Wenlock et Mandeville...

Nous avons le plaisir de vous présenter Wenlock et Mandeville. Ces deux étranges personnages ont été officiellement désignés comme étant les mascottes des jeux olympiques devant se dérouler dans tout juste un an à Londres. Comme le souligne le site Wikipedia, leur oeil unique doit leur permettre de suivre attentivement les épreuves auxquelles ils participeront tandis que la lumière jaune au dessus de leur tête est une allusion aux taxis londoniens. Mais celles-ci sont loin de plaire à tout le monde. On sait que le président iranien a déjà manifesté son mécontentement quant au choix du logo comme se souvient cet article publié à l'époque par le Nouvel Obs. D'après Ahmadinejad, ce dernier le juge raciste car on peut y lire le mot "Zion" (Sion en français, le terme qui désigne Jérusalem, la capitale de l'état juif). Pour d'autres, c'est les personnages mêmes qui sont au coeur de la polémique. Nous vous proposons toute une série de vidéos de Rick Clay qui s'est penché de façon attentive non seulement sur les mascottes mais aussi sur certains nombres qui nous expliquent beaucoup de choses. De quoi rester sans voix... et prendre les jambes à notre cou. Plus haut, plus loin, plus fort...

Rik Clay - Le nombre (11) a voir absolument 1/7 par Super_Resistence

Rik Clay - Le nombre (11) 2/7 par Super_Resistence

Rik Clay - London Zion 2012 3/7 par Super_Resistence

Rik Clay - London Zion 2012 4/7 par Super_Resistence

Rik Clay - London Zion 2012 5/7 par Super_Resistence

Rik Clay - London Zion 2012 6/7 par Super_Resistence

Rik Clay - London Zion 2012 7/7 par Super_Resistence

Rik Clay (2nd ITW) : Q&R (1/6) [ST/FR] par Wegotfingered

Rik Clay (2nd ITW) : Q&R (2/6) [ST/FR] par Wegotfingered

Rik Clay (2nd ITW) : Q&R (3/6) [ST/FR] par Wegotfingered

Rik Clay (2nd ITW) : Q&R (4/6) [ST/FR] par Wegotfingered

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Les dés sont jetés...

Les Anglais vont devoir apprendre à se serrer la ceinture. De plusieurs crans si on s'en réfère à la proposition de budget établie par George Osborne présentée aujourd'hui devant le Parlement. Comme le souligne cette page spéciale du Daily Mail, c'est l'austérité avec un grand A. Le but étant de trouver 95 milliards d'euros en cinq ans. La mesure la plus spectaculaire est la suppression de 490.000 emplois de fonctionnaires soit près de 10% du nombre total. A cela s'ajoute des "coups de hache" dans tous les budgets. Une remise en cause de l'Etat providence : réductions drastiques sur les allocations chômage, les allocations logement et les aides aux handicapés. De plus, l'augmentation de l'âge de la retraite à 66 ans pour tout le monde est déjà programmée pour tout le monde en 2020. Même le budget de la maison royale sera amputé de 14%. Les ministères les plus touchés sont comme par hasard, la Justice, l'Environnement et la Culture. Comme en France, le ministre des Finances a considéré son plan sévère mais juste. Les syndicats quant à eux y voient non pas un plan budgétaire mais un massacre. Il faut bien avouer qu'en France on est encore loin du compte quand on voit ce qui se passe de l'autre côté de la Manche. Mais parions que cette rigueur sera dans nos comptes à l'issue de la présidentielle de 2012... année des JO de Londres. Aujourd'hui avec un budget de près de 13 milliards de livres sterling, cet évènement paraît pour le moins déplacé...

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Licenciements olympiques...

A moins de trois ans de l'inauguration des JO de Londres, force est de constater que la crise de l'immobilier touche aussi les infrastructures. Ainsi, le quotidien The Sun nous apprend que la société en charge de la construction du stade olympique et du village des athlètes, le promoteur Laing O'Rourke, doit licencier 1.000 personnes. De plus, selon son porte-parole, ce n'est que le début de la crise, faisant mentir tous les politiques anglais qui parlent de reprise depuis un an...

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Le four d'Obama...

Les Américains ne doutent vraiment de rien : après avoir obtenu les JO d'été pour Los Angeles en 1984 et pour Atlanta en 1996, Obama est parti à Copenhague afin de réclamer les JO de 2016 pour Chicago, paraît-il grande favorie. Sa visite, pensait-il, ne serait qu'une simple confirmation. Mais c'était sans compter sur un vote massif et cinglant des membres du CIO qui ont éliminé dès le premier tour la ville d'Obama. "President Barack Obama's personal mission to win the battle... lies in ruins after the CIO... delivered the astonishing blow of eliminating it in the first round of voting" comme le note cet article du Financial Times. La crise est passée par là on dirait.

Rio de Janeiro pour les JO 2016
envoyé par nocommenttv. - L'info internationale vidéo.

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