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vendredi 18 novembre 2011

Ballade irlandaise...

Welcome in Ireland ! Sauf si vous êtes sionistes... On sait que les Irlandais et les Israéliens ne s'aiment pas beaucoup. Les premiers reprochant aux seconds leur conduite inadmissible dans la bande de Gaza. De plus, ils ont encore en travers de la gorge les opérations spéciales du Mossad (les services secrets israéliens...!), réalisées sous passeport irlandais. Comment leur donner totalement tort ? Toujours est-il que du côté d'Israël, ces sauts d'humeur celtiques ne passent plus du tout. A l'image de ce papier publié par le site Jerusalemplus.tv. Un article recensant tous les actes antisémites (ou jugés comme tels) ayant été commis à Dublin ces dernières semaines. Un juste plaidoyer à la vue des faits incriminés. Sauf que l'article va un peu plus loin en reprenant les déclarations d'un "responsable israélien". "Le gouvernement irlandais nourrit sa population de haine anti-israélienne. Ce que nous voyons ici est clairement de l'antisémitisme. Des sources au sein du ministère des Affaires étrangères ont dit que l'Irlande devient sans aucun doute le pays le plus hostile à Israël dans l'Union Européenne, poussant l'ensemble des pays d'Europe à une approche radicale et intransigeante". On rêve ou on a bien lu que l'état hébreu demande à l'Union Européenne de punir l'un de ses états membres ? Reste à savoir si cette requête sera suivie des faits... On prend les paris...


Représailles de l’Irlande contre Israël par Super_Resistence
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mercredi 17 août 2011

L'élégance à la française...

Comme elles sont belles nos élites ! Il n'y a pas à dire, la "french touch" est de retour. Notamment sur les lignes d'Air France. N'en déplaise à Nicolas Sarkozy, son soutien aux dernières présidentielles a encore fait parler de lui sur la ligne Paris-Dublin. Comme nous l'enseigne ce papier publié sur le site d'Europe 1, Gérard Depardieu s'est illustré dans l'avion. Voulant se rendre aux toilettes pendant la phase de décollage, il s'est vu contraint de rester à sa place par le personnel embarqué. Pas de problème pour notre Gégé : il se soulagea à la vue de tout le monde dans l'allée. Comme le raconte l'hôtesse : "on voyait bien qu'il avait bu. Monsieur Depardieu s'est rassis, nous sommes rentrés au parking de l'aéroport parce qu'il fallait nettoyer". Et pour Gros dégueulasse hi pipi pourra...



"Depardieu a dit 'je ne peux pas...
par Europe1fr
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jeudi 14 juillet 2011

Hommage...

En ce jour de fête nationale, on aurait pu choisir de rendre hommage à notre 70ème soldat mort au combat en Afghanistan comme le souligne ce papier publié par l'Express. On aurait même du le faire. Et pourtant nous avons décidé de mettre à l'honneur cet homme. Il est irlandais et vit depuis près de vingt ans dans les rues de Dublin. Pourquoi mérite t-il les honneurs de la presse mondiale ? Car il s'est jeté à l'eau pour sauver son seul véritable ami, son lapin. Comme le révèle cet article publié par le quotidien irlandais Irish Times, John Byrne (c'est son nom !) est devenue une star dans son pays pour avoir sauvé "Barney" de la noyade. Un individu l'avait jeté à l'eau auparavant par simple méchanceté. Ou quand la folie de certains hommes est compensée par la bonté de beaucoup d'autres... Que ceux qui ont envoyé nos soldats se battre dans une guerre qui ne les concerne pas puissent un jour être à l'image de John Byrne. La guerre a ses limites, pas l'amour...

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lundi 13 décembre 2010

Austérité irlandaise...

C'est officiel ! Le FMI et l'Union Européenne vont être satisfaits. Le budget irlandais a été voté et il a été passé à la moulinette de l'austérité. Comme nous le rappelle cet article publié par le site RFI, le budget adopté est sans précédent. Un véritable traitement de choc. On y apprend que le montant des économies à réaliser est de 6 milliards d'euros pour la seule année 2011 afin de ramener le déficit autour de 9% l'an prochain contre 32% aujourd'hui. Il n'en demeure pas moins que les efforts ne seront pas les mêmes pour tout le monde comme le souligne cet article publié par le Guardian. Les fonctionnaires et patrons les mieux payés conserveront leur salaire qui peut être supérieur à 750.000 euros. Pas sur que le peuple toujours prompt à descendre dans la rue apprécie très longtemps ces écarts. Nous le saurons début 2011 lors des prochaines élections...

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dimanche 5 décembre 2010

Ruine irlandaise...

Comme on a déjà pu le voir pour l'Espagne (voir par ailleurs), l'Irlande connaît exactement le même sort quant à l'immobilier : des centaines de milliers de m² vides. C'est le site Mediapart qui rapporte dans un article l'existence de quartiers fantômes dans une Irlande ruinée. C'est l'une des faces les plus stupéfiantes de la crise irlandaise : l'île est jonchée de lotissements vides et de bureaux laissés déserts, symbole de la bulle immobilière qui vient d'éclater. "Un rapport publié en octobre a recensé plus de 2.800 de ces cadavres sur l'île. En tout, ce sont 23.000 maisons ou appartements qui sont terminés, et vides pour la plupart. Quelques 20.000 autres sont jugés "presque achevés" ou "restés au stade de chantier". Autant de cicatrices d'une redoutable crise partie, comme aux Etats-Unis ou en Espagne, des folies de l'immobilier. Si Dublin n'est pas épargné, l'intérieur de l'île (les comtés de Longford et Leitrim, en particulier, dans le nord-ouest) est encore plus touché par ce phénomène". Bref, des villes sans âme crées uniquement pour l'argent sans tenir compte de l'aspect humain et qui ne demandent qu'à être squattées par les Irlandais modestes. Au moins on pourra dire qu'elles auront servi aux nécessiteux...

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lundi 29 novembre 2010

Sauvetage bancaire...

Accusé de haute trahison économique, tel est le point de vue de la majorité des Irlandais sur leur propre gouvernement. Pour le citoyen moyen, l'Irlande a capitulé pour sauver ses banques et les banques de l'Union Européenne. A la question centrale "qui doit payer la note de la dette ?" dans le feuilleton sans fin de la banqueroute européenne, on a donc la réponse : les contribuables, que l'on va saigner. Comme aux Etats-Unis. Tel que le souligne ce papier publié sur le blog d'Olivier Demeulenaere, le contribuable européen va sauver les banques irlandaises, qui ont déjà reçu de Dublin, la somme de 50 milliards d'euros mais aussi, et surtout, les grandes banques européennes, très exposées en Irlande (voir par ailleurs). "Et puis que pèse la souveraineté d'un petit pays comme l'Irlande face au monstre idéologique et politique qu'est l'Europe de Bruxelles, qui plus est appuyée par le FMI ? Pas grand chose : il n'y a qu'à voir comment on l'a fait voter une deuxième fois sur un traité constitutionnel européen qu'elle avait pourtant rejeté par référendum...". Il faut se rendre à l'évidence : la démocratie n'existe plus. Le peuple a perdu sa souveraineté pendant que le politique a perdu sa puissance de représentation et son pouvoir de décision. Le capital est devenu la religion universelle et la boussole des peuples. La seule inconnue es de savoir si les citoyens vont accepter ou non de perdre ainsi leur liberté. Vont-ils se soumettre sans broncher à l'esclavage des banques et des marchés ?
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dimanche 28 novembre 2010

Contraint et forcé...

Cette fois, c'est fait. Le gouvernement irlandais a du se résoudre à accepter l'aide imposée par l'Union Européenne et le FMI. Bref, comme pour les autres pays, l'Irlande continue sa fuite en avant. En attendant le mur final. D'ailleurs la population ne s'est pas trompée en fustigeant le premier ministre Brian Cowen et son parti et en appelant à des élections législatives anticipées comme le note cet article publié dans les Echos. Il faut dire que la pilule va être amère pour les Irlandais qui en sont déjà à leur troisième plan de rigueur. Plus de 100.000 suppressions d'emplois sont prévues, des diminutions drastiques dans les allocations chômage et familiales,... Même le salaire minimum va être touché (on devrait plutôt dire... baisser !). Bref, le peuple est très mécontent et la presse est unanime conte ce plan de sauvetage. Des journaux appellent même à la reddition du pays à l'Union Européenne. Quand on y pense, les luttes de l'IRA sont bien loin. Autant de combats et de morts pour finir sous la tutelle du FMI. Incroyable gâchis...




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lundi 22 novembre 2010

Une solution : la faillite...

Alors que la Grèce sauvée de justesse au printemps dernier continue de creuser ses déficits, voici le tour de l'Irlande de connaitre le risque d'un effondrement financier comme le souligne ce papier de Presseurop. Mais qui va payer ? Pour le quotidien "Der Standard", les investisseurs, tout comme les Etats, doivent assumer les risques qu'ils ont pris. "C'est ce que font en général tous les créanciers, qu'il s'agisse d'Etats ou de banques. Ils menacent et montrent les dents mais au bout du compte finissent presque toujours par accorder un délai supplémentaire à leur débiteur : mieux vaut un débiteur mal en point qu'un débiteur mort". Il faut dire que l'Irlande connait désormais un déficit de 150% du PIB (130% pour la Grèce). Les marchés considèrent les bons du trésor irlandais au même niveau que ceux du Pakistan (c'est vous dire la confiance...). Bref, les économistes se préparent à une faillite avec ou sans sauvetage. Du coup les créanciers se préparent à payer leur écot et à ne plus revoir leur argent. Il faut préciser qu'ils connaissent les risques de ne pas être remboursés puisque c'est justement pour cela qu'ils facturent des intérêts majorés. En résumé, le système américain des subprimes s'est reporté sur les états. Grecs et Irlandais sont comme les ménages mexicains à qui on a ouvert d'énormes lignes de crédit tout en sachant qu'ils étaient insolvables. Les hommes politiques sont les commis des banques et des fonds d'investissement alors que plus personne ne défend les intérêts des populations...A se demander si la faillite des ménages n'est pas voulue et planifiée afin de ruiner l'Europe et briser définitivement les nations...


Banques irlandaises veulent 45 milliards !
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mercredi 17 novembre 2010

Panique dans la Zone euro...

Rien ne va plus dans la Zone euro. Les pays dits faibles sont la proie des spéculateurs. En premier rang desquels l'Irlande. Jamais depuis la crise grecque au printemps dernier, un pays n'avait paru aussi vulnérable face aux marchés comme le souligne ce papier publié par le site Presseurop. Alors que l'idée d'un plan de sauvetage se profile, la presse européenne s'inquiète des conséquences pour les autres membres de l'Union Européenne. "A Dublin, le temps paraît encore plus compté : 'l'Etat irlandais est insolvable : ses dettes dépassent de loin tout moyen réaliste de les rembourser', écrivait en début de semaine l'économiste Morgan Kelly, dans un article de l'Irish Times, qui continue de susciter beaucoup de réactions en Irlande. C'est une tragédie en deux actes, explique-t-il. Le premier a été le plan de sauvetage des banques toxiques à 70 milliards d'euros, dans lequel 'ira chaque centime de vos impôts pendant les deux ou trois ans à venir'. Le prochain sera une crise du crédit immobilier, dont les symptômes apparaissent déjà. 'Les gens vont très loin, ils ne paient pas leurs factures et empruntent énormément à leurs parents pour pouvoir rembourser leurs emprunts'". On peut cependant penser que les politiciens irlandais hésitent à répudier leurs dettes, d'autant que l'IRA les a déjà menacé ainsi que les banquiers britanniques comme le soulignait le Telegraph de Londres. Bref, le gouvernement irlandais est dans une situation inextricable : soit il répudie les dettes de ses banques nationalisées, soit il sort de l'euro. Sinon, la BCE va faire comme la Fed, payer, payer et encore payer à la place des Etats pour que les banques n'aient ni impayés, ni diminution de leurs recettes. La France ferait bien de dire qu'elle ne peut plus payer et qu'elle veut se faire aider. Quand à vous qui avez des contrats d'assurances-vie, vous avez intérêt à les laisser de côté et à les remplacer par... n'importe quoi d'autres...
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lundi 6 septembre 2010

Après les banques...les hôtels "zombies"...

Comme on a pu le voir, l'Irlande est en plein marasme. Après ses déboires avec les banques, la voici confrontée à l'effondrement des hôtels. D'après cet article de Bloomberg titré : ""Zombie" Hotels Arise in Ireland as Recession Empties Rooms", de nombreux hôtels n'arrivent plus à "remplir" leurs chambres et restent désespérément vides. C'est d'autant plus visible que selon la journaliste, plus "au moins 200 hôtels ont ouvert à Dublin pendant la période faste"... Surcapacité plus fréquentation en baisse nous donne un cocktail bien indigeste pour les banques qui ont financé... "Hotels have almost 7 billion euros in bank borrowings, equivalent to about 111,000 euros per bedroom, according to figures from the industry group". Les hôtels irlandais leurs doivent sept milliards d'euros soit une dette de 111.000 euros par chambre... Autant dire que l'on comprend mieux du coup les difficultés bancaires...

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Flegme britannique...

Les Anglais ont de la mémoire. Pour s'en convaincre, il suffit de voir cette incroyable scène à l'occasion d'une séance de dédicaces organisée dans une librairie de Dublin. Comme l'évoque ce papier du Daily Mail, l'ancien premier ministre anglais Tony Blair a été bombardé d'oeufs, d'insultes en tout genre et même de chaussures volantes, ce qui montre à quel point les Anglais lui en veulent de les avoir conduit dans des guerres illégales notamment en Irak. De plus, le fait qu'il vienne faire du business alors que la population n'en finit plus de souffrir de la crise est la goutte qui fait déborder le vase. Il faut reconnaître cependant que les 20 minutes d'attente dénote d'un certain intérêt pour ce qui a pu se passer sous sa législature. "Tony Blair pelted with eggs and shoes as anti-war protester attempts citizen's arrest during publicity trail for controversial memoir". Du jamais vu depuis Richard Nixon après le Watergate !

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