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mercredi 24 août 2011

Papy fait de la résistance...

La vieillesse est un naufrage ! A n'en pas douter, cet adage va comme un gant à l'ancien président de la Fed Alan Greenspan. La preuve : ses dernières sorties dans la presse pour nous expliquer la situation économique aux Etats-Unis. Pour lui, cela ne fait aucun doute : si les Etats-Unis en sont là, c'est de la faute de la Zone euro comme l'a noté cet article publié dans la Tribune. D'après lui, l'incertitude régnant au niveau des banques européennes a de graves répercussions de l'autre côté de l'Atlantique. Il a même ajouté que "l'euro est en train de se décomposer". Il faut avouer que ses déclarations nous ont bien fait sourire surtout venant de la part de l'un des principaux instigateurs de la déréglementation. Pas un mot sur les subprimes qu'il a pourtant encouragés, par une phrase sur la faillite de la banque Lehman Brothers, pas une tirade sur l'escroquerie de Madoff. Rien ! Juste l'euro comme origine de tous les maux. Sauf que si l'euro connait des problèmes du fait de l'endettement excessif des états, ce n'est rien par rapport à la situation du dollar qui n'en finit plus de s'effondrer (la hausse continue du prix de l'once d'or en étant là pour le prouver...). Mais bizarrement, pour Monsieur Greenspan, il n'y a là aucun problème comme l'a stipulé cet article publié par le site CNBC. Ne disait-il pas dernièrement sur la chaîne de télévision NBC que les Etats-Unis peuvent avoir toutes les dettes qu'ils veulent, ils ne seront jamais en faillite car ils peuvent imprimer tout l'argent dont ils ont besoin pour rembourser... Toc toc Monsieur Greenspan. Il est l'heure de prendre vos gouttes et d'aller vous coucher. Cela vous évitera de raconter des inepties plus importantes que vous. Nous ne sommes pas certains que les créanciers de votre pays acceptent encore longtemps votre argent virtuel en paiement de biens bien réels... Quand on vous dit que la vieillesse est un naufrage...

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lundi 8 août 2011

En attendant le krach...

C'est la journée de tous les dangers. Suite à la dégradation de la note des dettes souveraines américaines par l'agence Standard and Poor's, tous les cambistes du monde redoutent cette journée de cotations. Il faut dire qu'ils ont de quoi avoir peur tant la journée de hier (un dimanche pourtant) a vu les évènements se bousculer. C'est le site Wikistrike qui nous donne le compte-rendu heure par heure de cette journée pas toute à fait comme les autres. Le principal fait reste quand même l'effondrement de la bourse d'Israël qui a perdu 7% à la clôture. Ce qui a fait dire à l'ancien patron de la Fed, Alan Greenspan, à propos d'un éventuel krach boursier à venir : "Difficile à dire. Le seul test que nous avons c'est le marché israélien et il a chuté". En attendant cette journée de tous les dangers, les indignés israéliens continuent d'occuper l'avenue Rothschild de Tel Aviv avec tentes et duvets pour protester contre la vie chère. Il parait que Benjamin Netanyahou promet des changements. Mais on sait bien que les promesses politiques par ces temps d'austérité ne veulent plus rien dire. En Israël comme ailleurs...

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lundi 31 janvier 2011

Coupables et responsables...

Coupables en 2008, ils seront responsables de la prochaine tempête. Telle est la sentence rendue par la commission d'enquête parlementaire américaine à propos de la crise et de son déclenchement. Comme le note cet article publié par le quotidien les Echos, Alan Greenspan et la banque Goldman Sachs sont les principaux responsables de ce qui s'est passé. Et de ce qui se poursuit toujours. "Bien que ses conclusions soient affaiblies par la publication en annexe d'opinions dissidentes de quatre de ses membres républicains, le rapport n'en représente pas moins un réquisitoire accablant pour les régulateurs américains (Fed, SEC,...) et les principales firmes de Wall Street, l'ancien président de la Fed, Alan Greenspan étant désigné comme l'un des principaux responsables de 30 années de dérégulation financière sauvage". Tout le monde en prend pour son grade dans ce rapport et pourtant rien n'a changé puisque le Figaro nous annonce que le patron de la Goldman Sachs vient de tripler son salaire alors que les profits de la banque chutent. Quand les actionnaires des banques seront eux aussi caution des dettes sur leurs biens personnels, ils seront comme par magie beaucoup plus regardants...

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dimanche 23 janvier 2011

Gâteux...?

Mais que lui est-il donc arrivé ? Un ravage de la maladie d'Alzheimer ? Des remords ? On ne le sait pas, toujours est-il que l'ex-patron de la Fed a fait une déclaration fracassante auprès de la chaîne de télévision Fox News. Comme nous en informe ce papier publié par Zerohedge, Alan Greenspan s'est prononcé pour le retour à l'étalon-or. Incroyable revirement de la part d'un homme qui par sa politique des taux bas et de l'argent facile a été le principal artisan de l'effondrement économique que les Américains connaissent. "Après Robert Zoellick, Warren Buffett, Jim Grant, et plus récemment, le président de la Fed du Kansas Thomas Hoenig, c'est désormais Alan Greenspan qui appelle lui aussi au retour de l'étalon-or... 'il y a un nombre d'entre-nous, moi y compris, qui croient fermement que nous étions très bien durant la période 1870 à 1914 avec un étalon-or international...'". Encore plus étonnant : le vieil homme s'interroge aussi sur la nécessité d'une banque centrale. Rappelons qu'il a été quand même en charge de la Fed (la Banque centrale américaine) pendant vingt ans. Bref, il semble bien que ce vieux monsieur n'ait plus toute sa raison. A moins qu'il n'ait quelques remords d'avoir été le patron de la plus célèbre imprimerie du monde et d'en voir actuellement le résultat catastrophique...

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mercredi 12 janvier 2011

Putain...deux ans...

Il n'y a pas qu'en Europe qu'on redoute une crise des dettes souveraines. Du côté des Etats-Unis aussi. Comme le révèle ce papier publié par la Tribune de Genève, Alan Greenspan prévoit une crise de la dette américaine dans les deux ans. L'ancien patron de la banque centrale américaine redoute cette crise si la classe politique ne prend pas rapidement des mesures drastiques pour réduire l'endettement du pays. "La Commission nationale pour la responsabilité et la réforme budgétaire a recommandé des mesures très controversées, notamment à gauche, comme des coupes dans le budget de la Sécurité sociale et de programmes d'assurance santé fédéraux, et la suppression de 200.000 emplois publics. Le plan de la commission recommande une augmentation de 15 cents par gallon (3,78 litres) d'une taxe sur l'essence. Il propose d'éliminer des exonérations fiscales pour les entreprises et d'imposer un plafond aux dépenses militaires, des mesures susceptibles d'irriter la droite". Bref, le Congrès va devoir faire un douloureux choix : soit il relève le plafond des dettes américaines et ressort la planche à billets (quitte à provoquer une hyperinflation qui balayera tout sur son passage), soit il prend des mesures d'austérité comme envisagées par la Commission (et le pays tombe immédiatement en récession). L'ironie de la chose est qu'il faudra certainement faire les deux tant la situation est catastrophique. Mais le pire c'est que ce sera inutile mais ne le dites pas trop fort aux Européens, ils pensent que l'enfer c'est chez eux...
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lundi 14 septembre 2009

Le responsable de la crise : c'est lui...

Encore un excellent papier du journaliste Ambrose Evans-Pritchard dans le Telegraph de Londres. Il l'a titré : "Lehman Brothers n'est qu'une note de bas de page dans la crise globalisée Est-Ouest". Sous entendu, il reste un livre entier à lire... En tout cas, il identifie le principal responsable de cette récession comme étant Alan Greenspan, l'homme de l'argent gratuit... Et il conclut sur un air de déjà entendu notamment sur ce blog (voir par ailleurs l'exemple de Hewlett Packard) en affirmant à juste titre que les résultats financiers mirobolants des entreprises ne servent à rien tant qu'il n'y a que des licenciements... C'est donc une illusion de reprise.


Alan Greenspan n'est pas pour rien dans la crise
envoyé par andrebercoff. - Découvrez des webcam de personnalités du monde entier.
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