dimanche 5 juin 2011

J - 4...

Dans quatre jours, ils se réuniront tous pour leur grand raout annuel (voir par ailleurs). Le groupe Bilderberg prendra ses quartiers dans la très sélecte station suisse de Saint-Moritz. Comme tous les ans, il y aura vraisemblablement un no man's land à proximité du grand hôtel Kempiski, une chaîne de palace dans laquelle nos "amis" seront aux petits soins pour refaire le monde et avancer dans leur idée folle de mettre en place un gouvernement mondial. Parions que comme chaque année, nos médias qui nous disent encore informer les gens, n'écriront pas une ligne sur ce week end tout en secret. Au niveau des présences, les supputations vont déjà bon train. Bref, tout le monde se prépare y compris les Suisses qui ne voient pas tous d'un oeil bienveillant ce "séminaire". A l'image du conseiller national du Jura, Dominique Baettig qui vient d'interpeller les autorités fédérales afin qu'elles procèdent à l'arrestation de ces comploteurs comme nous le montre les copies de ses lettres. Outre des politiciens, il y a aussi (et c'est plus surprenant...) des banquiers qui redoutent ce meeting. Parmi eux, un initié. Comme il le révèle dans cette interview publiée sur le site russe Noviden.info, les Bilderbergers peuvent intervenir dans tous les domaines (l'argent faisant le reste...) pour éliminer ceux qui ne sont pas en accord avec eux. C'est ce qui s'est passé dans les années 80 au sujet d'un président de la République d'un pays du tiers monde. Il va même plus loin en affirmant que si ils font cette réunion en Suisse, c'est pour s'en prendre à la neutralité, à la démocratie directe et aux valeurs de la Confédération Helvétique. Il rappelle que les deux dernières réunions eurent lieu simultanément en Grèce et en Espagne et que cela n'a pas porté bonheur aux populations de ces pays. Quant à lui, il ne se reconnait évidemment aucune responsabilité dans la crise financière malgré les dérivés de crédit et autres instrumentations financières que des gens comme lui ont inventés. Il faudra bien attendre qu'un jour l'un de ces sous-fifres soient à bout pour apporter des preuves, faute de quoi "si nous ne les arrêtons pas, nous finirons par devenir leurs esclaves". En attendant ce n'est pas la peine de compter sur notre oligarchie à la française pour dénoncer ces pratiques. Jamais vu, jamais entendu, jamais souvenu,... Tenons nous le pour dit...


We Are Change Paris face à la Synarchie par wearechangeparisBlogger

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