Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes au bord de l'Acropole. Comme le note cet article du Telegraph de Londres, cela coûte plus cher d'assurer un prêt à la Grèce aujourd'hui qu'avant le plan de sauvetage de la BCE... "Spreads on Greek bonds rose 40 basis points to 927, higher than before the EU’s 110bn rescue". Finalement, les Slovaques ont eu le nez fin en refusant d'octroyer ce prêt...
mercredi 1 septembre 2010
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