dimanche 7 août 2011

Les nouvelles frasques de Barroso...

Mais qu'est-ce qu'il nous a encore inventé l'ancien maoïste de Bruxelles ? Depuis qu'ils ont adopté le néolibéralisme à tendance anglo-saxonne pour politique générale à la Commission européenne, José-Manuel Barroso et ses sbires n'en finissent plus de fâcher les uns et les autres. Deux exemples trouvés cette semaine peuvent en témoigner. Le premier concerne une des corporations les plus admirées de France : les pompiers. Les têtes d'ampoule de Bruxelles ont pour fâcheuse habitude de faire de tout des histoires d'argent. C'est pourquoi le bénévolat est vraiment mal vu chez ces gens. Pensez donc : rendre service c'est contraire aux intérêts des multinationales. C'est certainement pour cela qu'ils envisagent le plus sérieusement du monde de mettre fin au statut de pompier volontaire comme nous le révèle ce article publié sur le site de France 3. Pour ces "débiles à la vue basse", être pompier volontaire c'est un métier comme un autre. Avec un salaire à verser mais surtout des cotisations sociales à payer. Les conséquences seraient vraiment désastreuses pour notre pays. "En Haute Normandie, sur 5.500 sapeurs pompiers, plus de 4.300 sont volontaires. Perte possible avec la directive : 80% des effectifs. Puisqu'être pompier volontaire deviendrait incompatible avec une activité professionnelle". Autant dire que si une telle directive est appliquée dans notre droit, préparez-vous à acheter des extincteurs et à priez pour qu'il n'y ait pas d'incendie chez vous... Autre exemple symptomatique des dérives de cette Commission européenne : les centres équestres. Jusqu'à présent, cette activité est considérée comme une activité agricole (il y a bien une éleveuse de chevaux dans "l'Amour est dans le pré" de cette année). Mais voilà Barroso et ses compères ont besoin de pognon. Du coup, ils veulent augmenter la TVA à 19,6% (au lieu de 5,5 actuellement) comme nous l'enseigne cet autre papier publié sur France 3. "Cumulée avec la flambée du prix de la paille, cette décision pourrait entraîner la fermeture de nombreuses structures (centres hippiques, clubs équestres, haras,...) qui ne pourront pas supporter cette hausse de charges". On voudrait "détruire" une activité que l'on ne s'y prendrait pas autrement. Il ne doit pas aimer les chevaux le "bourrin" portugais... Pour notre part, nous conseillons plutôt à ces gens venus de nulle part et censés nous représenter de s'intéresser plutôt aux multinationales qui grâce à leurs petits privilèges fiscaux ne payent presque aucun impôt dans leurs pays d'origine. Faute de quoi, ils risquent prochainement de fortement déchanter. Le peuple n'a peut-être plus d'argent mais il lui reste de la mémoire...

Blogger

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire