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lundi 12 décembre 2011

A pleins gaz...

Pendant combien de temps encore vont-ils se foutre ouvertement de notre g...? Comme le souligne cet article publié par la Tribune, le prix du gaz va encore augmenter de plus de 4%. Une bien mauvaise nouvelle pour tous ceux comme nous qui devons faire attention au moment d'allumer notre chauffage. Pourtant, les "marionnettes aux ordres de la finance" nous avaient promis de faire le nécessaire pour éviter ce genre de déconvenues (voir par ailleurs). Mais nous savons bien que tous ces politiciens ont plus d'intérêt à défendre les multinationales (au premier rang desquelles GDF-Suez...!) qui les financent que les citoyens qui les élisent. C'est tellement vrai que le Canard Enchaîné vient de publier dans sa dernière édition un papier relatif à la fixation du prix du gaz dans notre pays. En résumé : le calcul est baisé et le prix public est surévalué... Pas possible ? On ne s'en serait pas douté... Pire, les fameux tarifs dits réglementés sensés protéger nos compatriotes des excès de ces Vampires ne sont qu'un vulgaire écran de fumée. "Le prix du gaz français est parmi les plus élevés de l'Union Européenne. En clair, 21 pays proposent leur gaz à un prix inférieur au tarif réglementé français"... Bref, ils veulent donc nous faire payer plus cher un produit qui est déjà trop cher tout en nous faisant croire qu'il est bon marché. Le tout dans une Europe où chacun fait ce qui lui plaît. De quoi nous éloigner de ces méprisables... à pleins gaz...

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vendredi 10 juin 2011

Et de trois...

Et de trois... Encore une journaliste qui fait honneur à sa profession par sa déontologie exacerbée. Après avoir dénoncé Chloé Leprince et l'ignoble "Marie-Anne Boutoleau" (voir par ailleurs), nous nous sommes intéressés à Sophie Roquelle. Elle s'est faite remarquer dernièrement pour son dossier complet publié dans le Figaro sur les "assistés" ou les titulaires du RSA. Après avoir été traités de cancéreux par le sous-ministre Wauquiez (voir par ailleurs), voilà que ceux-ci ont été catalogués de "canapés" par cette journaliste de bas étage, donnant ainsi du grain à moudre à l'électorat de l'UMP et à ses dirigeants qui se sont empressés de réagir en proposant un texte imposant "de cinq à dix heures de travail hebdomadaire" comme le rappelle cet article publié par le Monde. Une sorte de STO remanié au goût du jour en quelque sorte. Mais le plus démagogique dans cette information vient de la qualité de Sophie Roquelle. Qui est-elle réellement ? C'est le site Rue 89 qui a enquêté sur cette "défenderesse des opprimés". Comme le rapporte le journaliste Daniel Schneidermann dans son papier, cette journaliste est tout simplement la femme du n°2 du groupe GDF-Suez, Jean-François Cirelli. Celui qui avait triplé sa rémunération en 2008 comme nous le rappelle ce papier publié par le Figaro. Bref, une preuve supplémentaire de la cosanguinité poussée à l'extrême entre les dirigeants du CAC 40, les financiers, les hommes politiques et le monde médiatique. Une petite caste qui nous distille la bonne parole en fonction de ses intérêts qui bien évidemment vont à l'encontre de ceux des titulaires du RSA... La boucle est bouclée...et la propagande peut tourner...


Copé : modifier le RSA en STO par Khalemvideo
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mercredi 23 mars 2011

Transformer l'eau en argent...(MAJ)

Nous vous avions annoncé en septembre dernier la sortie prochaine d'un film évènement relatif aux multinationales de l'eau et titré "Water makes money" (voir par ailleurs). Six mois plus tard et alors que ce film n'a encore pas eu les honneurs d'une diffusion télévisée, nous avons le plaisir de vous offrir ce documentaire en intégralité via ce papier publié par le blog Ce Que Vous Devez Savoir. Préparez-vous à avoir un choc devant les images que vous allez voir. Il faut dire que tout comme l'air que nous respirons, l'eau est un élément indispensable à la vie. Ainsi, le 27 juillet 2010, l'accès à l'eau potable a été intégré à la Déclaration des Droits de l'Homme par l'Assemblée Générale des Nations Unies. Malgré tout, l'eau reste en proie aux intérêts économiques des entreprises multinationales obsédées par leurs profits. Cette mainmise sur "l'or bleue" touche aussi bien les pays en voie de développement que les riches pays industrialisés. "Le documentaire 'Water makes money' explique comment les multinationales s'accaparent la distribution de cet élément vital et créent ainsi une alchimie déroutante : elles transforment l'eau en argent ! L'analyse de ce phénomène par des experts est agrémentée par plusieurs exemples de communes, allemandes et françaises, en proie à la domination de ces entreprises peu soucieuses d'offrir un service de qualité. Mais, à l'instar de Paris, des collectivités se soulèvent pour passer en régie publique. Le contrôle citoyen de l'eau est nécessaire et possible...". Une fois de plus, on a sous les yeux les ravages que font l'ultra-libéralisme dans notre vie quotidienne. La concurrence n'existe pas dans ce système. Il s'agit de mettre les citoyens sous le pouvoir d'oligopoles qui imposeront un prix concerté exorbitant pour toujours plus de profits. Indéfendable...

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jeudi 27 janvier 2011

Priorité à l'éolien off-shore...

C'est fait ! La France s'est enfin positionnée quant à sa stratégie énergétique de demain. Comme nous le révèle ce papier publié dans le Figaro, Nicolas Sarkozy a annoncé le lancement d'un appel à projets portant sur cinq sites côtiers pour un investissement de 10 milliards d'euros. Du coup, industriels français et étrangers sont mobilisés pour cette compétition. Parmi ceux-ci : le suédois Vattenfall, l'allemand EON ou les français GDF Suez, EDF Energies Nouvelles ou Alstom. Il n'en demeure pas moins que les acteurs de la défense de l'environnement sont fortement opposés à ce projet et entendent se mobiliser afin de le dénoncer. "Jean-Louis Butré, président de la Fédération Environnement Durable (FED) qui regroupe quelque 735 associations et collectifs opposés aux turbines à vent, dénonce 'un marché économique complètement faussé, qui ne vit que grâce aux subventions'. 'Enfin, assure Jean-Louis Butré, nous assistons d'ores et déjà à des débats pas très sains qui vont conduire certains édiles à mobiliser toutes leurs forces pour éviter à leur région d'être concernée par ces éoliennes off-shore'. Allusion notamment à Philippe de Villiers qui a obtenu de l'Elysée d'écarter l'île vendéenne de Noirmoutier de la liste des sites. Les ennemis de l'éolien dénoncent généralement le coût de cette énergie intermittente". Comme on le voit, le sujet divise les Français. D'un côté, il nous faut reprendre une certaine indépendance énergétique (le prix du pétrole va atteindre des sommets dans les années qui viennent) sans pour autant défigurer le paysage. Le problème de notre omniprésident est le toujours trop. D'un coup, c'est 600 éoliennes alors que l'on sait bien que l'énergie produite coûtera bien plus chère au consommateur. Est-il seulement d'accord ou en a t-il les moyens ? De la même façon, on aurait pu installer un mini parc au démarrage de façon à analyser les forces et faiblesses d'une telle énergie. Mais là non ! Tout doit être grand tout de suite. Espérons pour Sarkozy que les éoliennes de Bretagne ne se retrouveront pas à Strasbourg en cas de tempête du siècle comme celle de 1999.


Nicolas Sarkozy à Saint Nazaire
envoyé par telessonne. - L'info internationale vidéo.
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mardi 11 janvier 2011

Le documentaire qui agace Veolia...

Les multinationales n'aiment pas les curieux. Notamment ceux qui viennent fouiller dans leurs affaires. Imaginez alors un journaliste qui réalise un documentaire complet mettant en avant leurs drôles façons d'agir. Comme le révèle ce papier publié sur le site Rue 89, Véolia a donc tout fait pour censurer le reportage "Water Makes Money" qui sera diffusé sur Arte le 22 mars prochain. Elle y est d'ailleurs partiellement parvenue en obtenant de la justice que ce film soit diffusé qu'une seule fois. Il faut préciser que déjà à l'époque de sa sortie en salle, ce film avait provoqué l'ire des géants de la distribution d'eau (voir par ailleurs). De plus, il est à noter que ce film a été produit par la télévision allemande tant les chaînes françaises avaient peur d'enquêter sur ce mastodonte si puissant qu'il peut imposer le silence aux journalistes. Bref, ce film montre comment la multinationale de l'eau a partout à travers le monde augmenté le prix du mètre cube tout en limitant les investissements au strict minimum, le tout dans une atmosphère de trafic d'influence. Un exemple flagrant des collusions existantes entre politique, business, finances dans un monde dérégulé pour le plus grand profit des multinationales...


Water makes Money
envoyé par mansan. - Regardez les vidéos des stars du web.

Jean-Luc Touly, projet Water makes money (1)
envoyé par Eco89. - L'info video en direct.
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mercredi 22 septembre 2010

Water makes money...

La nouvelle alchimie des multinationales : transformer l'eau en argent. C'est un réquisitoire cinglant contre Veolia, Suez et Saur qui nous est proposé dans ce documentaire allemand comme nous le révèle cette dépêche de l'AFP. Les réalisateurs ont parcouru les grandes villes du monde pour dénoncer dans quelle mesure ces multinationales prennent les usagers en otage quant à la gestion de ce bien précieux qu'est l'eau. Il faut savoir qu'en France, 80% de l'eau coulant de nos robinets est gérée par l'un de ces trois groupes. Augmentation prohibitive des tarifs, investissements non réalisés, opacité sur la gestion...tout y passe pour nous faire payer le litre d'eau au prix du litre d'essence ou presque au point que même des élus reconnaissent ne plus agir pour le bien public. Voici la bande annonce de ce film militant autofinancé par plus de 1.000 souscripteurs qui sort dans les salles demain. Mais pour ceux qui ne peuvent s'y rendre, sachez qu'il sera diffusé sur Arte au premier semestre 2011...


Water Makes Money - Le film
envoyé par igepac. - L'info video en direct.
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mercredi 1 septembre 2010

L'énergie du futur...

Incroyable mensonge proféré à des générations entières pendant plus de 40 ans. Depuis tout ce temps, les gouvernants relayés par les médias nous font croire que la seule issue possible pour bénéficier d'une énergie bon marché se nomme énergie nucléaire. Certes, on l'a tous entendu et on y souscrit plus ou moins avec bonne volonté. Mais ce que les ingénieurs ont omis de nous préciser, c'est que l'énergie nucléaire pouvait fonctionner avec un combustible nettement moins dangereux et nettement plus abondant que l'uranium : le thorium (à ne pas confondre avec le rhodium). Qu'est-ce que le thorium ? Selon l'encyclopédie Wikipedia, "le thorium est un élément chimique, un métal de la famille des actinides, de symbole Th et de numéro atomique 90. Il a été découvert en 1829 par Jöns Jacob Berzelius et nommé d'après Thor, dieu scandinave du tonnerre. Ses principales applications sont dans les alliages de magnésium utilisés pour les moteurs d'aéronefs. Il a un énorme potentiel comme combustible nucléaire, mais cette voie est encore en cours d'exploration (avec les centrales HTR)." Ah bon ? Jamais le grand public n'a entendu parler d'un tel minerai alors que l'on nous rabâche les oreilles avec l'environnement et la pollution. Comme d'habitude, c'est le journaliste Ambrose Evans-Pritchard dans un article publié dans le Telegraph de Londres qui lance un immense pavé dans la mare des adeptes d'Areva. Il nous explique notamment que le thorium se trouve partout, qu'il peut nous donner autant d'électricité qu'une centrale nucléaire à l'uranium sans la folie sécuritaire s'y attelant. Un minerai si fantastique qu'on pourrait avoir de l'électricité quasi gratuite tout en réglant tous les problèmes énergétiques de la planète. On n'aurait même plus besoin d'aller chercher du pétrole... "work by Nobel laureate Carlo Rubbia at CERN (European Organization for Nuclear Research) on the use of thorium as a cheap, clean and safe alternative to uranium in reactors may be the magic bullet we have all been hoping for, though we have barely begun to crack the potential of solar power". Carlo Rubbia ? Connais pas ! Maintenant un peu mieux ! De plus, Ambrose Evans-Pritchard nous informe qu'une tonne de thorium donne autant d'énergie que 200 tonnes d'uranium ou 3,5 millions de tonnes de charbon ! A vos calculettes ! Mais comme tout avancée technologique de grande ampleur, il y a tous les détracteurs. Parmi eux : les Français (oh non pas vous et moi mais des multinationales dénommées Areva, EDF, GDF Suez,...). C'est sur que ces sociétés ne vont pas du tout aimer cette nouvelle technologie. Elles ont beaucoup trop à perdre. "Once you start looking more closely, it blows your mind away. You can run civilisation on thorium for hundreds of thousands of years, and it’s essentially free. You don’t have to deal with uranium cartels," Thorium is so common that miners treat it as a nuisance, a radioactive by-product if they try to dig up rare earth metals". En fait, la France a tout fait pour détourner les travaux sur le thorium "parce qu'elle ne voulait pas de concurrents". De ce fait, dix années ont été perdues. Mais désormais l'espoir renaît quitte à concurrencer des sociétés françaises. La terre n'a pas de frontières...

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dimanche 30 août 2009

Retour au Moyen Age...

Notre pays est agité depuis quelques mois dès que l'on commence à parler de La Poste. Alors que le gouvernement souhaite faire évoluer son statut en société anonyme, plus de deux millions de Français s'y opposent comme l'a démontré le résultat de la votation citoyenne. Mais qu'en est-il réellement ? D'après moi, La Poste doit rester un service public. Même les Américains n'ont jamais voulu privatiser la leur, c'est vous dire !!!

Alors pourquoi vendre l'âme de nos postiers au diable ? A cause de l'Europe ? Ces gens votent des lois uniquement pour l'intérêt de quelques groupes privés et se moquent bien qu'un service public disparaisse. L'échec de la privatisation de la SNCF anglaise devrait pourtant SERVIR de leçon à chaque pays européen car il n'y a jamais eu autant de morts et de blessés que pendant sa privatisation...

Rappelons que La Poste a été "inventée" par l'empereur Auguste et cela grâce au formidable réseau des routes romaines. Certes, elle ne s'appelait pas La Poste, mais Cursus Publicus. Et cela fonctionnait parfaitement dans tout l'empire. La chute de Rome a entraîné la chute de ce service. Puis, au Moyen Âge, chaque seigneur féodal disposait : de son propre service postal et du droit de battre sa propre monnaie ! Le roi Henri III, un peu fauché, permit aux manants d'utiliser ses services postaux moyennant piècettes. Grand succès. Mais ce n'est qu'après la Révolution, en 1795, que la Poste actuelle fut organisée démocratiquement et mise à la disposition de tous les Français avec des tarifs abordables. Le timbre, qui a démocratisé le courrier, n'a été inventé qu'en 1848.

Et maintenant, on casse le service public pour revenir au système féodal précédent. Diverses sociétés privées se batteront entre elles au détriment, évidemment, de l'usager. C'est bien un retour au Moyen Âge !

Certes, Internet a bouleversé la donne. Imaginez qu'il existe maintenant plusieurs générations qui ne savent même pas ce que c'est que de recevoir une lettre d'amour dans une enveloppe ! Et un courrier électronique parfumé au Chanel n°5, c'est pas pour demain... De plus, la crise a entamé bien des finances à l'image de celles de l'US Postal (voir par ailleurs). Mais rappelons-le, même si l'US Postal doit se séparer de 30.000 personnes, IL N'EST PAS QUESTION DE LA PRIVATISER.



Sarkozy et la privatisation de La Poste
envoyé par Napakatbra. - L'actualité du moment en vidéo.
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