Affichage des articles dont le libellé est unicredit. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est unicredit. Afficher tous les articles

mardi 15 novembre 2011

Au bord de la faillite...

Encore une banque prête à exploser en plein vol... Bien que Silvio Berlusconi ait été viré du pouvoir par les marchés financiers, la banque italienne Unicedit est (encore...) au bord du gouffre. Comme nous le révèle ce papier publié par les Echos, l'institution financière romaine est à la recherche de plus de 7 milliards d'euros. Du coup, elle va se "serrer la ceinture" en annonçant un plan social concernant plus de 6.000 personnes. Rendu indispensable après les pertes colossales enregistrées au troisième trimestre (plus de dix milliards d'euros...!). Autant dire que nous ne pouvons que conseiller à nos lecteurs concernés de sortir au plus vite leur épargne de cette banque. En effet, la recapitalisation risque malheureusement de ne pas être suffisante pour lui empêcher la banqueroute. D'ailleurs, le quotidien économique nous informe aussi du non paiement des dividendes pour l'année 2011, ce qui peut être considéré comme un défaut de paiement envers ses créanciers. La cotation de l'action ayant d'ailleurs été suspendue une partie de la journée afin d'éviter l'effondrement final de cette banque... Même si Papounet n'est plus là, les problèmes demeurent... et s'accentuent... Malheureusement...

Lire La Suite... RésuméBlogger

jeudi 29 septembre 2011

Les propos d'Attila...

Alors que la toile est en plein émoi quant aux propos apocalyptiques d'Alessio Rastani (voir par ailleurs) au point de le faire passer pour un imposteur, il apparaît de plus en plus de témoignages allant dans le sens des propos du "courtier". En d'autres termes, même s'il s'agit d'un faux trader comme le laisse entendre cet article publié par le site le Post, sa vision du marché et de ces intervenants n'en est pas moins la réalité. C'est d'ailleurs en substance ce qu'a confirmé un autre banquier au site Place au peuple. Pour ce dernier, il n'y a aucun doute : les propos tenus par Rastani auraient pu être prononcés par n'importe quel trader de la planète. "Les traders se moquent de l'économie réelle et n'agissent pas pour le bien commun, mais pour leur propre intérêt ou celui de leur établissement. Envoyer 10 Grecs à la rue ne leur fait ni chaud, ni froid". Et que dire du discours d'Attila... Les propos d'Attila valent bien toutes les déclarations les plus choquantes des traders en mal de reconnaissance. Mais qui est cet Attila ? Selon l'encyclopédie Wikipedia, Attila Szalay-Berzeviczy est quant à lui, un pro de la finance. C'est un économiste hongrois en charge de la responsabilité mondiale des échanges de titres pour la banque italienne Unicredit. Accessoirement, il fut aussi le patron de la bourse hongroise. Bref, une pointure qui ne s'exprime pas pour ne rien dire. Or, ses dernières déclarations font elles aussi froid dans le dos. Comme le souligne ce papier publié par le site belge l'Express, il dresse un portrait apocalyptique de la fin de la Zone euro. Quelques exemples : "l'euro est pratiquement mort et l'Europe risque un séisme financier en cas de défaut de la Grèce" ou encore "les détenteurs d'obligations souveraines grecques devront passer en pertes et profits la totalité de leur investissement, la nation cessera de payer les salaires et les pensions et les guichets automatiques dans le pays se videront en quelques minutes"... Il n'empêche que ce Monsieur est comme toutes les autres élites bancaires en partie responsable de cette situation. Exprimer des propos alarmistes pour mobiliser les peuples et leur faire accepter l'inacceptable est bien dans la logique de leurs pensées mondialistes. Souvenons-nous que nos Maîtres vont tout faire pour nous faire accepter bon gré, mal gré le fédéralisme européen aux détriments de nos nations souveraines... Puis la crise aidant, l'effondrement des monnaies telle que le dollar et l'euro entraînera l'instauration d'une monnaie mondiale et d'un gouvernement du même acabit. Plus que jamais, il est temps de résister...

Lire La Suite... RésuméBlogger

jeudi 22 septembre 2011

Ca craque de partout...

Forza Italia... Il va falloir leur en donner du courage aux Italiens tant ils se débattent dans une sacrée pétaudière. Alors que leur Premier ministre n'en finit plus de collectionner les casseroles et les procès en tout genre comme le souligne cet article publié par les Echos, le peuple va devoir passer à nouveau à la caisse. En effet, l'agence Standard and Poor's vient de dégrader la note de l'Italie, la faisant passer de A+ à A comme le souligne ce papier publié par le site suisse 24 Heures. Dorénavant la péninsule est considérée comme plus fragile financièrement que la... Slovaquie ! Cette décision a été prise en raison des faibles perspectives de croissance rendant plus compliqué la réduction des déficits et de la dette. La conséquence immédiate : le renchérissement du coût du crédit pour tous les emprunteurs y compris l'état. Mais ce n'est pas tout. Les marchés commencent à en avoir assez de Papounet qui "gouverne le pays pendant ses heures perdues". En dehors des problèmes économiques liés à la conjoncture, ils sanctionnent aussi la politique de Silvio Berlusconi. Et comme si tout cela n'était pas suffisant, l'agence de notation a aussi abaissé la note de 15 banques transalpines comme nous l'enseigne cette dépêche Reuters. Toutes les plus grandes institutions du pays sont concernées : de la multinationale Unicredit à la banque Intesa Sanpaolo. Il faut préciser qu'elles sont les premières créancières de la dette souveraine du pays. Ceci expliquant certainement cela...

Lire La Suite... RésuméBlogger

lundi 8 août 2011

Faites votre choix...

Alors que les bourses du monde entier sont en train de plonger pour la onzième journée consécutivement, la confiance est toujours "aux abonnés absents". Pire, les plus folles rumeurs envahissent désormais les salles de marché. Au premier rang desquelles la faillite probable des banques Société Générale et Unicredit. C'est le site Zerohedge qui nous révèle que la banque française et la banque italienne vont avoir besoin d'un plan de sauvetage en urgence tant elles ont perdu des plumes dans la restructuration de la dette grecque. "En Grande Bretagne, une source gouvernementale décrit la position de deux banques comme 'périlleuse' tout en précisant que les épargnant britanniques sont couverts jusque dans la limite de 85.000 livres sterling". Evidemment pas l'ombre d'un article dans notre presse nationale bien pensante (à croire que la Société Générale n'a pas de clients en France...) sauf dans le quotidien la Tribune qui reprend un démenti officiel. "Les banques Société Générale et Unicredit démentent catégoriquement les affirmations de l'hebdomadaire britannique Mail on Sunday, selon lesquelles elles seraient dans des situations critiques nécessitant un sauvetage". Nous ne savons pas pour vous mais nous qui écrivons sur ce blog depuis près de deux ans, nous avons comme une petite idée sur la version à croire. D'autant que la banque française a publié un avertissement sur résultats pas plus tard que la semaine dernière. N'oubliez pas qu'une banque ne reconnaît jamais ses problèmes de trésorerie avant l'échéance finale. La faillite des banques Lehman Brothers et Fortis est là pour nous le rappeler...


Société Générale avertit sur son bénéfice net 2012 par euronews-fr
Lire La Suite... RésuméBlogger

mardi 9 novembre 2010

Faux et usage de faux...

On pensait avoir tout vu en matière de fraude bancaire. On en était loin comme en témoigne ce papier publié par le site local The Pittsburgh Channel. Accrochez-vous à votre clavier, ça décoiffe ! On apprend donc que la filiale américaine de la banque italienne Unicrédit, a organisé des faux procès dans des faux tribunaux avec du faux personnel pour accélérer les saisies des vrais gens. Tout y est passé : immobilier, voitures, meubles, électro-ménager,... Rendez-vous compte que les banques sont en train de tout détourner pour leur propre intérêt avec la complicité des hommes politiques. Ne laissez plus votre conscience se détourner du vol de démocratie qui se passe là sous nos yeux...

Lire La Suite... RésuméBlogger

lundi 18 octobre 2010

Nouvelle charrette bancaire...

Et celle-ci a lieu en Italie. Comme nous l'apprend cet article publié par l'agence de presse Reuters repris par le site Investir, la banque Unicredit va licencier plus de 4.000 personnes dans les mois qui viennent. L'accord prévoit 3.000 départs volontaires (mise à la retraite anticipée) et 1.700 licenciements à partir de 2014. Il s'agit pour le groupe de se réorganiser par la fusion des différentes banques contrôlées dans le pays afin de faire des économies. Comme quoi, l'emploi des seniors que l'on nous vend à grand coup de propagande n'est pas encore d'actualité. Dis papa elle est comment la reprise en Italie ?

Lire La Suite... RésuméBlogger

jeudi 16 septembre 2010

Où en est le système bancaire...?

En voilà une bonne question deux ans après sa quasi-disparition. Il faut dire que cette interrogation préoccupe toujours autant les gouvernements, les économistes et les investisseurs tant la bonne santé bancaire est l'un des éléments essentiels à la sortie de crise. C'est un article publié dans le Monde qui nous en donne les contours. A première vue, le système bancaire semble stabilisé mais cela ne pourrait être que de la poudre aux yeux. Certes, certaines banques (la BNP Paribas en France, la Santander en Espagne ou la banque Unicredito en Italie) affichent des profits hors norme, bien supérieurs à ceux enregistrés avant la crise de 2008 mais force est de constater qu'elles ne sont que ces arbres qui cachent la forêt. "Cependant, des pans entiers du système continuent d'affronter de graves problèmes. Aux USA, beaucoup de petits établissements liés au secteur de l'immobilier commercial - un marché de 1.600 milliards de dollars d'encours, supérieur à celui des subprimes où le taux de défaut des crédits atteint 8% - sont fragilisés. Les autorités de contrôle du secteur financier recensent 829 établissements malades, redoutant autant de nouvelles faillites, après déjà 118 dépôts de bilan depuis janvier. Ce serait sept fois plus qu'en 2009 qui avait été pourtant une année record en matière de défaillance depuis 1992, avec 140 faillites. En Europe, hormis la Grèce sous perfusion et l'Irlande, avec la déconfiture d'Anglo Irish Bank, deux pays posent problème : l'Espagne et l'Allemagne". En résumé : plus de 800 banques américaines en état de coma avancé, la Grèce et l'Irlande HS et le système bancaire espagnol comme celui des caisses d'épargne allemandes souffrant d'inquiétantes convulsions. Il n'y a pas vraiment de quoi se réjouir et surtout aucune certitude que les banques françaises vu le marasme ambiant ne se trouvent pas elles aussi proche de l'insolvabilité. Et ce n'est pas la nouvelle réglementation adoptée par le système bancaire, Bâle III, qui pourra être en mesure de prévenir quoi que ce soit sauf la distribution de crédits qui va se raréfier. Bref en un mot comme en 100 : nous étions dans la m... en 2008, nous nous y complaisons en 2010 !
Lire La Suite... RésuméBlogger