Affichage des articles dont le libellé est barclays bank. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est barclays bank. Afficher tous les articles

dimanche 5 février 2012

Ne le répétez pas trop fort...

Chut ! Un peu de discrétion voyons ! Certes je suis en train de vous la (re)m... bien profond mais ce n'est pas la peine d'en faire toute une histoire. Il faut bien que je vive... Voilà ce que semble nous dire l'un de nos Vampires préférés : le patron de la Barclay's Bank, le bien nommé Bob Diamond (cela ne s'invente pas...!). Comme nous l'apprend cet article publié par le Parisien reprenant la presse britannique de ce dimanche, ce dernier va toucher une somme comprise entre 2,4 et 3,6 millions d'euros à titre... de bonus pour l'année 2011. Après avoir déjà touché le jackpot l'année dernière (voir par ailleurs). Heureusement quelque chose nous dit que les Britanniques risquent fort de ne pas apprécier. N'ont-ils pas fait annuler la semaine dernière le paiement d'un bonus au profit du directeur général de la Royal Bank of Scotland ? Une chose est cependant certaine : le fameux G20 qui nous avait soi-disant moralisé le capitalisme ne sert strictement à rien... Il est plus que temps que la société civile s'engage enfin dans le débat pour sortir ces "bons à rien qui se font dessus" devant cette oligarchie financiaro-mondialiste lui permettant ainsi de nous faire ouvertement les poches... ou de nous fourrer jusqu'à l'os...  

Lire La Suite... RésuméBlogger

mercredi 9 novembre 2011

Il fallimento dell'Italia...

Cette fois c'est quasiment officiel ! L'Italie tout comme la Grèce va faire défaut sur le remboursement de ses dettes souveraines. Alors que les marchés attendent fébrilement la démission de Papounet, le taux des emprunts à 10 ans de la "botte" s'est envolé aujourd'hui pour atteindre 7,76% comme nous le montre le site Bloomberg. La conséquence de cette bien mauvaise nouvelle est que dorénavant nos amis transalpins ne pourront plus rembourser. D'ailleurs les banques commencent à échafauder des plans pour survivre à ce qui s'annonce comme un véritable chaos. Ainsi, la banque britannique Barclays vient de sortir une note de conjoncture à destination de ses clients qui les met ouvertement en garde contre la prochaine faillite du pays comme on peut le voir ici. D'après ce rapport, l'Italie est désormais mathématiquement au delà du point de non retour. De plus, même si les réformes restent nécessaires, elles ne permettront pas de rétablir la situation. En effet, la faible croissance ajoutée aux plans d'austérité ne suffira pas à compenser le coût de la dette. Du coup, pour prévenir tout risque systémique (l'effondrement immédiat de tout le système), la BCE n'en finit plus de racheter de la dette italienne afin de soutenir les cours comme le reconnaît cette dépêche Reuters reprise par le Figaro. Même les emprunts à deux ans font l'objet de rachat (ce qui est d'ailleurs totalement contraire aux traités européens...!). Heureusement que l'italien Draghi a remplacé le français Trichet à la tête de l'institution financière. Bref, vous l'avez compris ! Le glas va bientôt sonner. Pour ceux qui le peuvent encore, il est toujours temps d'acheter de l'or avant l'explosion de son cours (qui l'amènera sur la planète Mars...!). En d'autres termes, Barclays vient de signifier à tous les traders du monde la mise à mort de l'Italie sur l'autel de la dette. Autant dire que les banques italiennes vont connaitre dans les prochains jours un assèchement violent du crédit pour leurs clients ce qui entraînera de multiples faillites d'entreprises. Sans parler du bankrun qui s'ensuivra. Tout comme les Grecs, les Italiens se rueront dans leurs agences pour retirer leur argent. Mais le plus préoccupant est le fait que la France est la prochaine sur la liste. La corde est sur le point de se rompre. Plus que jamais, nous vous conseillons de prendre vos dispositions et de laisser le strict minimum sur vos comptes...

Lire La Suite... RésuméBlogger

vendredi 21 octobre 2011

Les couillons levez-vous...

Pendant combien de temps encore vont-ils nous prendre pour des truffes ? Pendant combien de temps encore nos politiciens vont-ils accepter de signer des chèques en blanc en notre nom pour le compte de ces "pourris" ? Car il s'agit bien du terme adéquat pour qualifier tous ces parasites qui traînent à la tête des banques européennes. Souvenez-vous : en 2009, notre "omniprésident qui promet plus qu'il n'agit" nous avait pourtant gratifié d'un "maintenant les bonus c'est fini !". C'était si beau qu'on en aurait versé une larme... Sauf que deux ans plus tard, on apprend dans ce papier publié par le site de la Tribune que la rémunération des banquiers européens a encore augmenté entre les années 2009 et 2010. "La rémunération totale des dirigeants des grandes banques a progressé de 12,5% en 2010, selon AlphaValue, alors que le secteur bancaire a perdu 11,5% de sa valeur en bourse". Voilà de quoi nous indigner collectivement contre ces Vampires qui nous sucent jusqu'à plus soif. Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont le culot de revenir aujourd'hui pour nous demander de venir remettre la main au pot pour éviter que leur m... se casse la g... ! N'est-ce pas le sinistre Fillon qui déclare dans ce papier publié par l'Express, "avec le président de la République, nous sommes totalement déterminés à trouver une solution au problème grec et à assurer la stabilité de l'euro"... En d'autres termes, on fera tout pour sauver nos banques qui ont prêté de l'argent à la Grèce et on leur réinjectera même des moyens supplémentaires pour éviter d'autres surprises venant du Portugal, de l'Espagne ou de l'Italie. Quitte à nous faire les poches une fois encore... Et dire que ces "salopards" se préparent déjà à se faire réélire par ceux là même qui vont sombrer corps et biens dans leur douce folie... On croit rêver...



Salaires des Banquiers Francais en hausse de 44... par SCHOUM1
Lire La Suite... RésuméBlogger

samedi 17 septembre 2011

Faisons le bilan...

Tout vient à point à qui sait attendre... François Asselineau a su patienter, il en est récompensé ! Pour la première fois depuis 2007, date de création de son parti, le fondateur de l'UPR a eu le droit à une tribune dans l'un de nos médias mainstream. Le "courageux" journaliste qui a eu la riche idée de l'inviter n'est autre que Nicolas Doze, le "sympathique" chroniqueur de BFM dans le cadre de son émission "Les Experts de l'économie" diffusée sur BFM Business. Un vrai moment de bonheur pour ceux qui veulent comprendre dans quelle mesure les évènements économiques survenant actuellement ont été, sont et seront notre tombeau si les gens continuent de se fermer les yeux. Autour de la table, deux invités en dehors de François Asselineau et du journaliste. Le premier est Philippe Lentschener, fondateur de l'agence Valido (agence de publicité créée par un habitué des multinationales du secteur comme Young et Rubicam, Saatchi et Saatchi ou encore Publicis ainsi que le montre sa biographie). Quand au second intervenant, il s'agit de Jean-Jacques de Balasy, un Vampire bon teint comme on les adore sur ce blog. Ancien de la banque Lazard, il a fait sa carrière chez Lehman Brothers, Morgan Stanley et maintenant il siège à la banque britannique Barclays. Bref, deux contradicteurs à fond dans la mondialisation, pour un rapprochement transatlantique et pour des Etats-Unis d'Europe. Attention, chaud devant ! On assista à cinquante minutes intenses dans lequel le quidam moyen put se rendre compte du bien fondé de l'argumentation de l'UPR que l'on vous laisse découvrir sur le site du mouvement. Un exemple : selon la mondialisation bienheureuse chère à Alain Minc, la dérèglementation des marchés allait aboutir à une "fiesta mondiale" avec plus de croissance, plus d'emplois, plus de richesses et plus de bonheur pour tout le monde. Force est de constater que trente ans plus tard c'est faux ! Autre argument généralement employé par nos détracteurs : la France est trop petite pour faire le poids dans la mondialisation. Sous-entendu la France doit rester dans l'Europe pour se battre à armes égales avec les autres pays. Ben voyons... Pourquoi dans ces conditions Renault a t-il racheté le japonais Nissan si ce n'est pour concurrencer Mercedes qui s'était emparé de Chrysler ? Tout cela n'est que de la honteuse propagande... "Ce qui est absurde dans la construction européenne, c'est le postulat de dire que parce que nous sommes contigus géographiquement, nous avons les mêmes intérêts que les autres pays de l'Union. C'est faux !". En effet, rien n'empêche la France de se rassembler avec d'autres pays au regard de ses intérêts et des circonstances... "La France aurait certainement plus de poids si elle rassemblait derrière elle des pays qui pensent comme elle". Houlala Messieurs les mondialistes, prenez ce premier direct en pleine face... Et ce n'est pas fini ! Sur le sujet d'actualité du jour développé dans ce papier publié par 'Expansion, à savoir la mise en place de la planche à billets de façon concertée par les banques centrales mondiales pour apporter des dollars aux banques qui en manquent, l'UPR donne une nouvelle leçon à ses contradicteurs. "Les marchés ont la maladie d'Alzheimer. Cette solution a déjà été testée en 2008 et 2009 et cela n'a servi à rien. On ne redonne pas vie à un cadavre". Les banques européennes ne souffrent pas essentiellement d'une crise de liquidités mais surtout de solvabilité. Suite à ce geste, elles auront les deux... Bienvenue dans la République de Weimar... Mais ce que nous avons préféré c'est cette fin de débat homérique où les deux contradicteurs mondialistes se disputent chacun leur pré carré, le financier ne voulant surtout pas du plus de réglementation demandée par le fédéraliste. Tous les deux remarquablement remis à leur place avec l'assénation finale : la main mise des Etats-Unis sur l'ensemble de l'Union Européenne et par conséquent de la France... Fermez le ban...


François ASSELINEAU sur BFM par DJAMELITO-UPR
Lire La Suite... RésuméBlogger

mardi 2 août 2011

Au tour de la Barclays Bank...

C'est finie la vie de château pour 3.000 salariés de la banque britannique Barclays. On s'y attendait depuis l'annonce de ses pertes massives au premier semestre (voir par ailleurs). On vient d'en avoir la confirmation avec l'annonce de ce plan social comme le révèle cette dépêche de l'agence Reuters reprise par la Tribune. Le patron Bob Diamond (un nom prédestiné pour un Vampire...!) espère réaliser plus d'un milliard de livres sterling en économies. Pour à nouveau gâter les actionnaires...?

Lire La Suite... RésuméBlogger

lundi 9 mai 2011

Pertes records...

Pendant que nos hommes politiques tentent de nous rassurer sur la survie de ce monde en pleine déconfiture, les banques anglaises n'en finissent plus de provisionner des sommes pour couvrir leurs pertes liées entre autres à la situation irlandaise. La première a avoir annoncé les "mauvaises nouvelles" est la Lloyds qui affiche une perte abyssale comme le révèle cette dépêche Reuters reprise par le Nouvel Obs. "Les comptes du premier trimestre de la banque, détenue à 41% par l'état britannique depuis la crise financière, ont de ce fait plongé dans le rouge avec une perte de 3,5 milliards de livres sur les trois premiers mois de l'année contre un bénéfice de 721 millions il y a un an". Vous avez dit reprise ? Mais les concurrents de la Lloyds ne sont pas mieux lotis. Ainsi, on apprend que pour la Royal Bank of Scotland, les pertes se chiffrent à 528 millions de livres comme le révèle cet article publié sur le site de la BBC. Tandis que la Barclay's a provisionné plus d'un milliard de livres pour compenser les pertes liées aux ventes forcées d'assurances comme le note cette dépêche de l'AFP. En effet, les banques anglaises ont imposé pendant des années aux emprunteurs anglais leurs propres assurances-crédit (dites PPI pour Product Payment Insurance, l'équivalent de nos assurances Décès Invalidité et Incapacité de travail) sans leur laisser le choix. La justice anglaise vient donc de casser ce monopole qui permettaient aux banques anglaises de recevoir de juteuses commissions. Décidément chez les Vampires tout est bon pour vous sucer toujours plus. Mais heureusement parfois le vent peut aussi souffler en sens contraire. Il n'empêche que les pertes liées à cette décision de justice pourraient atteindre les neuf milliards de livres. Bref, il existe en ce moment comme un parfum de subprimes...

Lire La Suite... RésuméBlogger

mercredi 30 mars 2011

Les pauvres coûtent trop chers...

En voilà un qui a perdu une occasion de se taire. Son nom : Hans-Jörg Rudloff. Son job : patron de Barclay's Capital. Bref, un Vampire supplémentaire qui s'est quand même versé près de 600.000 livres sterling de bonus au titre des résultats de 2010. Pourquoi parlons-nous d'un tel bankster ? Car il pourrait faire ami ami avec le sénateur Dassault tant ils ont les mêmes "idées" pour relancer l'économie. Quand ce dernier dénonce les 35 heures (voir par ailleurs), Rudloff montre du doigt les bénéficiaires des minimas sociaux. Comme le relate ce papier publié par le site Business Insider, il expose ses idées pour faire redémarrer la machine. D'après lui il suffit de réduire de 50% toutes les prestations sociales et mettre tout le monde au travail. "People have to work more, longer hours, longer years" ou faire travailler les gens plus longtemps par jour et plus longtemps par an. Tout en assurant la promotion de l'immigration afin de rendre l'Europe plus forte... Monsieur Rudloff serait bien inspiré de nous rappeler combien sa banque a touché de milliards des contribuables pour s'autoriser à sortir de telles âneries. Si aujourd'hui les déficits sont ce qu'ils sont, c'est bien parce que les banques ont été sauvées par les états, la Barclay's Bank comme les autres. Tout cela nous montre une fois de plus que la véritable bataille qui s'engagera sera celle qui verra s'affronter les mondialistes apatrides et privilégiés contre les peuples aux racines bien ancrées et non fortunés...

Lire La Suite... RésuméBlogger

mardi 8 mars 2011

Le temps des excuses est révolu...

"Le temps des excuses pour les banques est révolu"... C'est avec cette phrase pleine de cynisme que le patron de la Barclay's Bank, le bien nommé Bob Diamond, a remercié tous les contribuables britanniques qui sont venus au secours de son établissement financier pendant la tourmente de 2008. Evidemment, cet espèce de Vampire a joint le geste à la parole en s'octroyant un bonus démentiel de 6,5 millions de livres comme nous le révèle cet article publié par le site 20 Minutes. Et les Anglais peuvent s'estimer heureux car il a fait un effort, "conscient de la colère de l'opinion publique sur les rémunérations des banquiers en pleine période d'austérité". Pendant ce temps, la banque qu'il préside a décidé de restructurer sa filiale espagnole en fermant plus de 100 agences et en licenciant près de 700 personnes comme nous l'enseigne cette dépêche AFP reprise par le Figaro. Finalement la Barclay's résumé à elle seule ce dicton transformé : le bonheur de l'un entraîne le malheur de 700 autres...

Lire La Suite... RésuméBlogger

mercredi 26 janvier 2011

C'est bien fait pour vous...

Bravo aux gens du marketing de la banque Barclays. Le slogan publicitaire choisi correspond tout à fait à l'actualité du moment. Comme nous le révèle cette dépêche de l'agence de presse Reuters reprise par le Nouvel Obs, la banque anglaise a décidé de suspendre le rôle de conseiller financier au sein des ses agences bancaires. Du coup, elle va licencier 1.000 de ses conseillers au Royaume Uni. Cela doit certainement être bien fait pour eux. Et dire que le premier Ministre David Cameron espérait que le privé puisse embaucher les fonctionnaires touchés par les suppressions d'emplois dans les services publics. En un mot : raté...!

Lire La Suite... RésuméBlogger

mardi 18 janvier 2011

Stop and go...

La "météo" de la reprise est décidément bien changeante en ce moment. Pour avoir une bonne idée de ce qui se passe réellement et de ce qui va se passer dans les mois qui viennent, rien ne vaut l'observation des effectifs bancaires. Il faut dire que les Vampires sont quand même en première ligne pour apprécier le climat des affaires. Comme nous en fait part cet article publié par la Wall Street Journal traduit par le site eFinancialCareers, la filiale affaire de la banque Barclays a décidé de supprimer 600 emplois dans le monde. Une vraie politique de "Stop and go" après les 2.000 embauches de l'été dernier. Quant aux prévisions, elles sont plutôt alarmantes puisque selon une étude du cabinet d'audit PricewaterhouseCoopers, c'est 15.000 emplois qui seraient supprimés à la City d'ici le mois de mars prochain. Pendant ce temps, le nouveau patron de la Barclays Bank, le bien nommé Bob Diamond, va toucher un bonus de 8 millions de livres sterling cette année tout en faisant un bras d'honneur aux contribuables anglais qui ont renfloué la banque. Bref, chez les Vampires comme partout dans les multinationales, moins il y a de business, plus il y a de charrettes et autant il y a de salaires...


Barclays boss: Banks should not apologise
Uploaded by itnnews. - Watch the latest news videos.
Lire La Suite... RésuméBlogger

mercredi 8 décembre 2010

La Fed comme banque du monde...

La Fed apparaît de plus en plus comme la banque centrale la plus influente du monde. Au point d'avoir fait profiter plus largement les banques européennes qu'américaines du plan de soutien initié en 2008 par Henry Paulson et poursuivi par Tim Geithner. Comme le soutient ce papier publié par le Journal des Finances, UBS, Barclays ou encore BNP Paribas ont eu recours au vaste plan de 3.300 milliards de dollars de prêts débloqués par la Réserve Fédérale américaine au plus fort de la crise. Rendez-vous compte : 3.300 milliards... tous ces chiffres finissent par étourdir. Il n'y a plus aucune limite ni règle à ce grand bordel. Il suffit d'attendre l'explosion finale. Inéluctable...

Lire La Suite... RésuméBlogger

mardi 26 octobre 2010

Ces étranges fournisseurs de gaz...

Il nous avait déjà fait le coup en début d'année et il vient de recommencer. Ce "il", c'est parait-il "le futur premier ministre", c'est Jean-Louis Borloo. Après avoir autorisé par arrêté les banques Goldman Sachs et JP Morgan à devenir fournisseurs de gaz pour la France en janvier dernier (voir par ailleurs), il vient d'accéder à la même demande pour la Deutsche Bank, la Barclays Bank et la Société Générale. Sous la baguette magique de Borloo, toutes ces banques sont devenues "opérateurs de service public" auxquels ils incombent, selon les textes en vigueur, de s'assurer entre autres, de la "sécurité d'approvisionnement", sans oublier "la qualité et le prix des services fournis". On entend déjà les éclats de rire des traders dans les salles de marchés... Surtout avec les médias et journalistes que l'on a...


Goldman Sachs et le marché du gaz en France
envoyé par zonemixte. - L'actualité du moment en vidéo.
Lire La Suite... RésuméBlogger

lundi 4 octobre 2010

Touristes esseulés...

Il ne fait pas bon être touriste par les temps qui courent. On avait déjà vu sur ce blog des faillites de voyagistes, des avions cloués au sol, des compagnies aériennes mises en liquidation, des hôtels fermés, des casinos ruinés... mais là, c'est une première. Comme nous l'indique ce papier publié par le Telegraph de Londres, le plus important changeur anglais de monnaies est en passe de déposer son bilan. Ainsi, la société Crown Currency Exchange vient d'être lâchée par sa banque, la Barclays Bank. Evidemment cela ne fait pas les affaires de centaines de voyageurs qui avaient changé des devises par leur site internet et qui sont désormais sans un sou. Il faut dire que l'année dernière, la société accusait déjà une perte d'exploitation de près de 300.000 livres sterling. D'après le journaliste, c'est un contrat non renouvelé par le club de football de Manchester United (qui se servait de cette société lors du déplacement des supporters en Champion's League pour le change) qui a précipité la société dans le mur. Aujourd'hui, il n'y a plus personne au numéro demandé...

Lire La Suite... RésuméBlogger

mercredi 29 septembre 2010

Another brick in the wall...

Tout le monde se souvient de ce tube des Pink Floyd dans les années 80. "Une autre brique dans le mur", c'est ce que s'est dit cet entrepreneur anglais fou furieux de voir sa banque lui refuser un prêt pour son entreprise. Comme nous le révèle cet article du Daily Mail, il s'en est pris à la Barclays Bank en murant tout simplement son entrée. Cette action originale fut à ce point populaire que les autres patrons de PME du quartier sont venus lui donner un coup de mains. "Mr Hope, of Bournemouth, said : we blocked the doorway as a way of saying that he banks are open but the safe is shut". Tout est dit, la banque est ouverte mais le coffre est fermé. A part ça, les banques continuent de faire leur métier et de prêter...Juré, craché !

Lire La Suite... RésuméBlogger

mercredi 1 septembre 2010

Les banquiers bien plus forts que les politiques...

Les politiques devraient prendre la leçon auprès de leurs "amis" banquiers. Tout le monde se souvient de l'affaire Christine Boutin. L'ancienne ministre du logement avait été mandatée par Sarkozy pour rédiger un rapport sur la mondialisation. Coût de ce "ménage" : 9.500 euros par mois. Le seul problème, c'est que la bigote touchait aussi près de 5.000 euros par mois de son mandat de députée et 2.500 euros par mois pour son poste au Conseil régional des Yvelines comme nous le rappelle le quotidien Le Post. Devant le tollé provoqué par cette triple rémunération, elle avait du renoncer à son indemnité "présidentielle" comme le montre la vidéo ci-dessous. Sachez chère Madame Boutin que vous êtes battu à plate couture ! Le nom de ce super prédateur : Michael Klein. L'ancien banquier de Citigroup a été payé près de dix millions de dollars pour "conseiller" la Barclays Bank sur l'opportunité d'un rachat d'une des filiales de feu Lehman Brothers comme nous en informe cet article du Telegraph de Londres. Dix millions de dollars pour quelques réunions, à prélever sur le compte de la Lehman Brothers bien sûr... Au pays des escrocs, les banksters sont rois mais le juge qui examine la clôture des comptes de la Lehman Brothers trouve lui aussi l'addition un peu trop royale...

Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo
Lire La Suite... RésuméBlogger

lundi 9 novembre 2009

Il n'y en a pas pour tout le monde...

Connaissez vous l'ETF (Exchange Traded Fund) Street Tracks GLD ? Il s'agit en fait de hedge fund basé sur une matière première en l'occurrence l'or. Ils sont négociés dans les principales bourses du monde et reposent sur des stocks d'or physique. Malheureusement, ces stocks ne reflètent en rien la réalité et vont provoquer un krach massif. Comme nous l'annonce Jim Willie, l'éditeur du fameux Golden Jackass, dans un papier publié sur son site et dans un papier publié sur son site et traduit par 24hGold, il va y avoir un massacre. Attention aux yeux ! Il n'y va pas de main morte : "Ces derniers mois, il y a eu beaucoup de publicité (à l'exception des médias de masse) sur la manière dont le COMEX peut utiliser légalement des parts de Street Tracks GLD des fonds ETF ... Ces dernières semaines, les officiels du London CME ont eu beaucoup de mal à éviter le défaut de livraison. Certains gros joueurs veulent l'or émanant de leurs contrats de futures, en lingots d'or pour une livraison physique. (...) L'histoire empire, et implique le fonds Street Tracks GLD. Il est probable que des escroqueries comptables accompagnent d'autres efforts pour confisquer les couvertures de leurs dépôts GLD détenus en or ... Toute intégrité est en passe d'être perdue. Des irrégularités simultanées ont eu lieu pendant les "incidents de livraison" du LBMA et les listes officielles des lingots d'or tenus par l'ETF Street Tracks GLD ... Vendez les fonds GLD ET SLV ... A un certain moment, ma prévision est que le GLD fonds se vendra avec un rabais de 25% sur le cours de l'or en raison de la suspicion d'escroquerie dans le management de ses dépôts d'or. Plus tard, mes prévisions vont vers une vente avec un discount de 50% quand les investisseurs intenteront des procès en masse et que les défis de forme seront placés. L'arme pour ouvrir les coffres sera la découverte et des audits indépendants mordants seront ordonnés. Le chapitre final de GLD, en ce qui me concerne, sera sa liquidation avec des escomptes extrêmes payés aux investisseurs en colère. Leur paresse et leur stupidité sera digne d'une note de bas de page dans l'histoire. Les managers du fonds GLD et du fonds SLV sur l'argent sont tous deux des membres importants du Cartel de l'or, JP Morgan est le gardien du fonds GLD et Barclays manage le fonds SLV".
Lire La Suite... RésuméBlogger

jeudi 29 octobre 2009

Madoff teuton...

La mer se retire et les cadavres apparaissent. Le dernier en date : le groupe d'investissement allemand K1 comme nous l'annonce ce papier publié par Bloomberg. Fondé par Helmut Kiener, un diplômé en psychologie et vendeur de publicité pour l'équivalent des Pages Jaunes, le hedge-fund fait l'objet d'une enquête criminelle pour avoir "perdu" 400 millions de dollars. Ses clients : la Barclays Bank, la JP Morgan, la BNP et la Société Générale. Les Vampires attirés par des profits maximum (Kiener annonçait 825% de gains depuis 1996) en ont oublié de regarder le CV de ce "Madoff" germanique... Si on vous a refusé un prêt à la BNP ou à la Société Générale, vous savez désormais pourquoi...


WarrantMarrant - German psycho
envoyé par WarrantMarrant. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
Lire La Suite... RésuméBlogger

dimanche 25 octobre 2009

Le Qatar lâche la Barclays Bank...

Est-ce que les rats commencent à quitter le navire ? On pourrait le croire à la lecture de cet article publié dans le Wall Street Journal. On y apprend que le Qatar a vendu pour deux milliards de dollars d'actions de la Barclays Bank. Il les avait acheté au plus bas, mais il les vend maintenant sans doute parce qu'après c'est trop risqué... Aussitôt, l'action a plongé...
Lire La Suite... RésuméBlogger

jeudi 15 octobre 2009

Pratique normale...

C'est officiel : les banques trichent et elles le reconnaissent. En effet, toutes les banques ont un "compliance officer" : une personne garantissant la légalité des opérations bancaires effectuées par son employeur. Comme le reconnait cet article publié par Compliance Week, les banquiers trichent puis affirment que c'est une "pratique normale de marché" et ne sont jamais condamnés. En résumé : "UK Bankers Cheat Clients, Claim "Normal Market Practice"" : les banques anglaises volent les clients, disant que ce sont des pratiques normales du marché". Le meilleur exemple : celui de deux cadres de la Dresdner Kleinwort, déclarés coupables par le gendarme bancaire, le Financial Services Authority (FSA) pour avoir vendu à leurs clients pour 65 millions de dollars d'actions de la Barclays dont ils savaient qu'elles étaient pourries... Et ils n'ont été condamnés à rien du tout... Tout va bien pour les banquiers.

Lire La Suite... RésuméBlogger

dimanche 23 août 2009

Les fonds de retraite ont fondu...

Comme la neige fond au soleil, l'argent fond sous la crise notamment le cash des fonds de pension. Ainsi, la presse américaine note que les fonds de pension ont récupéré moins de la moitié des 54 milliards de dollars qu'ils avaient investis dans les fonds d'investissements privés depuis 2000 comme le souligne effrayé cet article de Bloomberg. "All told, they haven't seen a paper profit in 7 years. That means less money for the plans' retirees", soit autant d'argent en moins pour les retraités. Guère encourageant. Quant aux Anglais, le Times rapporte dans un article du même acabit que : "un million de gens seront privés de leurs avantages retraite au cours des 3 prochaines années", c'est-à-dire que les patrons ne cotiseront plus la retraite complémentaire... Le quotidien britannique relate que même IBM et la Barclays Bank vont passer à des cotisations moins chères.
Lire La Suite... RésuméBlogger