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vendredi 30 décembre 2011

A quoi joue le Monde...?

A quoi joue donc le quotidien le Monde ? Autrefois qualifié de quotidien de référence, il n'en finit plus de nous décevoir, tant la désinformation y est désormais monnaie courante. Pire, il en devient même l'un des organes de propagande les plus honteux du système. Une preuve ? Une double preuve... Pas plus tard que dans son édition de hier, le quotidien a laissé une tribune libre à un professeur d'économie de Marseille. Intitulé "La loi Pompidou Giscard, Rothschild votée en 1973 empêcherait l'Etat  de battre monnaie", cet article nous explique que les opposants à cette loi cynique ne seraient que de vulgaires comploteurs à tendance antisémite n'ayant rien compris à l'économie... Bref, un portrait au vitriol nous faisant passer au mieux pour des benêts, au pire pour des néofascistes... Mais de qui se moque donc l'auteur et plus généralement le quotidien qui publie ses écrits ? La réaction ne se fit pas attendre. Elle est l'oeuvre d'Etienne Chouard, l'un des premiers économistes à avoir dénoncé cette loi scélérate... Professeur lui aussi à Marseille (petit clin d'oeil du destin...!). Il publie aujourd'hui sur son site un contre article dans lequel il répond point par point aux arguments d'Alain Beitone. Sous forme de tableau synthétique, il révèle au grand jour la manipulation orchestrée par l'auteur. Mensonges, oublis, approximations historiques,... tout y est ! Est-ce que le Monde lui donnera une tribune pour qu'il puisse à son tour dévoiler son point de vue ? Nous en doutons... Nous le faisons donc à sa place tant il est vrai que Etienne Chouard est très proche des idées véhiculées par l'UPR (comme nous le montre sa dernière conférence donnée en compagnie de Myret Zaki que l'on connaît déjà sur ce blog...) et par conséquent très éloigné de l'ultra-européisme du Monde... D'ailleurs le Monde ne se prive pas pour ignorer purement et simplement ce mouvement de résistance nationale. Comme le montre cet article publié aujourd'hui sur la campagne en ligne des candidats à la présidentielle, le quotidien a purement et simplement omis de mentionner le nom de François Asselineau alors que c'est l'un des politiciens les plus actifs sur le web. Il est vrai que ce journal souhaite un fédéralisme européen et soutiendra vraisemblablement François Bayrou mais de là à omettre volontairement la présence du seul candidat qui dérange le système, cela s'appelle de la propagande... Indigne d'un tel quotidien... 










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jeudi 1 décembre 2011

Et VGE dénonce...

Il n'y a pas que la "déclaration de guerre" de Montebourg qui fait le tour du web (voir par ailleurs), il y a aussi celle de son illustre aîné, l'ancien président Valery Giscard d'Estaing. Invité du plateau du Grand Journal sur Canal Plus, le concepteur de la Constitution européenne et ancien président de la République a eu cette bien étrange réflexion à propos de la crise de la Zone euro. "Le travail des banques américaines et des officines est d'organiser la spéculation en Europe". Ben voyons... Il nous semble être bien averti le concepteur de la loi du 3 janvier 1973 obligeant l'Etat à se financer auprès de banques privées. Giscard est tout simplement en train de nous dire qu'il connaît ceux qui sont derrière la "main invisible" du marché. Sauf que, aussi surprenant que cela puisse paraître, les animateurs (dont le truculent Jean-Michel Apathie...!) ne lui demandent même pas qui sont ces officines (pour ne pas dire sociétés secrètes...!) et qui se cachent derrière... On aurait aimé pourtant le savoir... A croire que l'indignation d'Apathie est au même niveau que la conviction de Montebourg : à géométrie variable...

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jeudi 31 mars 2011

UMP et FN...du pareil au même...

Alors que nos hommes politiques en font des tonnes dans les médias concernant le prochain débat sur la laïcité organisé par l'UMP, ils seraient tous bien inspirés, notamment à droite, de mettre un peu d'eau dans leur vin. Pourquoi ? Car rien n'a changé depuis vingt ans. Comme vient de le révéler ce papier publié par le site très droitier de Valeurs Actuelles, l'opposition de 1990 (alors composée du RPR et de l'UDF) avait déjà organisé un forum sur les questions d'immigration et de bien vivre ensemble. Parmi les participants : Valery Giscard d'Estaing, Jacques Chirac, MAM, Roselyne Bachelot, Alain Juppé, Gérard Longuet... ou encore François Bayrou. Mais le plus amusant sont les conclusions tirées de ce symposium : du FN dans le texte et les propositions. Amis extrémistes, ces exemples sont pour vous... et ils ont plus de vingt ans : "l'islam n'apparaît pas conforme à nos fondements sociaux et semble incompatible avec le droit français : il y a bien incompatibilité entre l'islam et nos lois" ou encore "être étranger en France, ce n'est pas avoir automatiquement et intégralement tous les droits liés à la citoyenneté française"... Et dire que tous ces gens se plaignent de l'abstention record lors des élections. Il n'y a pas à dire : au bal des faux culs, les politiques sont les premiers dans la farandole...










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lundi 18 octobre 2010

D'ou vient la dette de la France ?

En voilà une bonne question. La SEULE question que nous citoyens contribuables avons le devoir de nous poser. On en parle comme si c'était quelque chose d'inhérent à notre économie, que l'on avait toujours connu un déficit ou des dettes. Autant le dire tout de suite, la dette française n'existe que depuis 1974 soit un après l'adoption par Pompidou de la loi Giscard du 3 janvier 1973 réformant la Banque de France comme le confirme ce papier publié sur le site d'informations alternatives le Grand Soir. Plus particulièrement son article 25 qui stipule : "le Trésor Public ne peut être présentateur de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France". En d'autres termes, cet article interdit à la Banque de France de faire crédit à l'Etat, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts ; alors qu'avant cette loi quand l'Etat avait besoin d'argent, il se tournait vers la Banque de France, qui lui appartenant, lui prêtait sans intérêts. Cette décision ramène à une "privatisation de l'argent" et ramène la nation au même rang que n'importe lequel de ses citoyens. Même Marine Le Pen (pour qui je n'ai aucune affinité particulière) l'explique de façon concise et précise. Au fait saviez-vous que Pompidou était fondé de pouvoir à la Banque Rothschild avant de devenir président ?


D'où vient la dette de la France ?
envoyé par Cyborg_20. - L'info internationale vidéo.

Marine Le pen dénonce la loi Pompidou Giscard Rotshild 1973
envoyé par momol. - L'info internationale vidéo.
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jeudi 7 octobre 2010

C'était il y a trente ans...

Et pourtant cela n'a jamais paru aussi actuel. C'est l'INA qui nous fournit cet incroyable document dans lequel on s'aperçoit que le parti communiste fut un jour souverainiste et protectionniste. A l'époque, le PCF était dirigé par Georges Marchais. Et, surprise, son discours d'alors résonne aujourd'hui curieusement, tant il présageait des dérives actuelles du système. On y parlait déjà de crise. On dénonçait déjà le grand marché qu'on appelait à l'époque marché commun. On se soulevait contre le diktat de la Commission de Bruxelles. On se braquait contre les dérives atlantistes. On se battait contre l'impérialisme, forcément américain. On accusait les hyper profits du capitalisme qu'on ne qualifiait pas encore de financier. On mettait en garde contre la concurrence des pays à bas coûts, à l'époque l'Espagne et le Portugal. On comptabilisait les dégâts de la désindustrialisation en cours. On annonçait la montée d'un chômage structurel à trois millions de chômeurs. On proposait le salaire maximum contre l'explosion des inégalités. On accusait déjà les socialistes de trahison et de tentation d'abandonner les classes populaires pour s'allier avec les milieux d'affaires. On analysait avec précision les débuts de l'offensive néolibérale et de la mondialisation. Finalement Georges Marchais était un visionnaire ! Souvenir, souvenir...

retrouver ce média sur www.ina.fr

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lundi 12 octobre 2009

A qui profite le système...?

Vous connaissez peut-être l'économiste André-Jacques Holbecq. Conscient que le système capitaliste court à sa propre perte, il a théorisé une proposition de modèle économique alternatif : l'écosociétalisme. Parmi ses propositions, celle qui semble la plus importante est que la Nation doit reprendre, en tant que droit régalien, celui d'émettre la monnaie sans intérêts dont elle a besoin pour son développement contrairement à ce qui se passe depuis 1973. Pour expliquer l'importance d'une telle mesure, il a donné une interview faisant suite à la publication de son dernier ouvrage sur la dette de la France et qui en profite. Ecoutez ce monsieur. Il a des propos clairs, précis et facilement assimilables par tout le monde.


La dette publique, une affaire rentable
envoyé par AtoumX2. - L'actualité du moment en vidéo.
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lundi 28 septembre 2009

Trahison...

On nous parle presque quotidiennement de la dette de la France, de son déficit et des intérêts versés pour le financer. Mais de quand date cet état de fait et pourquoi l'a t-on mis en place ? 1973 ! C'est l'année précise durant laquelle Georges Pompidou, ex-dirigeant de la Banque Rothschild, a plombé la France en obligeant l'Etat à emprunter auprès des banques privées plutôt qu'auprès de la Banque de France.

Il n'est pas besoin d'être un grand économiste pour s'apercevoir que cette loi a fait considérablement augmenter la dette dans la mesure où l'argent prêté produisait désormais des intérêts pour le plus grand profit des groupes bancaires. C'est d'ailleurs ce que confirme cet économiste dans la vidéo ci-dessous qui dénonce l'aberration d'une telle loi votée dans le seul intérêt des banquiers.

Ainsi, de plus en plus de contribuables s'aperçoivent de cette supercherie et laissent éclater leur colère : "L'interdiction faite à l'Etat d'emprunter directement à sa banque centrale, date de 1973. C'est un décret signé par Pompidou et Giscard. Le traité de Maastricht n'a fait que prolonger ce choix qui s'était étendu à l'Europe entre-temps. Ce choix politique, étonnant, faisait suite à la sortie du système de Bretton Woods par les Etats-Unis et l'instauration des taux de changes flottant entre monnaies (ce qui permettait donc de spéculer sur celles-ci). Depuis lors, l'Etat français, au lieu d'emprunter sans intérêt doit émettre des obligations sur les marchés financiers à 4,5% de taux d'intérêt, mais le calcul exact semble plutôt compliqué.
Le plus savoureux, c'est qu'au service de la dette de l'Etat, il est écrit que ceux qui souscrivent à ces obligations sont dispensés d'impôt pour ces sommes prêtées ! Entre 1980 et 2006, la France a payé 1.200 milliards d'euro d'intérêt, une somme identique à l'accroissement de la dette dans cette période. Donc, toute la rhétorique de la dette n'est qu'un leurre culpabilisant. Sans cette loi signée par Pompidou et Giscard en 1973, et prolongée par la suite par Maastricht, il n'y aurait tout simplement pas de dette".

A ce propos, voici le site internet de Giscard, au cas où vous souhaiteriez obtenir des éclaircissements...


DICTATURE des BANKSTERS Maastricht Art 104 Lisbonne Art 123
envoyé par samsamsong. - L'actualité du moment en vidéo.
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