotidien le Monde, Christine Lagarde va être amenée début avril , à revoir à la baisse sa prévision de croissance pour 2012. Au sein du ministère de l'économie, on explique, dès à présent, que le chiffre de + 2,5% qui est actuellement affiché, est très improbable et qu'il sera difficile à justifier, compte tenu du contexte économique et de ce que devrait être la progression de l'économie cette année - le gouvernement table sur + 2%, chiffre loin d'être assuré. "Même si il n'a pas parlé stricto sensu d'une révision des perspectives de croissance, le ministre du Budget, François Baroin, l'a laissé entrevoir en indiquant qu'il faudrait plus de rigueur l'an prochain. 'Nous irons au-delà des 3 milliards de réduction des niches fiscales' en 2012 a t-il déclaré le 11 janvier". L'aveuglement idéologique nous conduit à la cécité. Derrière le libre échange "organisé" par l'OMC, les barrières de sécurité se sont effondrées laissant nos "aveugles" du gouvernement nous plonger dans le précipice. Attention à la chute...


Budget : un vote douloureux
envoyé par LCP. - L'info video en direct.
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mercredi 15 décembre 2010

Plan de rigueur...

Alors que ce mot était tabou en France il y a quelques mois, le voici utilisé de façon quasi-quotidienne par nos hommes politiques. Le dernier en date à se prononcer sur l'austérité à venir est tout simplement le ministre du Budget : François Baroin. Comme le souligne cette interview qu'il a donné au quotidien le JDD, il détaille un plan visant à réduire de manière drastique les moyens du secteur public hors universités. Comme d'habitude, ce sont les mêmes qui vont devoir faire les efforts. Tant que les ministres, députés, hauts fonctionnaires ne proposent pas de réduire leurs traitements, c'est qu'ils considèrent que la crise en est encore au stade de crisounette. Rigueur bien ordonnée commence par soi-même...


Bercy présente son plan de rigueur
envoyé par BFMTV. - L'info video en direct.
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lundi 6 décembre 2010

Dormez braves gens...

Il a l'air de plus en plus fatigué notre ministre du Budget. Il faut dire qu'il a des soucis en ce moment. Il doit non seulement rassurer les marchés financiers mais aussi continuer à abreuver le peuple de propos lénifiants afin qu'il poursuive sa "sieste". Dans cet interview donné sur l'antenne d'Europe 1, il s'est félicité du plan d'aide européen à l'Irlande et s'est voulu rassurant : "la France n'est ni menacée, ni visée". Dommage pour lui que Zerohedge pense plutôt le contraire puisque la France devrait voir sa note dégradée par les agences de notation en 2014. Naturellement il ne convaincra personne ayant un esprit averti des problèmes de notre pays. Mais les médias comme les politiques sont devenus des analgisants servant à anesthésier les douleurs. Bref, le divertissement d'un côté et la politique démagogique de l'autre sont les deux facettes d'une même entité : la machine à produire des zombies...


Baroin : "La France n'est pas menacée“
envoyé par Europe1fr. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
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mercredi 1 décembre 2010

De mieux en mieux...

Mais qu'est-ce qui lui a pris à Harry Potter ? Il est devenu fou ou c'est moi qui ne comprend plus le français ? Il parait qu'une "société transparente est une société totalitaire"... Ah bon ? Il me semblait que c'était plutôt le contraire. Ah moins que... Par qui il a été élevé notre cher ministre du Budget ? Allô papa... François Baroin, barbouze en Chiraquie, chef de cabinet d'Achille Peretti (celui qui a fait Sarkozy) et accessoirement franc-maçon notoire... Bref un CV à faire pâlir de jalousie le plus secret des Illuminatis...En résumé Monsieur Baroin, vous avez une conception pour le moins étonnante de la démocratie surtout de la part d'un membre du gouvernement...


Baroin: Socièté transparente = Socièté totalitaire
envoyé par JaneBurgermeister. - L'actualité du moment en vidéo.
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mercredi 10 novembre 2010

Perspectives alarmantes...

Aïe, aïe, aïe... La France va droit dans le mur à en croire le député socialiste Dominique Baert. "La France doit faire face au danger, guère très éloigné, d'une dette publique insoutenable". C'est la sombre prévision du député du Nord rédigée dans un rapport sur les "Engagements financiers de l'Etat" à l'occasion de l'examen du projet de budget pour 2011 comme le souligne le Monde reprenant le blog Bercy Blog. La raison d'un tel pessimisme : les prévisions irréalistes du gouvernement en matière de croissance. "Le député rappelle qu'à partir d'un ratio de 90%, la dette et sa charge ont un effet d'étouffoir et pèsent durablement sur la croissance d'un pays. Notamment parce que le poids de la charge des intérêts d'emprunt devient très lourd dans les dépenses pour l'Etat". Pourtant le ministre du Budget, François Baroin, n'en démord pas. Coupes dans les dépenses publiques et hausse des recettes, grâce à des nouveaux prélèvements et taxes et à la suppression des niches fiscales devraient permettre d'atteindre l'objectif fixé, à savoir un endettement de 85,3% du PIB en 2014 (après un pic de 87,4% en 2012). Du coup, Dominique Baert a produit deux autres hypothèses différentes de celle du gouvernement : un scénario moyen avec une croissance de 1,5% en 2011 et 2012 puis 2% en 2013 et 2014. Résultat : "la dette publique dépasse 90% en 2012 et dépasse 100% du PIB en 2014". Un scénario bas avec une croissance de 1% en 2011, 1,5% en 2012 et 2013 et 2% en 2014. Résultat : "la dette publique deviendrait rapidement insoutenable". Bref pour Monsieur Baert, la situation est alarmante. Il faut dire que la dette du pouvoir a toujours été sujet à controverse dans l'histoire. Les rois trouvaient déjà tous les prétextes pour ne pas la payer (succession, guerre,...) lorsqu'ils étaient en situation de force. Mais que cela plaise ou non, que la dette soit frauduleuse ou pas, elle existe. Elle ne nous a pas servi, elle a été au contraire l'instrument de notre asservissement. Si nous refusons la dette, nous refusons aussi le système et l'idéologie qui est derrière, à savoir le libéralisme et la mondialisation. Et dans ce cas, nous devons renverser cet ordre. Oui, la dette est contestable en tant qu'émanation d'un ordre globale misanthrope. Refuser la dette, c'est mettre les pieds sur le chemin de la révolte. Irons-nous jusqu'au bout ?


L'arnaque de la dette un citoyen sur RMC
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mardi 9 novembre 2010

En cachette...

Ils osent vraiment tout ! Pendant que vous étiez en train de fleurir la tombe de vos proches en ce week-end de la Toussaint, le gouvernement a fait publier en toute discrétion un décret (que vous trouvez ici) qui va restreindre le montant des sommes allouées en cas d'accident du travail comme nous le confirme le blog Menilmontant. Alors que votre indemnité était calculée sur une base de 360 jours par an, désormais elle le sera sur une base de 365 jours. La différence : 1,4%. Si vous gagnez 1.500 euros mensuel, vous perdez 20 euros par mois dans cette histoire. Et dire qu'en 2008, plus de neuf millions de Français se sont abstenus de soins pour des raisons économiques...


Vent de rigueur sur la sécurité sociale
envoyé par LCP-AN. - L'info internationale vidéo.
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mercredi 20 octobre 2010

On l'ignorait...

Encore une nouvelle qui est passée inaperçue par la plupart des médias. Pourtant, elle touche tout le monde. C.R.D.S. ? Cet acronyme doit certainement vous dire quelque chose puisque vous le voyez tous les mois sur votre fiche de salaire. CRDS ou Contribution au Remboursement de la Dette Sociale. Créée en 1996, cet impôt avait été prévu pour expirer en 2021 (date à laquelle on était censé avoir remboursé les dettes de la Sécurité Sociale). Comme nous le révèle cet article du site Boursorama, les députés UMP avec le soutien du gouvernement ont voté en toute discrétion pour un allongement de cette durée jusqu'en 2025. Quatre années de plus soit 48 mois à payer à 0,5% de tous nos revenus. Faites vos calculs. Il faut dire que le gouvernement souhaite "charger la barque" de 130 milliards supplémentaires de déficits. Du coup, il n'est pas du tout impossible que même une hausse de ce taux soit envisagée. Payer plus pendant plus longtemps... et dire qu'on vient nous dire que l'on n'augmente pas les impôts. N'importe quoi...


L'ump veut augmenter les impots ?
envoyé par Dailygratuit. - L'info internationale vidéo.
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