Grosse fortune...mais petite b...

Jusqu'où aller dans les confidences ? Vous vous souvenez certainement de Sheryl Weinstein, maitresse de Bernard Madoff, qui vient de sortir un livre sur leurs relations (voir par ailleurs). Sachez que c'est la consternation à Wall Street : l'homme qui valait 56 milliards de dollars a un micro-pénis comme nous le dévoile cet article de Bloomberg. Surréaliste révélation reprise dans toute la presse anglo-saxonne, ce qui sous-entend quand même qu'il n'y a aucune reprise à l'horizon pour qu'une information aussi minimale prenne autant de place. Une forme de méga-compensation donc qui expliquerait pourquoi certains financiers veulent toujours 100 millions de plus sur leur compte. Souvenez-vous de l'information sur le secret de Goldman Sachs (voir par ailleurs) dans laquelle les banquiers de la Salomon Brothers Bank s'étaient surnommés les "bites tournantes". Madoff les a tous battus, même si c'est de quelques millimètres ! En tout cas, cette dame qui était la directrice financière de l'oeuvre de charité Hadassah n'a pas eu à se plaindre puisqu'elle explique que malgré ce handicap physique, Madoff la faisait monter au 7e ciel. Elle a aussi expliqué que Madoff a transformé son placement de 40 millions de dollars en une somme de 120 millions. De quoi très certainement aider la propulsion.

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Les révélations "madoffiennes" continuent...

Sheryl Weinstein n'est décidément pas avare en confidences. Suite à la publication de son livre (voir par ailleurs), elle nous raconte les détails de sa rencontre avec Bernie comme nous le révèle cet article de Bloomberg. Elle a donc rencontré Madoff à New York grâce à un très généreux donateur parisien, un certain Monsieur Albert I., qui a offert 7 millions de dollars à l'organisation caritative sioniste Hadassah, sous réserve que celle-ci place cette somme chez Madoff. Quelle curieuse façon de faire des dons. Imaginons que vous souhaitez donner 10.000 euros aux Petites Soeurs des Pauvres, vous n'allez quand même pas dire à la Mère Supérieure : "Soeur Thérèse, je vous donne cette offrande de 10.000 euros, à condition que vous les placiez en Sicav chez LCL". Vous lui donnez cet argent afin qu'elle le distribue aux pauvres ! Pourquoi donc ce donateur parisien exige-t-il que "son argent" soit placé chez Madoff à New York ? Ce n'est plus son argent puisqu'il l'a donné. En voilà une bonne question... On ne peut s'empêcher de faire le rapprochement avec d'autres affaires récentes aux USA, mettant en cause la communauté juive où des rabbins ont été arrêtés parce qu'ils lavaient de l'argent sale avec justement des oeuvres de charité (voir par ailleurs). Bref, cette affaire Madoff continue à dévoiler bien des choses par ricochet car cette Sheryl Weistein semble avoir des "comptes" à règler avec son ancien employeur. Dans tous les cas, la presse américaine a donné au Hadassah une publicité dont l'organisation se serait bien passée.

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Les souvenirs de la maîtresse...

Comment obtenir de l'argent quand on a été la maitresse de Madoff pendant 20 ans ? En publiant un livre sur l'affaire torride. C'est sûr que cela va intéresser les médias et tous les adeptes d'histoires graveleuses. Ainsi, CNBC rapporte dans un long papier les coulisses de cette "romance". Sheryl Weinstein, directrice financière de l'organisation juive Hadassah, reconnaît que tout en investissant chez Madoff 40 millions de dollars, elle couchait avec lui ! Comme quoi, certaines ne perdent pas le Nord ! Opportunisme mercantile quand tu nous tiens ! Une chose est certaine : Madoff l'a bien b.... dans tous les sens du terme, elle et son oeuvre de charité. Toutes nos félicitations à Mme Weinstein et à l'organisation Hadassah qui passent plus de temps à faire fructifier leurs millions de dollars qu'à les distribuer.

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