A l'unisson...

Ils nous font vraiment marrer ces socialistes ! Alors que le sommet franco-allemand s'est soldé par des "annonces" en trompe l'oeil (voir par ailleurs), ceux qui aspirent demain à gouverner la France n'ont que le mot "eurobonds" à la bouche. On a pu l'entendre chez François Hollande comme l'atteste cette dépêche AFP, chez Benoit Hamon comme nous l'enseigne cet article publié par le Point, chez Martine Aubry comme le stipule ce papier publié par 20 Minutes, chez Manuel Valls et chez Jean-Louis Bianco comme le montre cet article publié par les Echos. Même le vieux Delors y est allé de son couplet apocalyptique quant à la survie de l'euro du fait du refus de lancement d'obligations européennes comme le note ce papier publié par France Soir. Il est d'ailleurs intéressant de remarquer que ce vieux "sage" (que l'on dit encore socialiste... N'est-il pas le papa de Martine ?) a plus souvent prononcé le mot marché que celui de peuple... Et bien sur le seul responsable (et coupable) n'est autre que notre omniprésident. Pour un peu, ils exigeraient qu'il envoie nos chars Leclerc de l'autre côté de la Ruhr pour faire plier Mutti Merkel. Bref pour ces gens, il n'y a qu'une seule solution. Une unique solution : my name is Bond... Euro Bond ! Allô les Socialistes ? Il y a quelqu'un au bout du fil ? Ils semblent feindre de ne pas comprendre qu'Angela Merkel, chef d'état d'un pays souverain a décidé de protéger son peuple. Quitte à mettre un gros râteau à tous nos européistes de pacotille signant par la même la fin de la monnaie unique européenne. Le plus rigolo, c'est Flamby qui déclare que ce sont "les Français qui choisiront la bonne trajectoire et le bon engagement lors de la campagne présidentielle". Non Monsieur Hollande, ce n'est pas les Français qui vont choisir mais les Allemands. Tenez le vous pour dit... Autant dire que si vous n'avez aucune idée à présenter au peuple pour nous sortir de la m..., il est préférable que vous ne vous présentiez pas. Ni vous ni les autres...

Point presse Benoît Hamon : L'Europe face à la... par PartiSocialiste

2012 : Royal et Aubry s'attaquent à Sarkozy par BFMTV

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L'Evangile selon Martine...(MAJ)

Elle ne manque vraiment pas de culot ! Alors que la France "fêtait" la prise de la Bastille, Martine Aubry est venue nous faire la messe comme le rapporte ce papier publié par le Monde. Elle nous promet que le changement est proche. Mais quel changement ? Un simple changement de personne pour l'application d'une même politique. Celle de l'asservissement pur et simple à l'Union Européenne et à ses lobbys... "Le 14 juillet est une promesse d'égalité, de liberté, de fraternité, de laïcité. Une société où les privilèges de la naissance ne font pas le destin d'une vie. Une société où quelques uns ne décident pas pour tous". Autant de mots qui venant de la bouche de la fille de Jacques Delors, le principal architecte de la construction européenne telle qu'elle est aujourd'hui, nous ont bien fait sourire. Il y en a un qui sourit nettement moins. Il s'agit de François Asselineau qui vient de faire publier sur le site Agoravox un article plein de bon sens qui a le mérite de nous éclairer quant à l'indigence de ces gens là. "A l'occasion du 14 juillet 2011, Madame Aubry vient de mettre en ligne une vidéo de 3'25 qui restera comme une anthologie de l'hypocrisie et des mensonges les plus arrogants qu'une personnalité politique "prétendument de gauche" peut asséner en aussi peu de temps aux Français". C'est en lisant de tels papiers que nous savons que nous avons eu raison de rejoindre les rangs de l'UPR, le seul parti qui souhaite réellement changer les choses afin que la France puisse à nouveau exister et se regarder bien en face...

Mme Aubry se paye à nouveau la tête des Français par StopEurope

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Faiseurs d'euros...

A l'heure où la monnaie européenne est attaquée de toute part par les spéculateurs, il convient de revenir sur son origine. Qui a crée l'euro et pourquoi ? Bref, ce documentaire nous propose un retour éclairant sur la longue négociation qui a permis la naissance de la monnaie européenne. On y apprend que la monnaie européenne est restée longtemps dans les limbes, objet de longues négociations entre les Etats fondateurs. Il n'en de meure pas moins que ce qui frappe dans ce documentaire, c'est le caractère peu démocratique de toute cette élaboration faite dans le dos des peuples. On sait désormais que le Deutsche Mark a été crée avant la constitution, avant le drapeau, avant l'hymne national en 1948. A croire que les banquiers et les Américains s'étaient mis d'accord entre eux avant de l'imposer. Dans le même registre, Jacques Delors avoue comment il a monté son comité spécial euro, sans les ministres des finances mais avec les gouverneurs des banques centrales. Tout est dit sur ce qu'allait devenir l'Europe. Bref un film instructif mais plein de sournoiseries dans sa manière de nous vendre la dictature des banquiers. Pour le peuple, c'est circulez il n'y a rien à voir...

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Même lui n'y croit plus...

Il n'a pas le sourire en ce moment le papa à Martine Aubry. Il faut dire qu'il a de quoi flipper tant son "bébé" (l'euro) est en train de se noyer sous les coups de boutoir des spéculateurs. Mais d'après Jacques Delors, les principaux fautifs sont les états de l'Union eux-mêmes. Comme nous le révèle cet article publié ans le Monde, l'ancien président de la Commission Européenne ne décolère pas contre les Etats membres qui ont refusé à de nombreuses reprises les transferts de souveraineté au profit de l'Union Européenne. Il juge que "les 16 membres de la Zone euro n'ont pas été capables d'une vraie coopération. Ils ne réalisent pas qu'ils ont un bien commun à gérer : l'euro". Il est fort pour vilipender les vilaines nations qui ne veulent pas mourir ! Préconisant la création d'obligations européennes et la mise en place de différents fonds (en résumé : rajouter de la dette à la dette...), il s'en prend aussi aux banques "qui ont reçu 4.589 milliards de dollars d'euros" et qui continuent de faire la loi. On fait quoi avec plus de 4.500 milliards ? Bref, il prédit le pire : "si l'Europe se laisse aller, traversée comme elle l'est aujourd'hui par ces effluves populistes et nationalistes, c'est le déclin assuré, même si nos gouvernements ne s'en rendent pas compte. Et même le meilleur élève de la classe européenne (l'Allemagne) y laissera des plumes...". Au moins, une chose est certaine c'est que l'oligarchie tremble sur ses bases pour en arriver à se découvrir de cette façon. Pour qu'on nous réserve le joker Delors, c'est que le feu attaque désormais la charpente. On sera aux premières loges pour assister à leur "bouquet" final...

Jacques Delors Europe et dettes souveraines
envoyé par LesMDC. - L'info video en direct.

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