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lundi 17 octobre 2011

Victime ou bourreau...?

Toujours dans la rubrique "fait divers directement issu de la crise", que dire de cette prise d'otages réalisée ce matin à l'agence Pôle Emploi de Paris Beaumarchais. Comme le souligne cet article de Rue 89, un informaticien de 45 ans, las de chercher un job en vain n'a rien trouve de mieux que de prendre la directrice et le sous-directeur de cette agence en otages. Ayant pris soin de rendre public son acte auprès du rédacteur en chef du site d'informations, ce dernier n'a pas eu le choix que de s'entretenir avec le kidnappeur. Ses motivations : pour le moins troubles. Certes, il ne trouve pas de boulot mais il montre aussi une certaine hostilité à l'égard des groupes sionistes présents en France. Bref, ses revendications sont pour le moins obscures. Après la réception d'un manifeste d'une vingtaine de pages par mail et de deux coups de téléphone du ravisseur, celles-ci furent annoncées au JT de 13 heures. De quoi satisfaire le preneur d'otage qui libéra son monde et se rendit...

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mercredi 29 décembre 2010

Solidarité feinte...

Nous sommes le 29 décembre 2010 et cela fait tout juste un an que les journalistes français ont été enlevés en Afghanistan. En cet anniversaire, on aurait pu penser que leurs confrères du Figaro auraient eu envie d'écrire un papier sur eux, voire de simplement de rappeler leur existence. Mais, rien ! Nada ! Il est des jours où l'on se demande vraiment si on appartient à la même planète. Quant aux hommes politiques, ils sont une minorité à seulement connaître leurs noms. Affligeant ! Pour tous ceux qui l'ignorent, leurs noms sont Stéphane Taponier et Hervé Ghesquière. Pour mémoire évidemment...


Otages: Seul 1 député sur 10 connaît le nom de Ghesquière et
envoyé par streetpress. - L'info internationale vidéo.
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vendredi 1 octobre 2010

Ils sont vivants...

On attendait un signe, il est arrivé hier. Comme le souligne cet article du site de TF1, les otages français, enlevés au Niger, sont vivants. Une photo et un enregistrement audio en apporte la preuve. Diffusés par la chaîne de télévision Al Jazeera, ces documents ont redonné espoir aux autorités françaises et à la présidente d'Areva, Anne Lauvergeon, qui a confirmé que son entreprise resterait au Niger malgré les critiques dont elle fait l'objet quant à la sécurité de ses employés. Espérons que cela se passera mieux pour eux que pour le dernier otage français assassiné en plein été suite à une opération militaire ratée...

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