En aparté...

Cela devait rester confidentiel et pourtant... Toute la presse a pu entendre des propos "off" énoncés lors du dernier sommet du G20 à Cannes entre notre "omniprésident sauveur du monde" et Barack Obama. Accrochez-vous ! Cela décoiffe ! C'est un papier publié sur le site Arrêt sur Images qui nous en donne la teneur. Reprochant à Nicolas Sarkozy d'avoir accepté l'adhésion de la Palestine au sein de l'UNESCO (voir par ailleurs), ce dernier s'est justifié en "attaquant" le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou. "Je ne peux plus le voir. C'est un menteur a lancé Sarkozy. Tu en as marre de lui, mais moi, je dois traiter avec lui tous les jours a rétorqué Obama...". Incroyable scène de la diplomatie mondiale où pour une fois, les masques tombent... En effet, c'est du lourd notamment quant à la position américaine. Obama est bien le "caniche" de Tel Aviv : il doit traiter avec les Israéliens tous les jours. Il est leur obligé... C'est certainement pour cette raison qu'il a déjà averti ses alliés (les Israéliens y compris...) que les Etats-Unis attaqueraient l'Iran avant la fin de l'année 2012 comme nous l'enseigne cet article publié par le site Infowars. A moins que Téhéran ne décide de stopper son programme nucléaire... Toujours est-il que ce type d'informations résume bien la situation actuelle et celle qui prévaudra demain. Il n'empêche que l'on aurait aimé que les journalistes présents à Cannes continuent leur enregistrement. On en aurait certainement appris de bien belles sur leur "allié éternel"...

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Guerre imminente...?

Ce n'est rien que de dire que la tension est à son comble au Proche-Orient et même aux portes de l'Europe. Entre l'Iran, la Turquie et Israël. Autant dire qu'une guerre entre ces trois pays entraînerait par le jeu des alliances très vraisemblablement un conflit mondial dont personne ne peut dire comment il se solderait. Toujours est-il que l'administration israélienne veut définitivement régler son compte à Mahmoud Ahmadinejad comme le rapporte cette dépêche AFP reprise par le site belge La libre Belgique. Envers et contre tous les généraux de Tsahal et du Mossad, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou et son ministre de la Défense Ehud Barak sont favorables à des frappes contre les installations nucléaires iraniennes. Il est hors de question pour eux que l'Iran puisse de près ou de loin pouvoir accéder au nucléaire. Sauf que si l'état hébreu se lançait dans cette hasardeuse opération, le Premier ministre turc a averti qu'il ne laisserait pas faire. D'autant que ce dernier a toujours en tête l'arraisonnement de la flottille humanitaire envoyée par la Turquie à Gaza... Parions que cela va barbouzer sec dans le coin dans les semaines qui viennent...

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Chaud bouillant...

Quand les difficultés économiques rencontrent les problèmes géopolitiques, cela peut très rapidement dégénérer et donner une situation explosive. C'est en tout cas ce que l'on ressent quand on voit la situation au Moyen Orient. Notamment en ce qui concerne celle d'Israël. Déjà tancé cette semaine par le Premier ministre turc (voir par ailleurs), l'état hébreu vient d'être agressé sur le sol égyptien. Comme le rapporte cet article publié par le Parisien, la journée de hier et la nuit dernière furent particulièrement agitées du côté du Caire. Alors que les Egyptiens ont bouté Moubarak hors du pouvoir il y a quelques mois à peine, ils s'aperçoivent avec horreur que ses remplaçants n'ont quasiment rien fait pour assurer une démocratie et un mieux être général. De quoi être fous furieux et en vouloir à la terre entière. Notamment aux Israéliens. Il faut dire que les relations entre les deux "ennemis d'hier" ont pris un sérieux "coup de froid" depuis la mi août comme l'a souligné l'hebdomadaire Paris Match. A cette époque, l'armée israélienne (dans toute la retenue qui la caractérise...) n'a rien trouvé de mieux que de confondre policiers égyptiens et terroristes islamistes. Résultat : plusieurs morts et la colère de l'état arabe qui rappela son ambassadeur. Depuis cette date, c'est à fleuret moucheté entre les deux pays. C'est certainement cette raison qui a provoqué l'étincelle de hier soir et l'acharnement des manifestants du Caire contre l'ambassade israélienne... Et que dire de la dernière intervention d'Alex Jones qui nous fait part de sa plus grande inquiétude quant au déclenchement de la Troisième Guerre mondiale dans les semaines qui viennent. Force est de constater qu'il semble persuasif quand il met bout à bout toutes ces petites dépêches diplomatiques parfaitement ignorées par nos médias mainstream... et qui nous annoncent une catastrophe à venir. D'après lui, nos Maîtres ont trouvé "judicieux" de créer un chaos mondial au Moyen Orient et en Afrique du Nord afin que les "peuples occidentaux" se soudent derrière leurs gouvernements, les empêchant par la même de se révolter contre l'effondrement économique en cours... Comment est-elle la situation ? Explosive...

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Guerre froide...

De quel endroit du monde viendra la prochaine guerre ? Quels en seront les belligérants ? Autant de questions que l'on est en droit de se poser tant la tension diplomatique est forte en ce moment à travers le monde. Notamment en Méditerranée... On savait l'état d'Israël prompt à vouloir assurer sa sécurité par tous les moyens y compris ceux en violation du droit international. On connaissait sa volonté expansionniste à travers l'implantation de nouvelles colonies toujours plus nombreuses. Bref, on se rendait bien compte du virage dangereux qu'avait pris ce pays dans sa politique diplomatique. Sauf que cette fois ci, les Turcs viennent de dire c'est fini ! Le torchon brûle entre Tel Aviv et Ankara. Recep Tayyip Erdogan a toujours en travers de la gorge l'attaque de l'année dernière contre la "flotille de la liberté", ces bateaux à destination de Gaza qui avaient été pris d'assaut par Tsahal entraînant la mort de citoyens turcs. Il est d'autant plus marri que les Israéliens ne veulent toujours pas s'excuser. Du coup, entre les deux pays c'est l'escalade ! Comme en témoigne cet article publié par le Monde, le Premier ministre turc est à nouveau monté au créneau en affirmant que la marine turque escortera désormais les bateaux turcs acheminant de l'aide humanitaire vers Gaza. De plus il met en garde l'état hébreu contre sa volonté d'exploiter seul les richesses pétrolières et gazières de la mer Méditerranée... Bref, nous ne savons pas d'où sera allumée l'étincelle qui donnera lieu au prochain embrasement général mais nous sommes certains que Erdoggan et Netanyahou feraient de parfaits pyromanes...

Turquie-Israël : la tension croît encore par euronews-fr

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En attendant le krach...

C'est la journée de tous les dangers. Suite à la dégradation de la note des dettes souveraines américaines par l'agence Standard and Poor's, tous les cambistes du monde redoutent cette journée de cotations. Il faut dire qu'ils ont de quoi avoir peur tant la journée de hier (un dimanche pourtant) a vu les évènements se bousculer. C'est le site Wikistrike qui nous donne le compte-rendu heure par heure de cette journée pas toute à fait comme les autres. Le principal fait reste quand même l'effondrement de la bourse d'Israël qui a perdu 7% à la clôture. Ce qui a fait dire à l'ancien patron de la Fed, Alan Greenspan, à propos d'un éventuel krach boursier à venir : "Difficile à dire. Le seul test que nous avons c'est le marché israélien et il a chuté". En attendant cette journée de tous les dangers, les indignés israéliens continuent d'occuper l'avenue Rothschild de Tel Aviv avec tentes et duvets pour protester contre la vie chère. Il parait que Benjamin Netanyahou promet des changements. Mais on sait bien que les promesses politiques par ces temps d'austérité ne veulent plus rien dire. En Israël comme ailleurs...

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Dangereux récidiviste...

"La situation est suffisamment compliquée pour ne pas en rajouter". Ce simple adage populaire qui parle à n'importe qui, semble étrangement "muet" pour notre philosophe au torse imberbe. Une fois de plus, Bernard Henri Levy a fait parler de lui, une fois de plus pour mettre la France en difficulté. Déjà considéré comme persona non grata de l'autre côté de l'Atlantique suite à ses prises de positions sur l'affaire DSK (voir par ailleurs), voilà qu'il semble avoir souffert d'un sérieux coup de chaud dans le désert du Moyen-Orient. Que s'est-il passé ? On sait que BHL a été le principal artisan de l'entrée en guerre des forces françaises en Libye en "forçant la main" des diplomates, notamment celle d'Alain Juppé, le ministre des Affaires étrangères. Sur sa lancée, ce sioniste patenté a pété tout simplement les plombs en allant affirmer à Benjamin Netanyahou, le Premier ministre israélien, que le Conseil de transition libyen avait comme premières priorités : la justice pour les Palestiniens et la sécurité d'Israël comme le révèle cet article publié par le Point. "Le futur régime libyen entretiendra des relations normales avec les autres pays démocratiques, y compris avec Israël". A la lecture de cette dernière phrase, tous les Arabes de la région ont senti la chaleur monter sous le keffieh. Au point que le vice-président du Conseil de transition, Abdelhafid Roka, a dans la foulée apporter ce démenti ferme repris par le site Echorouk Online. "Je nie fermement et considère comme infondée la récente déclaration effectuée par l'écrivain et philosophe Bernard-Henri Levy au nom du Conseil de la transition nationale libyen". On se disait aussi... Bref, personne ne lui a demandé de dire quoi que ce soit, encore moins de parler d'Israël comme le note ce papier publié par le site Oumma.com. De quoi apporter de l'eau au moulin de Pascal Boniface qui le traite prince des faussaires (voir par ailleurs). Ironie de la programmation télé et de l'actualité, ce dernier était l'invité de Laurent Ruquier dans l'émission "On n'est pas couché". Le monde évolue : sous la lumière des projecteurs était bien présent un intellectuel. Et pour une fois ce n'est pas celui que l'on croit...

Boniface Vs Zemmour & Naulleau [POL] ONPC 180611... par peanutsie

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Bruit de bottes...

La révolution égyptienne entraîne des conséquences dans tout le Moyen Orient. Alors que Moubarak vient de quitter le pouvoir, la question posée par ce départ est de savoir si l'Egypte ne va pas remettre en cause son traité de paix avec l'état d'Israël. En tout cas, Tsahal (l'armée israélienne) s'y prépare. Elle vient de changer de patron d'après cet entrefilet publié par Xinhua et son budget va être augmenté de 200 millions d'euros en 2011 comme le dévoile ce papier publié par le site Israel Valley. En effet, le gouvernement de Benjamin Netanyahou serait sur le point d'accorder une nouvelle rallonge budgétaire à l'armée israélienne portant son budget à près de 15 milliards de dollars pour 2011. "La semaine dernière, plusieurs responsables de l'état-major israélien ont publiquement exprimé leur inquiétude face à une possible détérioration des liens avec les autorités du Caire. 'Si un régime hostile prend le relais en Egypte, l'armée devra se restructurer et déployer des forces adéquates' a précisé un haut gradé". Bref, on se prépare comme si...en espérant que non...

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Fin du gel des colonies...

Tous les efforts d'Obama n'ont servi à rien ou presque. Dès la fin du gel de la colonisation, les colons juifs ont recommencé à construire en Cisjordanie. Leur premier bâtiment : une crèche (tout un symbole !). Comme nous l'annonce le quotidien israélien Ynet, ils en ont profité pour apostropher le président américain sous le sobriquet "Barack Hussein Obama". "Mesika used the American president's second name to slam him for demanding that Prime Minister Benjamin Netanyahu continue to freeze. 'From this stage I turn to Hussein Obama and tell him, The Land of Israel belongs to the people of Israel'". Pour les optimistes qui pensaient que la paix allait pouvoir progresser dans cette partie du monde, ils en sont pour leurs frais. Quant aux autres, ils peuvent se faire du mouron...

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Acte criminel...

Voilà une nouvelle qui ne va pas arranger les affaires de la diplomatie israélienne, ni ses rapports avec la Turquie. Comme nous en informe cet article du Quotidien du Peuple, le Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU vient de reconnaître l'entière responsabilité de l'Etat hébreu lors de l'attaque de la flottille "Freedom for Gaza" au printemps dernier. Il juge même cette opération complètement illégale. "Les trois membres de la mission estiment qu'il y a suffisamment de preuves pour entraîner des poursuites criminelles. Ils regrettent que le gouvernement israélien ait refusé de coopérer avec la mission". Parions que malheureusement les auteurs de ces crimes n'auront jamais la moindre sanction. Quant à l'ONU, il faudra bien un jour admettre qu'elle fait deux poids, deux mesures entre deux pays qui foulent allègrement le droit international et commençant tous les deux par la même lettre : le I comme Israël, Iran et impunité...

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Représailles israéliennes...

Le ton monte au Moyen Orient. Les Israéliens l'ont très mauvaise et sont particulièrement en colère contre les Russes. La raison de ce courroux : la volonté de Poutine de respecter un accord d'armement avec la Syrie datant de 2007. Les Russes s'engagent de livrer aux Syriens des missiles de croisière P800. Comme nous le fait savoir ce papier du quotidien YNet News, Israël menace d'armer tous les adversaires de la Russie en représailles. Il faut dire que l'état hébreu a peur de voir ses armes aux mains du Hezbollah. Il est à noter qu'après la décision des Israéliens de s'équiper en chasseurs américains F35, cette nouvelle course aux armements a de quoi inquiéter le reste de la communauté internationale. Autant dire que la "région" ressemble de plus en plus à une poudrière...

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