lundi 28 septembre 2009

Trahison...

On nous parle presque quotidiennement de la dette de la France, de son déficit et des intérêts versés pour le financer. Mais de quand date cet état de fait et pourquoi l'a t-on mis en place ? 1973 ! C'est l'année précise durant laquelle Georges Pompidou, ex-dirigeant de la Banque Rothschild, a plombé la France en obligeant l'Etat à emprunter auprès des banques privées plutôt qu'auprès de la Banque de France.

Il n'est pas besoin d'être un grand économiste pour s'apercevoir que cette loi a fait considérablement augmenter la dette dans la mesure où l'argent prêté produisait désormais des intérêts pour le plus grand profit des groupes bancaires. C'est d'ailleurs ce que confirme cet économiste dans la vidéo ci-dessous qui dénonce l'aberration d'une telle loi votée dans le seul intérêt des banquiers.

Ainsi, de plus en plus de contribuables s'aperçoivent de cette supercherie et laissent éclater leur colère : "L'interdiction faite à l'Etat d'emprunter directement à sa banque centrale, date de 1973. C'est un décret signé par Pompidou et Giscard. Le traité de Maastricht n'a fait que prolonger ce choix qui s'était étendu à l'Europe entre-temps. Ce choix politique, étonnant, faisait suite à la sortie du système de Bretton Woods par les Etats-Unis et l'instauration des taux de changes flottant entre monnaies (ce qui permettait donc de spéculer sur celles-ci). Depuis lors, l'Etat français, au lieu d'emprunter sans intérêt doit émettre des obligations sur les marchés financiers à 4,5% de taux d'intérêt, mais le calcul exact semble plutôt compliqué.
Le plus savoureux, c'est qu'au service de la dette de l'Etat, il est écrit que ceux qui souscrivent à ces obligations sont dispensés d'impôt pour ces sommes prêtées ! Entre 1980 et 2006, la France a payé 1.200 milliards d'euro d'intérêt, une somme identique à l'accroissement de la dette dans cette période. Donc, toute la rhétorique de la dette n'est qu'un leurre culpabilisant. Sans cette loi signée par Pompidou et Giscard en 1973, et prolongée par la suite par Maastricht, il n'y aurait tout simplement pas de dette".

A ce propos, voici le site internet de Giscard, au cas où vous souhaiteriez obtenir des éclaircissements...


DICTATURE des BANKSTERS Maastricht Art 104 Lisbonne Art 123
envoyé par samsamsong. - L'actualité du moment en vidéo.Blogger

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