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mardi 15 novembre 2011

Au bord de la faillite...

Encore une banque prête à exploser en plein vol... Bien que Silvio Berlusconi ait été viré du pouvoir par les marchés financiers, la banque italienne Unicedit est (encore...) au bord du gouffre. Comme nous le révèle ce papier publié par les Echos, l'institution financière romaine est à la recherche de plus de 7 milliards d'euros. Du coup, elle va se "serrer la ceinture" en annonçant un plan social concernant plus de 6.000 personnes. Rendu indispensable après les pertes colossales enregistrées au troisième trimestre (plus de dix milliards d'euros...!). Autant dire que nous ne pouvons que conseiller à nos lecteurs concernés de sortir au plus vite leur épargne de cette banque. En effet, la recapitalisation risque malheureusement de ne pas être suffisante pour lui empêcher la banqueroute. D'ailleurs, le quotidien économique nous informe aussi du non paiement des dividendes pour l'année 2011, ce qui peut être considéré comme un défaut de paiement envers ses créanciers. La cotation de l'action ayant d'ailleurs été suspendue une partie de la journée afin d'éviter l'effondrement final de cette banque... Même si Papounet n'est plus là, les problèmes demeurent... et s'accentuent... Malheureusement...

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jeudi 6 octobre 2011

De 1.000 euros à rien... ou presque...

"Les promesses n'engagent que ceux qui y croient" a t-on l'habitude d'entendre. Surtout quand il s'agit de promesses politiques. Parmi les pros qui s'adonnent à ce genre d'amusement, on peut aisément placer tout en haut du classement notre "omniprésident au nez de Pinocchio". Il faut dire qu'il ne ménage pas ses efforts pour faire gober n'importe quoi aux Français. Souvenez-vous de ses propos au mois d'avril dernier. Il allait tout entreprendre pour contraindre les entreprises faisant des profits à verser aux salariés une prime exceptionnelle. Il l'avait même chiffrée à 1.000 euros par travailleur (voir par ailleurs). Six mois plus tard, tous ceux qui y ont cru ne peuvent que déchanter et se montrer dégoûtés. Comme nous le révèle cet article publié par le site France Infos, on est bien loin du compte. Les mieux lotis : les salariés du chimiste Rhodia qui vont toucher chacun 600 euros bruts. Une exception parmi toutes les multinationales du CAC 40 tel que l'a souligné le cabinet d'audit Deloitte qui a mené son enquête. "Le niveau médian se situe plutôt autour de 300 euros et dans un quart des cas, c'est même moins que 150 euros". La palme revient même au mastodonte de la sécurité Securitas qui a proposé à ses salariés la somme faramineuse de... 3,50 euros ! Debout les gueux ! Réveillez-vous et boutez hors de son trône celui qui ne cesse de nous enfumer depuis qu'il y a mis son auguste séant...

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mardi 2 août 2011

Au tour de la Barclays Bank...

C'est finie la vie de château pour 3.000 salariés de la banque britannique Barclays. On s'y attendait depuis l'annonce de ses pertes massives au premier semestre (voir par ailleurs). On vient d'en avoir la confirmation avec l'annonce de ce plan social comme le révèle cette dépêche de l'agence Reuters reprise par la Tribune. Le patron Bob Diamond (un nom prédestiné pour un Vampire...!) espère réaliser plus d'un milliard de livres sterling en économies. Pour à nouveau gâter les actionnaires...?

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vendredi 15 avril 2011

Taille wagon...

Chez Telefonica, la charrette est devenue trop petite. Vive le wagon ! Comme nous le révèle ce papier publié par le site France 2, le géant de la téléphonie espagnole a décidé de virer 6.000 personnes. Soit 20% des effectifs. "Telefonica, qui compte 269.000 salariés dans le monde, dit avoir été affecté dans ses résultats en Espagne par un 'environnement économique difficile', à cause de l'intense crise économique traversée par le pays fin 2008". Et dire que les médias ne cessent de nous parler de reprise. Mais n'ayez aucune crainte ! Ce n'est pas la galère pour tout le monde. En tout cas pas pour les actionnaires de ce "modèle social". Comme le note cet entrefilet publié au même moment dans l'Express, Telefonica confirme sa politique de dividende. "Telefonica a confirmé hier sa politique de dividende qui vise à porter son coupon à 1,75 euro à l'horizon 2012. 'Il s'agira d'une rémunération minimale' réaffirme l'opérateur de télécommunications espagnol". Malheureusement tout est dit... Les clients apprécieront...


Pub Telefonica (communiquez mieux) par Alans
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jeudi 3 février 2011

Toujours plus...

Encore une multinationale pour qui le mot emploi signifie effroi. Comme nous le révèle ce papier du quotidien suédois The Local, le géant nordique des télécommunications Telia Sonera a décidé de supprimer 800 emplois en Suède et en Finlande. Une charrette qui a le don d'outrer tous les syndicats. Il faut préciser que l'entreprise vient de publier son résultat validé à hauteur de 7,2 milliards d'euros de bénéfices. En progression par rapport à celui de 2009. Pendant ce temps, le dividende offert à l'actionnaire a augmenté de 22%. Comment on dit allô en suédois ? Halla ! A la vôtre...

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mardi 2 novembre 2010

Sauver l'action...

En voilà une qui ne connaît pas la crise ou pas encore. Il s'agit de la multinationale informatique IBM. Comme le souligne cet article publié par Bloomberg, on apprend que la société américaine va racheter pour 10 milliards de dollars de ses propres actions. C'est la deuxième fois après le rachat de 8 milliards en avril dernier. Soit ! Mais la question est pourquoi une entreprise rachète ses propres actifs ? A cette question, c'est Karl Denninger qui répond sur son site Market Ticker. Pour lui, une entreprise rachète ses actions quand le prix de celle-ci est trop bas (le fait d'acheter augmente la demande donc le prix donc la valorisation de l'entreprise) ou quand l'entreprise a tellement de cash qu'elle ne sait plus quoi en faire (racheter des entreprises concurrentes par exemple). Pour Karl Denninger, concernant IBM, la seconde raison n'est pas la bonne...

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vendredi 15 octobre 2010

Et 100 licenciements supplémentaires...

Alors que tous les médias nous annoncent la "reprise", force est de constater que c'est plutôt les plans sociaux qui reprennent. Le dernier en date, annoncé ce matin, se prépare chez Clariant et c'est un article du quotidien suisse le Matin reprenant une dépêche de l'AFP qui nous en fait part. Le géant suisse de la chimie va encore virer 100 personnes pour faire revenir ses comptes dans le vert. Au total, ce sont 1.500 salariés qui ont quitté la multinationale depuis 2009. Comme le dit son patron, "les marchés financiers, les investisseurs, la presse voient Clariant comme un éternel malade. A un moment ou à un autre, nous devons en finir". Voilà qui a le mérite d'être clair : une charrette contre des dividendes...

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lundi 6 septembre 2010

Encore un mensonge des Woerth...

Souvenons-nous du ministre du Travail jurant haut et fort au micro de BFM TV que sa femme Florence Woerth n'avait rien à voir avec l'évasion fiscale dont était soupçonnée Liliane Bettencourt. Quel culot ! Que de mensonges ! C'est la presse suisse par l'intermédiaire du site d'informations 24 Heures qui jette un nouveau pavé dans la mare. On y apprend que Florence Woerth résidait lors de ses nombreux déplacements à Genève dans le "fief de Mme Bettencourt". "Entre les bords du lac Léman et la Perle du Lac s’élèvent les résidences de Château-Banquet. Un somptueux ensemble d’immeubles cossus immergés dans la verdure, où les appartements se vendent 1,5 million de francs le 5 pièces et 3,5 millions de francs le 10 pièces. C’est là que, selon plusieurs sources concordantes, résidait l’épouse de l’actuel ministre français du Travail et ancien ministre du Budget, lorsqu’elle venait à Genève pour gérer les affaires de Liliane Bettencourt. «Florence Woerth vivait ici, à Château-Banquet, se confie un courtier en immobilier. D’ailleurs, si vous désirez un appartement, le sien est toujours vide!» Selon de nombreux témoignages, la gérante de fortune française, au service de la société financière des Bettencourt, Clymène, y est venue souvent, très souvent. Bien plus en tous les cas que ce qu’affirmait le 4 juillet dernier l’avocat de Florence Woerth, Me Antoine Beauquier, suite aux révélations de 24 Heures, affirmant qu’elle était «presque à demeure» dans la Cité de Calvin : «Mme Woerth, disait-il alors, n’a effectué au cours de ces dernières années que deux déplacements à Genève: le 11 janvier et le 29 mai 2008.» L’épouse du ministre résidait-elle directement au 10 Château-Banquet, où les Bettencourt ont acquis un splendide appartement de… dix-neuf pièces de 433m2, au huitième étage ? Cet appartement était inscrit sous la propriété de la société immobilière En Bergères Vevey SA, domiciliée au 55, rue Nestlé à Vevey. Soit au coeur même de la multinationale vaudoise, actionnaire à hauteur de 29,1% de L’Oréal !". Voilà qui s'ajoute à la longue liste des mensonges des Woerth. Mais 24 Heures nous apprend encore bien plus : "la visite estivale des émissaires de de Maistre dans les salons de la banque privée genevoise prouve l’urgence qu’il y a pour l’entourage de l’héritière à nettoyer toutes traces d’évasion fiscale en Suisse, considérée en France comme une fraude grave. Délit qu’Eric Woerth, lorsqu’il était au Budget, avait explicitement désigné comme sa principale croisade. Aujourd’hui, c’est lui qui se retrouve au coeur d’une tempête qui pourrait bien lui coûter sa tête". Incroyable démocratie où le mensonge est omniprésent, où la corruption est monnaie courante, où l'argent a été élevé comme le seul marqueur sociétal... Je n'ai qu'un mot à dire : répugnant !


Affaire Bettenncourt : Eric Woerth s’explique
envoyé par bergheim. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
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jeudi 27 août 2009

Rasage garanti...

"Je veux être le Président du pouvoir d'achat" disait Sarkozy pendant la campagne électorale. Vaste promesse devenue illusoire avec la tempête financière débutée en 2008. Cependant, notre "Astérix" national a demandé un rapport à Jean-Philippe Cotis, directeur de l'INSEE sur les inégalités. Bizarrement, les médias n'en ont guère parlé. Heureusement que le site Slate.fr sous la plume de Jacques Attali nous en dévoile ses principales conclusions. Elles sont accablantes. Voici ce que dit en substance le rapport, cité par Attali : "Enfin, le salaire du salarié médian, c'est-à-dire celui de la classe moyenne, a stagné, écrasé par les charges. Et c'est en réalité plus grave encore car les hausses des cotisations sociales et patronales sont incluses dans le décompte des hausses de la masse salariale, alors que l'augmentation du nombre de salariés dans les entreprises entraine en réalité une diminution du revenu par tête". Voilà une phrase qui dit tout ou presque, complétée par celles-ci : "D'une part, les revenus distribués du capital ont augmenté massivement : la part versée des dividendes aux détenteurs du capital a plus que doublé depuis une quinzaine d'années. De 7% en 1993, elle est passée à 16% de l'excédent brut d'exploitation en 2007. En moyenne, 57% des bénéfices des 41% d'entreprises qui versent des dividendes reviennent à l'investissement, 36% sont reversés aux actionnaires et seulement 7% reviennent aux salariés par le truchement d'intéressement, de participation ou d'abondement". D'autre part, les inégalités entre les salariés se sont aggravées : si depuis vingt ans la part des rémunérations salariales dans la valeur ajoutée est restée stable, (autour de deux tiers), l'inégalité entre les salariés s'est fortement accrue. Le salaire brut des 130.000 personnes les mieux payés, soit 1% des salariés, est passé en dix ans de 5,5% à 6,5% de la masse salariale dépassant 120.000€, Les 0,1% de salariés les mieux rémunérés, soit 13.000 personnes, atteignent 297.000€ par an". Comme quoi, ce sont les classes moyennes qui ont été rasées par tous les gouvernements qu'ils soient de gauche ou de droite. A partir des années 1990, il a y eu, comme on dit, un changement global au seul profit du capital. Conclusion non dite : la crise de Wall Street a montré l'échec du système démocratique non régulé. Ce qui est clair, c'est que maintenant "tout est possible", y compris des révolutions dans les pays les plus durement touchés...



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