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lundi 16 mai 2011

Complot...ou pas...

Au lendemain de l'arrestation de Dominique Strauss-Kahn (voir par ailleurs), c'est un véritable séisme qui s'est abattu sur la classe politique française. Sans surprise, les partisans du patron du FMI ne jurent que par le complot. Quand à tous les autres, ils en appellent à la modération et attendent patiemment d'avoir plus de nouvelles. On va essayer de leur en donner. Que s'est-il donc passé hier dans cette chambre du Sofitel de Manhattan ? Une espionne payée pour faire tomber DSK, un coup de folie de ce dernier comme il semble en être coutumier ? Faisons le point. La police reproche à DSK une séquestration, un harcèlement sexuel et une tentative de viol (rien que cela...) sur une jeune femme de 32 ans employée par l'hôtel. C'est quoi cette tentative de viol ? D'après les médias français, une fellation forcée... Est-ce vraiment tout ? Pas si sur d'après cet article publié par le New York Post dans lequel Strauss-Kahn est clairement mis en cause pour avoir essayé de "sodomiser" la victime. Suite à cette agression, DSK est parti à l'aéroport pour embarquer dans un avion en destination de Paris en oubliant quelques affaires et un portable. D'après ce papier publié par le Wall Street Journal, c'est DSK lui même qui aurait rappelé l'hôtel pour savoir si on ne l'avait pas retrouvé. C'est à ce moment que la police a pu le localiser. Bref, on l'a compris... Si l'on sent la presse française gênée aux entournures, il n'en est rien de la presse américaine qui ne s'embête pas à utiliser le conditionnel. Pour elle, il est coupable comme en témoigne ce papier publié par le New York Daily News ou cet autre publié par le site CNN. Complot ou pas, un colosse aux pieds d'argile vient de tomber...

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mercredi 10 novembre 2010

Mode d'emploi...les tickets restos...

Il était une fois une société qui cherchait sa machine à cash. Eurêka ! Dans un monde où l'argent est roi et où il faut donner un peu de social, voici le chèque restaurant... Peu importe les marques, comment cela se passe ? Je vends mes chèques le 1er du mois. J'ai donc ma trésorerie. Le ticket est payé par les deux parties : employeurs et employés. C'est donc une espèce de salaires. L'employé touche ses tickets du mois avec son salaire du mois dernier. Une fois le ticket échangé, le commerçant fait valoir ses droits auprès de la société émettrice, afin de récupérer son argent. Durant tout ce parcours, la première société a joué son rôle de banquier en plaçant les fonds initialement reçus. Question : pourquoi l'employeur ne donne t-il pas sa part de cotisation en cash pour laisser faire l'employé ce qu'il veut de son argent ? Pourquoi en France, sommes-nous obligés de déguiser des salaires ? Pourtant ce système ne produit aucune richesse, il canalise le flux de monnaie pour le donner sous perfusion à la restauration. Personnellement je préfère être payé en espèces plutôt qu'en ticket resto. Souvenez-vous en...

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