Cette femme s'appelle Marie-José Légeret. Elle a une double particularité : elle est riche (elle a hérité d'une fortune estimée à 40 millions de francs suisses) et elle a son argent à la banque suisse UBS. Deux éléments a priori tout à fait compatibles mais bien plus compliqué qu'il n'y parait. Comme nous l'annonce cet article publié sur le site d'informations 24 Heures, Marie-José a été tuée par son frère (comme le reconnait la justice). Mais pour la banque, elle est toujours vivante (ou du moins absente). En gros, elle a été ressuscitée pour de sombres histoires de saisies immobilières et de vente forcée. "Introuvable parce qu’assassinée par son frère, selon le jugement du Tribunal criminel de Lausanne de mars dernier. Toujours vivante pour UBS et les autorités civiles. A la différence de sa mère octogénaire et d’une amie de celle-ci, découvertes mortes dans la villa familiale de Vevey, Marie-José Légeret a disparu sans laisser de trace le 24 décembre 2005. Ce n’est pas la moindre des zones d’ombre de cette affaire, qui vaut à F. L., 45 ans, la prison à vie pour un triple homicide qu’il nie avec véhémence. Le verdict n’est par ailleurs pas définitif, la Cour de cassation cantonale devant trancher un recours le 4 octobre prochain en audience publique. A supposer qu’elle soit toujours en vie ... Marie-José Légeret a une bonne raison de sortir du bois si elle tient un tant soit peu à la sauvegarde du patrimoine familial. UBS lui annonce la vente prochaine d’une dizaine d’immeubles ... La banque veut en tirer plus de 20 millions de francs". Ben voyons ! Ou comment faire croire à la vie après la mort...
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