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mercredi 26 octobre 2011

Derrière chez moi...

Devinez ce qu'il y a ? Non pas un petit bois comme dans la comptine mais un Cora. Plein de Cora même... Ces hypermarchés à la taille gigantesque et aux prix délirants. Pourquoi parlons-nous de ces magasins aujourd'hui ? Car au pays des Vampires de la grande distribution, cette enseigne vient de décrocher la palme du licenciement le plus odieux. On sait sur ce blog que ce secteur d'activité a le renvoi facile (voir par ailleurs) mais là force est de constater que nous ne sommes pas fiers d'être Lorrains suite à cet entrefilet publié par le quotidien Libération. On y apprend qu'une caissière du Cora Mondelange va se faire licencier pour vol. Rien d'anormal me direz-vous ? Sauf que ce vol concerne... un ticket de caisse ! Qui présentait un bon de réduction pour le Mac Do situé sur le même parking. Mal lui en a pris de vouloir faire plaisir à son fils... Flics, arrestation, rappel à la loi, licenciement immédiat pour faute lourde... et pas de hamburger pour le gamin. Psst ! Il paraît que la femme en question est aussi déléguée syndicale CGT. Ceci expliquant certainement cela... Si vous ne connaissez pas ces endroits où il fait bon travailler, regardez cette vidéo. Ce n'est pas au même endroit mais ce sont les mêmes méthodes...

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jeudi 28 juillet 2011

Droit aux vacances...

Coluche avait pour habitude de dire : "le capitalisme, c'est l'exploitation de l'homme par l'homme. Le syndicalisme c'est le contraire". C'est cette phrase qui nous revient en mémoire quand on a pris connaissance de cette dépêche AFP publiée sur le site de l'Express. On y apprend que des syndicalistes CGT de la plus "grande entreprise de France" constituée par les chômeurs ont envahi Paris Plage afin de manifester pour un "droit aux vacances". "Des militants du comité national CGT des privés d'emploi et précaires ont réclamé mercredi un droit aux vacances et aux loisirs pour les chômeurs et travailleurs précaires, en se rendant sur le site de Paris Plage". De la même façon, ils réclament un SMIC à 1.700 euros et une augmentation immédiate des revenus de remplacement de 300 euros. Et comme si c'était Noël avant l'heure, ces syndicalistes exigent des chèques vacances pour tous les privés d'emploi ainsi que l'accès gratuit aux équipements sportifs, de loisirs et aux colonies de vacances pour les enfants. En voilà certains qui manifestement n'ont pas spécialement compris comment fonctionne le système dans lequel ils vivent. Réveillez-vous Messieurs de la CGT ! Il faudrait déjà que ceux qui travaillent aient les moyens de partir en vacances. Autant dire que vous n'aurez rien sauf l'amertume, l'ironie voire la haine d'une large proportion de la population. Décidément jamais la citation de Coluche n'a été autant d'actualité. Comme vous avez un peu de temps, vous aurez certainement du plaisir à réentendre celui qui savait vous analyser comme personne...

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mercredi 17 novembre 2010

La déligitimation syndicale...

La loi sur la réforme des retraites a été promulguée. Et ce n'est pas les derniers soubresauts syndicaux qui vont changer la donne. D'autant que les syndicats sont de plus en plus montrés du doigt. Comme le souligne cette vidéo tirée du blog l'Horreur Européenne, la radio Méridien Zéro recevait le 31 octobre Patrick Gofman (ancien militant de l'extrême gauche, journaliste,...), Argael (chercheur en sciences sociales) et Mr K. Pour eux, les syndicats ne sont que le faire-valoir du gouvernement puisque ses leaders participent aux mêmes sphères d'influence. N'oublions pas que la CFDT a soutenu le "oui" au référendum de 2005 sur le Traité constitutionnel européen. Quant à Bernard Thibault de la CGT, il l'a soutenu contre sa base. Les syndicats sont financés en partie par le MEDEF (ah...l'IUMM !), ils servent de bouclier social au gouvernement jusqu'à l'acceptation. Ils font danser les moutons dans la rue pour exulter la pression de la colère, et une fois la colère exprimée, ils rendorment les moutons. Les syndicats ont passé des accords avec le gouvernement et n'ont jamais souhaité que le mouvement des retraites perdure. Des menteurs et des lâches... Un peu à l'image de ceux qui nous gouvernent...


Thibault membre club "Le Siècle", trahison élites syndicales
envoyé par Agent__001. - L'actualité du moment en vidéo.
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dimanche 3 octobre 2010

Une marche pour rien...?

Pour cette troisième journée de mobilisation contre le projet de réforme des retraites, les syndicats espéraient faire mieux que lors de la journée du 23 septembre dernier pour faire pression sur le Sénat, qui examinera le projet à partir de mardi. Ont-ils réussi ? Comme d'habitude, tout dépend du côté où l'on se place. Comme le confirme le Monde, "la mobilisation ne faiblit pas". Les chiffres annoncés vont du simple au triple : 899.000 manifestants pour la police, près de trois millions pour les syndicats. Pour ces derniers, c'est la satisfaction de la mission accomplie. Quant au gouvernement, il ne voit aucune mobilisation supplémentaire comme l'annonce le Figaro et entend ne rien lâcher sur son projet. Et maintenant ? Une nouvelle journée d'actions prévue le 12 octobre. Qu'annoncera t-elle ? Un essoufflement en règle ou la grève générale ? Choisissez votre camp...

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dimanche 6 septembre 2009

Comment dire tout et son contraire...

Laurence Parisot vous connaissez ? La patronne du MEDEF a un côté chien battu. Elle n'ose jamais taper du poing sur la table. Elle n'ose jamais dire les choses clairement. Elle est fuyante et n'inspire aucune confiance à l'image de sa dernière déclaration réalisée sous la forme d'une interview dans le quotidien Le Monde. Elle y annonce dans le même papier son "optimisme" réservé pour une sortie de crise dès cette année tout en insistant sur le fait que 70.000 entreprises sont au bord de la faillite !!! Tout va bien on vous dit ! Le pays coule, 70.000 PME sont presque dans le mur mais il ne faut surtout pas faire d'ombre à notre cher Président et aux banques ! Madame Parisot ne défend ni les petits patrons, ni les grands. Elle ne défend personne si ce n'est elle-même. D'ailleurs comme le montre Marianne, son élection est avant tout due à l'ancien patron de la BNP Paribas, Michel Pebereau, bras droit de Sarkozy pour les banques et la gestion de crise (je vous laisse le soin de vous procurer ce numéro de Marianne : l'affaire BNP Paribas). Bref, nous avons les syndicalistes les plus nuls. Si Bernard Thibault et Laurence Parisot, situation probable vue la proximité de leurs points de vue, avaient une fille ensemble, nul doute qu'elle irait vivre dans un couvent. Les syndicats ? Ils sont en réanimation et sous respiration artificielle.

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