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vendredi 11 novembre 2011

Le mot tabou...

Alors que notre Premier "sinistre" vient d'annoncer un nouveau plan d'austérité pour la France (voir par ailleurs), celui-ci n'est déjà plus d'actualité. C'est en substance ce qu'a dévoilé le Commissaire européen Olli Rehn. Comme le souligne ce papier publié par le Monde, Bruxelles veut de nouvelles mesures de rigueur pour l'année 2013. "Les mesures prises sont certes importantes, mais pour ce qui concerne 2013, des mesures supplémentaires sont nécessaires pour corriger le déficit public excessif du pays a estimé Monsieur Rehn, qui a exhorté Paris à annoncer le plus vite possible ce qu'il entend faire pour que son déficit reste conforme aux objectifs de l'Union Européenne"... Bref, vous l'avez compris : la France est engagée sur le même chemin cahoteux que celui qui a conduit d'abord la Grèce et maintenant l'Italie dans les "affres de la faillite". En d'autres termes, nous sommes à la botte de fous furieux qui n'ont qu'un plan concerté, délibéré et méthodique : celui de détruire l'éducation, la santé, la retraite et le progrès.. Plus que jamais, le capitalisme financier véreux est à l'oeuvre pour anéantir le modèle social français et consolider ses immenses profits. Alors quid maintenant ? Parions que l'Union Européenne sera entendue et un nouveau plan devrait voir le jour dès les élections présidentielles passées (si les marchés en laissent le temps...). Une bien mauvaise nouvelle pour notre célèbre Jean-Pierre Pernaut qui ne sait plus comment "contorsionner" ses propos pour faire plaisir à notre omniprésident, pour qui il n'y a pas et il n'y aura jamais de rigueur...


Cachez ce plan de rigueur que JP... par LePostfr
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mardi 8 mars 2011

Pour des clopinettes...

"Tout le monde travaille pour des bananes"... Même si la réalité n'est pas encore celle-ci, on s'en approche de plus en plus. Et ce n'est pas la dernière sortie du commissaire européen chargé des affaires économiques, le dénommé Olli Rehn, qui va nous rassurer. Comme le révèle ce papier publié par la Tribune, Bruxelles souhaite désormais contrôler le coût du travail de chaque état membre. En résumé, la Commission Européenne veut niveler le salaire minimum dans chaque état de l'Union Européenne. Quand on parle de nivellement, il faut bien voir que c'est par le bas. C'est un document qui doit être approuvé le 11 mars prochain lors du sommet des dirigeants de la Zone euro qui met les pieds dans le plat. "Le document précise que le coût unitaire du travail devra être mesuré et comparé à ceux des autres pays de la Zone euro et de leurs partenaires commerciaux". Bref, une fois de plus un pan de notre souveraineté nationale vient d'être transféré à des technocrates non élus. Ceux-ci mettront des bonnes et mauvaises notes aux pays en fonction de leur dérégulation. Un pays comme la Roumanie avec son salaire de misère et ses 60 heures de travail hebdomadaire sera certainement mieux noté qu'un pays qui défend le droit des salariés et qui les "protège". Autant dire qu'à la veille des élections de 2012, tous ceux qui vous promettront une amélioration du pouvoir d'achat vont vous mentir car ils n'auront plus le pouvoir de le mettre en oeuvre. A moins qu'ils se décident comme le propose l'UPR, de quitter l'Union Européenne pour que l'on puisse restaurer notre souveraineté... Plus que jamais, il est temps que les ouvriers prennent le pouvoir et éjectent ces financiers qui ne pensent qu'à les exploiter jusqu'à la moelle...


Quand les ouvriers prennent le pouvoir
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jeudi 17 février 2011

Adieu à la souveraineté des Etats...

L'Union Européenne développe ses tentacules de façon de plus en plus poussée. Au point que le site Libération vient de publier un papier au titre interrogatif : "la souveraineté économique des Etats bientôt enterrée ?". En tout cas, tout le laisse supposer. Notamment cette journée du 12 janvier dernier. Ce jour là, la Commission Européenne proposa des mesures "révolutionnaires" exprimées dans les bouches de José Manuel Barroso, d'Olli Rehn et de Laszlo Andor. Petite devinette : quel est le point commun entre ces trois commissaires ? Ils ont tous fait leurs études aux Etats-Unis (normal... l'Union Européenne est une construction américaine !). Du coup, leur seul credo : une bonne dose d'ultra-libéralisme sous nos contrées européennes. "Avec l'examen annuel de la croissance, la construction européenne franchit une nouvelle étape. Nous entendons innover et améliorer de manière significative la gestion et la coordination des économies interdépendantes de l'Union Européenne. Il s'agit là de l'essence même de l'Union". En clair et en décodé : les Etats membres ne pourront plus opérer des choix économiques nationaux. La première phase de cette volonté a donc eu lieu le 12 janvier avec "l'examen annuel de croissance" , ce qui signifie mettre en place un cadrage des différentes décisions gouvernementales. Cette feuille de route sera adoptée en mars prochain. "Une fois approuvée par le Conseil Européen, les Etats membres traduiront ses recommandations dans leurs politiques et leurs budgets nationaux". Puis soumission du budget et des réformes structurelles de chaque Etat à la Commission et avalisation par le Parlement. Donc voici le menu en détails des mesures "révolutionnaires" voulues par nos "Américains" : réformer les systèmes de pension (en langage libérale, cela veut dire faire appel aux assurances privées car il faut faire vivre les Vampires), concilier sécurité et flexibilité (et revoilà le CNE, le CPE et autres contrats permettant aux entreprises d'éviter de se trouver devant les Prud'hommes), exploiter le potentiel du marché unique (bonjour l'inondation de produits venant de partout et de nulle part sachant que nous Français, nous n'exportons quasiment rien !), attirer des capitaux privés pour financer la croissance (bienvenue aux obligations européennes soit un étage de plus dans le mille feuilles de dettes que nous devons déjà). Il faut bien avouer que ces mesures sont révolutionnaires mais au sens propre du terme. Ah ! on oubliait : "Bruxelles insiste sur les coupes à opérer dans les budgets sociaux, ainsi que sur de nouveaux reculs de l'âge de la retraite (en suggérant d'indexer ce dernier sur l'espérance de vie)". A cela s'ajoute augmentation de la TVA afin de faire baisser les cotisations des entreprises. Ouf ! Surtout ne comptez pas trop sur le gouvernement français pour nous défendre. Tant Fillon que Wauquiez ont déjà accepté... Plus que jamais, nous suggérons à nos lecteurs de regarder de plus près ce que propose François Asselineau sur le site de l'UPR, le seul parti qui peut nous libérer de toutes ces chaînes mises en place de façon délibérée par tous ces mondialistes de pacotille...L'union du Peuple pour sauver la République...


Barroso : l'Europe gouvernée par les USA
envoyé par Bonzou. - L'info internationale vidéo.
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dimanche 24 octobre 2010

La Grèce fera faillite quoiqu'il arrive...

Quand la Grèce revient sur le devant de la scène. On pensait que la situation de ce pays s'était stabilisée (on n'entendait plus parler de rien dans nos médias). On avait tort. Quoiqu'il arrive la Grèce va faire faillite (ou défaut pour le politiquement correct). C'est la nouvelle prévision de Nouriel Roubini donnée ce dimanche au quotidien grec Kathimerini. Et dire que l'Union Européenne et le FMI avaient soi-disant tout mis en place pour qu'une telle éventualité ne se produise pas. Selon lui, "il est impossible pour la Grèce de survivre avec une dette atteignant 150% du PIB". En cela, il rejoint le commissaire européen aux Affaires Economiques, Olli Rehn, qui demanda au gouvernement grec des mesures d'austérité supplémentaires la semaine dernière. Demande qui fut refusée par le premier ministre grec, George Papandréou qui estime que "tout le monde en Grèce comme ailleurs doit comprendre que les sacrifices faits par le peuple grec sont sans précédent". Autant dire que le plan de soutien accordé par l'ensemble des Européens au printemps dernier n'a servi à rien et que la Grèce continue d'être un puits sans fond. Au fait, qui va payer pour les filiales grecques des banques françaises ?


La faillite de la Grèce, débat 1/2
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La faillite de la Grèce, débat 2/2
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