On n'a de cesse de dénoncer sur ce blog les dérives "adoptées" par nos élus. Nous le peuple on en a marre de leurs petits arrangements, de leurs petites magouilles, de leurs petits privilèges,... pendant que nous sommes tous obligés de toujours plus nous serrer la ceinture. Parmi ceux qui nous révulsent le plus : les sénateurs. Il faut bien reconnaître qu'ils se mettent en avant ces dernières semaines. Après la polémique sur les primes de vacances votées en toute discrétion (voir par ailleurs), nous avons le "plaisir" de vous présenter Alima Boumediene-Thiery. C'est qui cette femme ? Sénatrice du parti des Verts comme le note Wikipedia, elle estime qu'elle n'est pas assez payée. Comme elle l'a écrit à Luc Chatel sur la lettre que nous avons mise en ligne ci-dessus, elle souhaite pouvoir bénéficier d'un passe-droit quant à l'inscription de son fils dans un internat public. C'est un papier publié par le site Atlantico qui nous révèle ce nouveau fricotage. "Avec des revenus supérieurs à 10.000 euros par mois, la sénatrice EELV, Alima Boumediene-Thiery voudrait convaincre les services de l'Etat que sa situation financière est précaire et contourner les critères sociaux d'admission dans un internat public afin que son fils y soit accepté...". Ben voyons... Pourtant cette femme ne reconnait bénéficier que de 2.000 euros par mois. Mais le quotidien le Monde vient lui "rafraîchir la mémoire" quant à l'intégralité de ses revenus et avantages divers et variés. Le pire c'est qu'elle ne voit même pas où se situe le problème à en croire sa réaction révélée dans cette dépêche AFP. Bref, elle ne manque pas d'air la "sénat triste". Alors que nous l'entendons militer à Europe Ecologie et vouloir le droit pour la bande de Gaza, nous ne pouvons que l'encourager d'aller voir aussi du côté de Europe Economie... et de s'appliquer la justice pour elle-même et sa famille...
dimanche 24 juillet 2011
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