
Le laboratoire Roche remporte le Prix de la Honte par NTDFrancais
Chronique quotidienne d'un effondrement annoncé...Le monde s'enfonce...Le Temps de l'Apocalypse arrive...Il est là... Qui s'embarrasse à regretter le passé, perd de vue le présent et risque donc l'avenir !
Il n'y a pas que les "Vampires" américains qui soudainement deviennent intéressés par votre mort. Ceux de la BNP Paribas ne sont pas en reste comme nous le prouve leur site internet. Ils ont donc lancé le produit intitulé "BNP Paribas Obsèques". Si vous êtes client de cette banques, vous allez certainement être informé, les conseillers ayant pour obligation de mettre en avant le produit. Décidément, la grippe est une affaire juteuse d'autant que la BNP ne vous fait passer aucune visite médicale pour pouvoir accéder à ce produit. Juste une autopsie, histoire de ne pas vous faire un chèque trop tôt. Le seul hic de ce contrat : il ne s'occupe que de votre enterrement, mais pas du lieu. Autrement dit, il vous oblige à une crémation de fait... puisqu'il vous revient de payer, en plus, la concession ! Pas brillants, les concepteurs de ce "produit" financier à la BNP. Ils sont même très nuls. A quoi ça sert de cotiser pour le cercueil et les croque-morts si vous n'avez pas un bout de terre...
VOUS AVEZ COMPRIS ?
WALL STREET VEUT GAGNER UN MAXIMUM D'ARGENT AVEC LA GRIPPE !!!
Plus il y aura de morts, et plus ils vont s'en mettre plein les poches. C'est beau comme la chanson d'Alice Cooper : "I love the dead before they are cold" dans l'album, incroyablement intitulé "Billion Dollar Babies".
Souvenez-vous de cet article sur le vaccin H1N1 disponible un an avant le début de la pandémie (voir par ailleurs). Face à cette information passionnante, un journaliste, Pierre Jovanovic, a voulu en savoir plus. Ainsi, le brevet du vaccin H1N1 a bien été attribué le 28 août 2008 avec effet rétroactif au 28 septembre 2007 selon les "milieux bien informés". Or, on trouve trace d'une demande de brevet sur le même virus déposé le 16 décembre 1997 par les virologistes suivants : Otfried Kistner, Christa Tauer, Noel Barrett et Wolfgang Mundt comme nous le confirme le site www.patentstorm.us. Ceux-ci appartiennent tous au laboratoire Baxter.
Question au président de Baxter-France : à quoi sert Vincent Vanvinsberghe ?Manifestement à rien. Il est payé pour ne pas répondre aux journalistes, ce qui, pour un attaché de presse censé faire de la relation publique, est un contre-emploi. Il pourrait aussi bien rester chez lui. On comprend aussi pourquoi ce poste n'existe pas en France. Mais quelque chose ne colle pas : pourquoi cette opacité chez Baxter ? Pourquoi refuser les questions les plus simples ?
Dans tous les cas, le mystère de la date du brevet s'épaissit. En effet, pour déposer un brevet de vaccin, même si le H1N1 est une sous-famille datant du siècle dernier, cela veut dire que Baxter a dépensé des millions en recherche et développement sur cette version, qui a bien sûr évolué depuis. C'est JUSTEMENT sa force comme nous le confirme cet article du Monde : "Le virus 2009 A(H1N1) est totalement différent. Il est nouveau, et quasiment personne n'est immunisé contre lui. Il se répand très facilement, mais ne provoque pas de maladie sévère chez la plupart des gens. Ces éléments ne cadrent pas avec les plans préparés, et imposent de les adapter. Rien d'étonnant, donc, à ce que des gens se demandent pourquoi la pandémie actuelle ne correspond pas à ce à quoi ils s'attendaient, et trouvent que l'on en fait beaucoup". Donc BIEN AVANT la date d'obtention, c'est-à-dire 1 ou 2 ans, ce qui nous donne 1995. Donc le mieux est de réitérer la demande de Pierre Jovanovic auprès de Baxter France. Quand on veut vacciner la population avec un vaccin Baxter, ce laboratoire doit à la population un minimum de transparence et d'explications.
Rappelons qu'en 1976, il y a eu plus de morts par le vaccin que par le virus de la grippe porcine de l'époque. Sans oublier que les laboratoires veulent, en plus, l'immunité juridique... Ils ont peur des procès à venir ? Quoiqu'il en soit, le quotidien Le Monde s'étonne de la vitesse de propagation du virus H1N1, soit six fois plus rapidement que tous les autres de la même famille.